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Brisez la Croix ! Mahomet l’ordonne ! Dreuz

By 4 décembre 2016Monde
PUBLIÉ PAR ROSALY LE 4 DÉCEMBRE 2016

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Depuis ses origines, l’islam est en guerre contre le christianisme et sa haine viscérale envers la Croix, symbole du Christianisme, ne s’est jamais assouvie au cours des siècles.

L’islam est un concentré de haine envers tous les koufars, avec une prédilection marquée pour les Juifs et les chrétiens, infidèles à soumettre et occire.

Raymond Ibrahim, auteur réputé, spécialiste de l’islam et du Moyen-Orient, a examiné des vidéos et des sites web en langue arabe, dont le sujet de discussion était le Christianisme. Il n’y a vu que des vidéos hostiles, entendu des fatwas haineuses et des sermons virulents contre la Croix et les chrétiens.

La vidéo la plus frappante fut celle du cheik Abdul Aziz al-Tarifi, un « expert » saoudien en loi islamique. Interrogée sur la règle islamique relative au port de la Croix, cette tolérante belle âme musulmane rétorqua :

« En aucune circonstance, un être humain n’est autorisé à porter la Croix, encore moins à prier devant la Croix, car le prophète, que la paix et la bénédiction soient sur lui, a ordonné de briser la Croix ! »

L’animosité islamique envers la Croix commença avec Mahomet.

Ce doux agneau d’Allah éprouvait une telle répugnance à l’égard de la Croix, qu’il brisait avec fureur tout objet apporté dans sa maison, décoré… d’une croix. Ce symbole chrétien n’était pas toléré en sa présence, car il était perçu par cet illuminé névrotique comme un objet d’idolâtrie. Et le messager d’Allah proclamait qu’à la fin des temps, Isa, la version islamique de Jésus, viendrait sur terre pour briser la Croix, afin de prouver que les chrétiens s’étaient toujours fourvoyés à ce sujet.

Abu Hurairah (ra) a rapporté :

« Le Prophète, que la paix soit sur lui, a dit : Il n’y a aucun prophète entre moi et lui, Isa, que la paix soit sur lui. Il descendra (sur terre). Quand vous le verrez, vous le reconnaîtrez : un homme de taille moyenne, aux cheveux rougeâtres, portant deux vêtements de couleur jaune clair, qui a l’air comme si les gouttes tombaient de sa tête alors que ses cheveux ne sont pas mouillés. Il se battra contre les gens pour la cause de l’Islam. Il cassera la croix, tuera le porc et abolira la jizyah. Dieu anéantira toutes les religions sauf l’Islam. Il détruira le Dajjal et vivra sur terre pendant quarante ans et ensuite il mourra. Les musulmans prieront pour lui. (Abu Dawud). »

Quant à Marie, mère de Jésus dans les Evangiles, elle devient Mariam, mère d’Isa, fille d’Imram (3,34, 35 (cf le Amram de l’Exode) et la sœur d’Aaron et de Moïse (19,28) dans le coran.

Or je rappelle que Moïse, Aaron et Myriam vécurent 2000 ans avant la naissance de Jésus-Christ ! Alors par quelle magie l’Isa du coran, né 2000 ans avant le Jésus des Evangiles, peut-il être la même personne ? Seule la science infuse de l’islam peut expliquer ce mystère islamique.

La Croix symbolise ce que le coran nie explicitement, à savoir que le Christ est le fils de Dieu et qu’il est mort sur la croix pour le salut de l’humanité. Ainsi, la pratique chrétienne de vénérer la Croix et les icônes du Christ suscite le mépris haineux des musulmans. D’où les campagnes islamiques meurtrières au cours des siècles pour effacer le symbole par excellence du christianisme : la Croix. Dans les pays autrefois chrétiens comme l’Egypte et la Syrie, la Croix était omniprésente, avant d’être éradiquée par les conquérants islamiques, dont la grande tolérance et le respect des autres religions est mondialement connue…

Le Pacte d’Omar, ainsi nommé d’après le deuxième pieux calife Omar bin al-Khattab (634-644), stipule les conditions de soumission des non musulmans à l’autorité islamique. Il s’agit d’une législation très dure, qui concerne en premier lieu les Juifs et les chrétiens, et qui fixe, à l’instar des organisations mafieuses, les conditions de soumission ou de protection des non-musulmans en terre d’islam ou en terre conquise par l’islam.

