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Les policiers du Hamas ont exécuté des dizaines de Palestiniens sur place (Europe Israël)

By 9 août 2014Etz Be Tzion

Les policiers du Hamas ont exécuté des dizaines de Palestiniens sur placeUn vaste bunker souterrain équipé d’un système sophistiqué de communication et abritant le commandement du Hamas, a été construit juste en-dessous du principal hôpital de Gaza, Al Shifa. Le correspondant du Washington Post, William Booth, écrivait récemment: « A l’hôpital al Shifa, la foule qui affluait s’est mise à jeter des chaussures et des œufs au ministre de la Santé de l’Autorité Palestinienne, qui représente le désastreux gouvernement d’unité nationale. Le ministre a été chassé avant d’atteindre l’hôpital, qui est devenu le siège de facto du Quartier Général des dirigeants du Hamas, que l’on peut croiser dans les couloirs et les bureaux ».

Des Palestiniens sont sortis dans les rues de le quartier Shaja’iya pour se plaindre et protester contre les destructions et ils ont accusé le Hamas de la détérioration de la situation. Les hommes du Hamas, en ont rassemblés une vingtaine, les ont accusés d’être des collaborateurs d’Israël et leur ont envoyé une balle dans la tête !

De même des dizaines de résidents de l’hôpital al Shifa ont protesté contre l’organisation terroriste: les policiers du Hamas ont alors fait sortir certains manifestants pour les exécuter sur place.
Les dirigeants du Hamas se déplacent à travers les tunnels creusés à 20/30 m de profondeur avec de nombreux des puits de sortie, selon un dédale tenu secret. A l’air libre, ils se déplacent en ambulance du Croissant Rouge avec des armes cachées, ce qui est contraire aux règles internationales.

Commandant discret de la branche Ezzedine al Kassam du Hamas, Mohamed Deif a lancé à Israël: « Nos soldats désirent mourir autant que les vôtres désirent vivre ! », citant le verset du Coran 3/169:  » Ne comptons pas comme morts ceux qui l’ont été dans la voie d’Allah, car ils sont vivants auprès de lui »

Le Hamas cache des roquettes dans des mosquées, au détriment des règles internationales de la guerre. Un témoignage: « Pendant la trêve, des hommes allant nettoyer le verre de vitres brisées dans une mosquée au nord de la bande de Gaza, lors d’un bombardement, ont dit qu’ils ont vu des jihadistes déplacer des petites fusées à l’intérieur de la mosquée ».

L’UNRWA, l’agence des Nations Unies spécialisée dans l’entretien des Palestiniens a déclaré avoir découvert 20 roquettes cachées dans une école gérée par l’agence.
Les roquettes ont été découvertes au cours d’une inspection régulière et l’agence a demandé « aux parties concernées » de prendre toutes mesures nécessaires pour éloigner ces objets, afin de préserver la sécurité et la sauvegarde de l’école… Trois autres écoles et l’Université Islamique de Gaza ont subi le même sort.

Beaucoup de tirs ratés retombent sur la bande de Gaza. Selon un décompte simple 500 roquettes sur 3000 tirés ont déjà fait long feu, avec des victimes. Le journaliste italien Gabriele Barbati a tweeté qu’un tir raté du jihad islamique a tué des enfants aussi bien dans le camp de réfugiés de Shati, que sur la place près de l’hôpital al Shifa.

L’Institut d’Etudes palestiniennes a publié un rapport détaillé sur les tunnels de Gaza. Il a indiqué que la construction de tunnels dans la bande de Gaza a provoqué un grand nombre de décès d’enfants. Au moins 160 enfants ont été tués dans les tunnels, selon des responsables du Hamas. Les enfants sont prisés pour leur agilité dans ce genre de fouilles souterraines et ne coûtent pas cher.

Selon les Américains, les tunnels sont creusés à plus de 30 mètres de profondeur, renforcés selon des procédés et techniques spéciales, transmis par l’Iran via le Hezbollah libanais. L’infrastructure sophistiquée des tunnels offre une autarcie totale de plusieurs semaines si nécessaire. Les experts estiment à 600.000 tonnes les matériaux de contrebande utilisés pour la construction du réseau souterrain à Gaza. « Prison à ciel ouvert » dîtes-vous ?, en tout cas c’est ce que répètent les experts français invités sur les chaînes et réseaux télévisés.

60 tunnels détectés par la NRO et la NSA devaient permettre aux brigades Izz al-Din al-Qassam de s’infiltrer en Israël pour commettre des attentats-suicides et des enlèvements. Une trentaine de tunnels ont été détruits par Tsahal depuis le début des opérations, notamment dans le nord de la bande de Gaza, dans la zone de Shejaiya. Les analystes estiment que NROL39, le dernier satellite « im-int » ou « imagery intelligence » américain a permis d’obtenir la cartographie la plus précise du réseau réticulaire souterrain du Hamas.

Les journalistes qui, par hardiesse ou inconscience violent les règles imposées par le Hamas, y compris sur leurs réseaux sociaux personnels, sont amenés à le regretter et à s’en repentir, car on ne peut imaginer à quel point ils sont sous la menace et dépendent de cette autorité terroriste.

Nick Casey, du Wall Street Journal, par exemple, a tweeté : « On doit se demander comment se sentent les patients de l’hôpital, alors que le Hamas l’utilise comme un endroit assez sécurisé pour y rencontrer les médias ». Mais Casey a dû rapidement effacer son tweet, car il a été mis sur une liste de journalistes accusés de mentir et de fabriquer de fausses informations au profit d’Israël et qui doivent être sévèrement poursuivis…. Le journaliste franco-palestinien Radjaa Abu Dagg a été convoqué à l’hôpital Shifa et interrogé, assigné à résidence, puis conseillé de quitter la bande Gaza, pour sa propre sécurité. Il avait écrit un article pour Libération sur son expérience « tentative d’intimidation »—avant que cet article ne soit ôté, à sa demande…

Le reporter Peter Stefanovic, de l’agence de presse Nine Network’s News, a été harcelé de menaces quand il a tweeté qu’il avait vu des roquettes tirées sur Israël, depuis son hôtel, dans une zone civile …
John Reed, un journaliste britannique du Financial Times, a tweeté qu’il a vu « un tir de deux roquettes tirées à coté de l’hôpital al-Shifa, alors même que des blessés entraient dans l’hôpital ». Il a été aussi menacé.
Selon un reporter espagnol sur place répondant à une question de Michaël Grynszpan, réalisateur, si on ne voit jamais de miliciens armés sur toutes les images en provenance de Gaza, c’est que si les journalistes dirigent leurs caméras en direction des combattants islamistes, ceux-ci les tuent.

par Albert Soued pour –Tel-Avivre –

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