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Prince Charles : « à Noël, souvenez-vous aussi du prophète Mahomet» (NB: Charles est le futur chef de l’église anglicane)

By 8 janvier 2017Monde
PUBLIÉ PAR ROSALY LE 6 JANVIER 2017

 

 



S’adressant aux Britanniques lors de l’émission « Pensée du Jour » diffusée par la BBC Radio 4, et dédiée aux questions de la foi, l’héritier de la Couronne britannique exhorta les auditeurs à penser, lors de la fête de Noël, aux figures religieuses persécutées.

Et il cita en exemple l’enfant Jésus et… Mahomet.

« A Noël, nous pensons à la naissance du Seigneur Jésus-Christ. Cette année, toutefois, je me demande si tout en nous rappelant de la Nativité et de la fuite en Egypte de la Sainte Famille pour échapper à la persécution d’Hérode, nous ne devrions pas aussi nous souvenir du prophète Mahomet, qui émigra de la Mecque à Médine avec ses compagnons, en quête de liberté religieuse…

Quel que soit le chemin religieux que nous suivons, la destination est la même : apprécier et respecter l’Autre, accepter son droit de vivre paisiblement son amour pour Dieu. »

Le futur roi parla également de la persécution des chrétiens, mais sans oser citer la source à l’origine de leur persécution : l’islam.

Se référant à des « formes insidieuses d’extrémisme » visant à éliminer toute diversité religieuse, le Prince mentionna les yézidis, cruellement persécutés par l’EI. Il parla aussi des Juifs, des bahaïs et du sort des musulmans Ahmadis, considérés comme des apostats par des musulmans suprématistes…

Il mentionna ses rencontres avec des chrétiens persécutés :

« J’ai récemment fait la connaissance à Londres d’un prêtre jésuite de Syrie… Il me parla des enlèvements de masse dans certaines régions de la Syrie et de l’Irak et me fit part de ses craintes de voir les chrétiens chassés des pays mentionnés dans la Bible. Selon lui, les chrétiens pourraient totalement disparaître d’Irak dans les 5 années à venir. »

Tout en plaidant pour l’accueil des « réfugiés », qui fuient les persécutions, le Prince ne manqua pas de fustiger le sort qui leur était réservé, après leur arrivée dans les pays étrangers où ils cherchaient refuge. Il déplora également la montée des « mouvements populistes. »

Selon Le Guardian, son discours de Noël fut interprété par certains comme une allusion à peine voilée à l’élection de Donald Trump, à la montée de l’extrême droite en Europe et à l’attitude de plus en plus hostile des Britanniques à l’égard des réfugiés.

Il établit ensuite un lien entre la croissance rapide des mouvements pro-frontières en Europe et l’Europe fasciste du siècle dernier.

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« Nous assistons à la montée de nombreux groupes populistes à travers le monde, de plus en plus agressifs envers ceux qui adhèrent à une foi minoritaire. Tout ceci résonne de manière inquiétante, comme en écho aux jours sombres des années trente.

Je suis né en 1948, juste après la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle la génération de mes parents s’est battue et est morte en luttant contre l’intolérance, l’extrémisme monstrueux et la tentative inhumaine d’exterminer la population juive européenne.

Que nous assistions à nouveau à une telle persécution diabolique, près de 70 ans plus tard, me dépasse. Nous le devons à ceux qui souffrirent et moururent si horriblement, de ne pas répéter les horreurs du passé… »

De prime abord, le discours du Prince Charles peut émouvoir par sa sincérité, son humanité, sa tolérance. Enfin, un Grand de ce monde qui s’émeut de la souffrance des chrétiens du Moyen-Orient et des autres minorités religieuses.

Mais si ce discours met apparemment en exergue les valeurs chrétiennes de compassion, de tolérance et d’amour de l’autre, il suscite néanmoins quelques réflexions de par certaines incohérences ou ignorances et son langage politiquement correct en vogue aujourd’hui parmi les élites dirigeantes.

Le Prince Charles exhorte les Britanniques à penser au « réfugié » Mahomet et le compare au réfugié Jésus.