Si les musulmans devenaient majoritaires en Occident, les Occidentaux seraient soumis aux conditions du Pacte d’Omar.

Les chrétiens, les Juifs, les non-musulmans devront alors soit se plier aux règles islamiques de la dhimmitude, soit être tués.

Voici pour rappel le texte du pacte de dhimmitude tel qu’il apparaît dans Ibn Qayyim Al-Jawziyya, qui devrait être diffusé dans toutes les écoles, en lieu et place de l’enseignement d’un islam édulcoré à la confiture de roses :

Après la conquête de la Grande Syrie par les musulmans, le calife Omar ibn Al-Khattab fixa les conditions de dhimmitude suivantes à l’attention des chrétiens.

« Ils ne doivent pas construire de nouveaux monastères, églises ou cellules de moines dans leurs villes et leurs alentours ;

Ils ne doivent pas rénover les bâtiments délabrés ni reconstruire les bâtiments détruits qui étaient érigés dans les quartiers musulmans ;

Ils doivent accueillir et offrir l’hospitalité à tout musulman qui le souhaite et le nourrir pendant trois jours ;

Ils ne doivent pas héberger des espions, car cela reviendrait à collaborer avec les ennemis des musulmans ;

Ils doivent dénoncer tout acte de trahison envers les musulmans ;

Ils ne doivent pas enseigner le coran à leurs enfants ;

Ils ne doivent pas montrer des symboles religieux en public (bibles, croix) ni faire du prosélytisme ;

Ils ne doivent pas empêcher les membres de leurs familles de se convertir à l’islam, s’ils le demandent ;

Ils doivent faire preuve de déférence envers les musulmans ;

Ils doivent céder leurs places assises aux musulmans qui souhaitent s’asseoir ;

Ils doivent se différencier des musulmans par leurs tenues vestimentaires ;

Ils ne doivent pas porter de noms musulmans ;

Ils ne doivent pas conduire sur une selle ;

Ils ne doivent pas porter d’épées ni détenir aucune autre arme ;

Ne pas garder de cochons ou vendre de la viande de porc dans le voisinage des musulmans ;

Ils ne doivent pas vendre de vin ;

Ils ne doivent pas se couper court la frange ;

Ils doivent se revêtir de leur habit chrétien où qu’ils se trouvent ;

Ils doivent se ceindre la taille d’une écharpe ;

Ils ne doivent pas porter de crucifix ou l’un de leurs livres saints sur le chemin des Musulmans ;

Ils ne doivent pas enterrer leurs morts à proximité des musulmans ;

Ils ne peuvent faire sonner leurs cloches que doucement ;

Ils ne doivent pas lire à haute voix dans leurs églises, si des musulmans se trouvent à proximité ;

Ils ne doivent pas porter de rameaux le dimanche des Rameaux ;

Ils ne doivent pas se lamenter ou exprimer leur chagrin à haute voix pendant le deuil, ni porter des flammes pendant les funérailles.

Ils ne peuvent pas acheter des esclaves capturés par les musulmans en temps de guerre ;

Ils ne peuvent pas construire de maisons plus hautes que celles des musulmans ;

Ils doivent mener les affaires selon la loi musulmane : les musulmans doivent demeurer la partie dominante ;

Et ils ne doivent pas battre les musulmans. »

Si l’une de ces conditions n’était pas respectée, le Pacte serait rompu et les chrétiens reprendraient leur statut d’infidèles non soumis, ennemis de l’islam, et pourraient dès lors être tués.

Le Pacte d’Omar est loin de n’être qu’un texte historique ou théorique révolu. Il revient hanter l’esprit des musulmans et l’Etat islamique l’a appliqué de manière brutale dans les territoires conquis par ses hordes d’égorgeurs.

Il est dès lors aisé de comprendre pourquoi, dans le monde islamique :

  • Les chrétiens sont attaqués, leurs églises bombardées, incendiées, le permis de reconstruire et de rénover refusé, leurs bibles, leurs croix et autres symboles du « polythéisme » confisqués ou détruits.
  • Les chrétiens, qui parlent publiquement du christianisme sont accusés de prosélytisme et de blasphème, crimes passibles de prison ou de la peine de mort,
  • et pourquoi les chrétiens sont obligés de payer un impôt ou se convertir à l’islam ou mourir.

Aujourd’hui, les chrétiens d’Orient, limités dans l’exercice de leur foi, accusés faussement de prosélytisme, persécutés, assassinés, subissent toujours les effets de la mentalité du pacte de dhimmitude. La finalité des persécutions est soit de les amener à la conversion à l’islam, soit de les forcer à quitter des territoires considérés comme essentiellement islamiques et ainsi les purifier de toute souillure chrétienne.

Au cours d’un programme télévisé, le religieux saoudien al Tarifi expliqua aux fidèles d’Allah que si une croix s’avérait trop dure à briser, les musulmans avaient le devoir de la défigurer afin qu’elle ne ressemble plus à une croix. Conseil de plus en plus scrupuleusement suivi en Occident par les musulmans que nous accueillons et hébergeons généreusement.

Nous possédons de nombreuses preuves historiques et numismatiques de cette haine de la Croix datant du 7e siècle.

A l’époque, sur quasi toutes les pièces en or qui appartenaient à l’Empire byzantin chrétien, une croix était gravée sur un côté de la pièce. Après la saisie du trésor byzantin par les conquérants musulmans, le calife ordonna d’effacer l’un ou l’autre bras de la croix, afin que l’image ne ressemble plus à celle d’une croix si honnie par le prophète d’Allah.

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A gauche : pièce de monnaie byzantine du 7e siècle avec une croix – A droite : même pièce, après avoir été modifiée par le califat islamique.

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Des témoignages datant des premières invasions musulmanes de la Syrie alors chrétienne se référaient aux petites croix faciles à détruire par les musulmans.

Les mahométans saccagèrent systématiquement toutes les croix avec une telle rage que les chrétiens pensèrent que ces envahisseurs étaient en fait des démons, ou pire encore.

Anastase du Sinaï, un saint de l’Eglise orthodoxe (7e-8e siècle) qui vécut les premières invasions, déclara :

« Notez que les démons ont désigné les Sarrasins (Arabes musulmans) comme leurs compagnons. Et c’est avec raison. Ces derniers sont peut-être pires que les démons, car tandis que les démons sont effrayés par les mystères du Christ, les croix et les églises, ces démons de chair piétinent, incendient et détruisent les symboles du christianisme en se moquant. »

Sophronius, le patriarche de Jérusalem, se lamenta douloureusement quand la ville fut assiégée par les musulmans en 638 :

Pourquoi les Sarrazins nous attaquent-ils ? Pourquoi autant de destructions et de pillages ? Pourquoi cette effusion incessante de sang ? Pourquoi les oiseaux du ciel dévorent-ils les corps humains ? Pourquoi les églises ont-elles été détruites ? Pourquoi la Croix est-elle devenue un sujet de moquerie ? Pourquoi le Christ est-il blasphémé par des bouches païennes ? ».

Même Saladin, mort en 1193, régulièrement encensé en Occident pour sa grande magnanimité, ordonna le retrait de toutes les croix des dômes des églises d’Egypte, selon The History of the Patriarchate of the Egyptian Church.

De nos jours, les vidéos diffusées par l’EI montrant la destruction des croix sur les églises, dans les cimetières, les décapitations de ces « chiens de chrétiens » portant une croix, actes courageux toujours accompagnés par le doux cri d’Allah akbar, encouragent les musulmans à agir de même envers les minorités chrétiennes en Libye, au Pakistan, en Egypte, en Malaisie, aux Maldives, en Turquie et ailleurs en terre islamique. Et quand des réfugiés musulmans arrivent en Occident, ils gardent en eux ces pulsions de haine criminelles envers la Croix et ceux qui la portent.

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Des images de la vandalisation d’un cimetière chrétien en Irak par les tueurs de l’EI sont apparues ces derniers jours sur le Net.

Le spectacle offert est terrifiant : croix brisées, répandues sur le sol, un mort sorti de son cercueil par les jihadistes d’Allah et décapité, son crâne jeté parmi les débris de croix. Même mort, un chrétien doit être humilié par les fidèles d’Allah, tant leur haine meurtrière est profondément ancrée dans leur cœur.

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En Occident, l’hostilité islamique envers la Croix est bien souvent encouragée par les Européens eux-mêmes plus soucieux de plaire à leurs futurs maîtres qu’à défendre leurs racines judéo-chrétiennes.

Comment dès lors s’étonner de la progression de l’idéologie islamo-nazie en Occident et du mépris des musulmans envers les chiens d’infidèles que nous sommes à leurs yeux.

Et l’attitude récente de deux prélats allemands, en visite à Jérusalem, illustre la soumission honteuse d’une partie de l’Eglise à l’islam.