Selon le Prince, la fuite en Egypte de la Sainte Famille pour échapper à la menace d’Hérode serait comparable à celle de Mahomet fuyant La Mecque pour Médine, et nous devrions avoir une pensée charitable envers ce pauvre « réfugié ».

Cette comparaison est tout simplement honteuse et indigne d’un chrétien.

D’une part, il y a un nouveau-né, menacé de mort par le Roi Hérode, d’autre part un homme qui va être à l’origine de la plus grande escroquerie sanglante de toute l’histoire de l’humanité : l’islam.

Il fallait oser demander aux chrétiens d’avoir une pensée pour le « réfugié » Mahomet, le fondateur d’une pseudo religion, appelant à soumettre ou tuer les infidèles, à commencer par les chrétiens et les Juifs.

Le Prince Charles semble ignorer le contexte historique et les circonstances ayant poussé Mahomet à faire la Hijra, la migration de La Mecque vers Médine.

Mahomet, pendant sa période mecquoise, était ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les quraychites, pour ses propos incohérents. Ils le surnommaient le «shaeron majnoon», le poète cinglé..

Le décès de sa première épouse et très riche patronne laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il prit la fuite vers Médine, et dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.

Arrivé à Médine, Mahomet prétendit être porteur de préceptes de vie parfaits dictés par Allah : le coran.

Il proclama que l’humanité n’avait rien de mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient adopter l’islam — se soumettre — en inféodant leur liberté à Mahomet.

Il imagina une formule à succès performante : il justifia tout en prétendant que c’était la volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère, car il détient les clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer. L’obéissance aveugle aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule magique fonctionna très bien avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce aux pillages et au meurtre. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un temps record.

Alors que Mahomet rassemblait de plus en plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme esclaves.

C’était la naissance du «djihad» : être tout mielleux et cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en puissance. Cela marchait à l’époque et cela fonctionne encore merveilleusement bien, vu l’aveuglement qui frappe nos dirigeants et leur soumission progressive à la loi d’Allah.

En un temps record, ces sauvages du désert arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet — soit tu assassines et tu as le butin dans ce bas monde, soit tu es tué et tu demeures pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis d’Allah — se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres lointaines.

Persécution des chrétiens

Le Prince Charles déplore la persécution et le martyre des chrétiens, mais évite soigneusement de mentionner le responsable de ce génocide en cours au Moyen-Orient et ailleurs dans le monde musulman : l’islam.

Refuser de nommer l’ennemi ne fera pas avancer la cause des chrétiens d’Orient.

Le Prince Charles, tout comme le Pape François et certains dirigeants européens, ne veut pas froisser la susceptibilité des leaders musulmans. A quoi rime leur compassion verbale ? Diplomatie criminelle ? Hypocrisie ? Lâcheté ?

Accueil des migrants

Le Prince, non seulement ignore le contexte historique de la Hijra de Mahomet, mais également le fait, pourtant évident, que tous les migrants ne viennent pas en Europe à la recherche de la liberté religieuse, mais dans le but de conquérir et d’islamiser les pays dans lesquels il émigrent, suivant l’exemple de leur prophète : le jihad par la Hijra. (coran 4 : 100)

Si nous, nous apprécions et respectons l’Autre, c’est loin d’être le cas des invités de Madame Merkel, de Monsieur Juncker, et autres dirigeants de l’UE. Le Prince Charles devrait s’ouvrir à la déplaisante réalité de la migration musulmane de masse au lieu de l’idéaliser.

« Et ton Seigneur révéla aux Anges : «Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts » (coran 8 : 12)

« D’ici 2050, la Grande-Bretagne sera un pays à majorité musulmane. Ce sera la fin de la liberté et de la démocratie et le début de la soumission à Allah. Nous ne croyons pas en la démocratie. Dès que les musulmans auront le pouvoir, ils instaureront la charia. C’est ce que nous essayons d’enseigner aux gens. » Anjem Choudary

Montée des mouvements « populistes »

« Nous assistons à la montée de nombreux groupes populistes à travers le monde, de plus en plus agressifs envers ceux qui adhèrent à une foi minoritaire. Tout ceci résonne comme un écho des jours sombres des années trente », disent les gauchistes. «Les musulmans sont les nouveaux Juifs. »

C’est le point de vue aberrant de nombreux intellectuels, journalistes et politiciens gauchistes, non seulement européens, mais aussi américains.