Le cardinal allemand Reinhardt Marx et l’évêque luthérien Heinrich Bedford-Strohm, lors de leur visite au Kotel et au Mont du Temple, n’hésitèrent pas à dissimuler leur croix, symbole du Christ, dans la ville même ou le Christ offrit sa vie en sacrifice sur la Croix pour réconcilier l’humanité pécheresse avec Dieu.

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Ce geste de lâcheté suprême de la part de deux prétendus serviteurs du Christ sur terre suscita de violentes critiques dans plusieurs journaux allemands, notamment Die Frankfurter Allgemeine Zeitung, Die Welt et Bild am Sonntag.

Miriam Holstein du Bild am Sonntag déclara :

« Jésus ramassa sa croix sur le chemin de Golgotha il y a 2000 ans à Jérusalem, aujourd’hui, le cardinal et l’évêque l’ont couchée à nouveau à terre. Un geste symbolique d’infidélité et de soumission déshonorante. »

Winnemöller, un contributeur de Cath.net déclara : « certaines images ne devraient pas exister ». Il admit avoir ressenti un sentiment de honte, avoir été choqué et souhaité que personne ne puisse jamais voir cette photo. Il qualifia ce geste épiscopal œcuménique de soumission honteuse devant leurs hôtes musulmans et juifs, qui selon les religieux allemands, avaient demandé qu’ils ôtent leurs croix, symbole sacré du christianisme.

L’Evêque Heinrich Bedfor-Strohm de Munich essaya d’expliquer sa honteuse capitulation, en justifiant sa trahison envers le Christ par le respect dû à ses hôtes ! Ces deux renégats devraient

méditer sur ces versets :

« Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il se détruisait ou se perdait lui-même ? Quiconque aura honte de moi et de mes paroles, le fils de l’homme aura honte de lui, quand il viendra dans sa gloire, et dans celle du Père et des saints anges (Luc 9 : 25-26)

Selon l’évêque, cette décision n’était pas un déni de la croix, mais une réponse au souhait de ses hôtes.

Telle est l’histoire et la continuité de la haine islamique de la croix, ce symbole qui représente le cœur de la foi chrétienne, incluant la mort et la résurrection du Christ, ce que l’islam dénonce violemment comme un mensonge.

La guerre de l’islam contre la Croix commença avec Mahomet, le prophète de la « religion de paix et de tolérance », se perpétua sous le règne des califes jihadistes, et continue de nos jours sous l’impulsion du nouveau califat et la collaboration de musulmans ordinaires en Occident, soutenus par nos islamophiles, religieux, laïques, gauchistes, écologistes, soucieux de ne pas heurter la grande sensibilité des fidèles musulmans à la vue d’un crucifix, d’une crèche de Noël ou d’une bible.

Et au lieu de demander l’interdiction de l’islam en Occident, les chrétiens libéraux continuent à accueillir les réfugiés musulmans et déclarent fièrement sur leur banderole : « Je suis chrétien et j’aime le coran » !!! Allez comprendre…

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Dès que les musulmans forment une petite communauté au sein d’une nation occidentale, ils interdisent immédiatement tout enseignement du christianisme à l’intérieur de leur communauté, mais exigent la liberté d’enseigner le coran dans les prisons, nos écoles, nos universités et de répandre la culture islamique.

Si la propagation de l’islam en Occident se poursuit unilatéralement, tandis que d’autres religions dans les pays et communautés musulmanes sont considérées comme illégales, passibles parfois de la peine de mort, la culture occidentale et ses valeurs, relatives à la liberté de culte et au libre arbitre, s’atrophieront et mourront. Les islamistes comptent sur l’inertie occidentale pour nous soumettre à l’idéologie islamonazie.

Les grands idéalistes de l’islam veulent en fait nous sauver, nous éviter les souffrances éternelles dans les flammes de l’enfer, car nous nous sommes fourvoyés en obéissant aux lois des hommes, en croyant en de faux dieux, en vénérant des idoles. Notre seul salut réside dans la conversion à la seule et unique vraie religion capable d’apporter le bonheur à l’humanité : l’islam. Et ils sont prêts à nous trucider pour nous le prouver et nous sauver. C’est nous qui sommes stupidement, désespérément, hermétiques à leur idéal inspiré par Allah et son messager Mahomet. N’est-ce pas adorablement généreux de leur part de se préoccuper aussi charitablement de notre salut ?

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Mais… c’était pour les sauver…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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