A croire ces grands esprits, l’islamophobie ferait planer la menace d’un nouvel holocauste, celui des musulmans, devenus à leurs yeux les nouveaux Juifs.

Cette allégation fantaisiste, irrespectueuse envers les victimes du nazisme, a pour seul but de culpabiliser les opposants à l’islamisation en cours, les défenseurs de notre civilisation judéo-chrétienne, les patriotes.

Revenons brièvement sur le passé afin de démonter cette cabale faisant des musulmans d’aujourd’hui les nouveaux juifs.

  • Dans les années 30, les citoyens européens de confession juive étaient harcelés, humiliés, pourchassés, victimes de rafles, et conduits dans les camps de la mort. Ils n’avaient commis aucun crime, ils étaient seulement coupables d’être juifs. Victimes innocentes d’une idéologie monstrueuse visant à l’extermination de tout un peuple à cause de son origine.
  • Six millions de citoyens européens de confession juive furent lâchement sacrifiés à la haine du démoniaque Führer, dont l’antisémitisme frisait la folie pure. Oui, lâchement sacrifiés, grâce au silence coupable des dirigeants occidentaux, soucieux de plaire au Monstre à la tête de l’Allemagne, de l’amadouer par une vile politique d’apaisement, quitte à fermer les yeux sur les atrocités commises où à les minimiser dans le vain espoir d’éviter la guerre.

Tout comme aujourd’hui, l’omerta était jadis de mise dans les médias.

Les dépêches des journalistes en place à Berlin relatant ce qui se passait réellement dans l’Allemagne d’Hitler étaient réécrites ou supprimées. Les rédacteurs en chef s’arrangeaient pour qu’aucune information pouvant heurter la susceptibilité des nazis ne fût publiée.

L’establishment devait veiller à ne pas associer spécifiquement les nazis au Mal qui se répandait dans le pays.

Pourtant, les Juifs n’opprimaient personne.

Ils ne commettaient aucun attentat au nom du D.ieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.

Ils ne prônaient pas la soumission et la conversion au judaïsme.

Ils ne prêchaient pas la haine de l’Occident, la destruction des églises, la mise à mort des femmes adultères, des homosexuels.

Ils n’appelaient pas à renverser les démocraties.

Ils ne prônaient pas la guerre sainte contre les non-juifs.

Ils n’incitaient pas au génocide des chrétiens et des musulmans.

Ils ne se faisaient pas exploser au milieu de civils innocents, ne plaçaient pas des bombes dans les trains, les bus, les gares, les aéroports. Ils ne brûlaient pas les Bibles, ni les bureaux des journaux, n’abattaient pas froidement journalistes et dessinateurs, sous prétexte que leurs articles et caricatures les offensaient.

Ils n’exigeaient pas que les filles et les femmes soient voilées, que l’on respecte les fêtes juives dans les écoles, que l’on serve des repas cacher dans les cantines, que l’on enlève les croix des salles de classe.

Non.

Ils étaient intégrés, respectueux des lois du pays, travaillaient et contribuaient avec fierté à l’enrichissement de leur patrie et ce dans tous les domaines.

Cela n’empêcha pas les adeptes de l’idéologie nazie de leur vouer une haine féroce et de planifier leur disparition à l’échelle industrielle.

L’idée que les musulmans sont les « nouveaux Juifs » a été répandue par l’internationale gauchiste, mais il y a aussi des opposants à cette aberration.

En 2014, Bill Maher, prenant conscience de la nature et de la menace du jihad, fit remarquer :

« Les juifs n’opprimaient personne. Il n’y avait pas 5 000 groupes de militants juifs. Il n’y avait pas 30 pays juifs au monde qui condamnaient à mort des gens, simplement parce qu’ils étaient homosexuels. »

Quand l’imam Abdullah Antepli, (Duke University) déclara au New York Times à propos de la polémique sur l’édification d’une mosquée à Ground Zero, là où près de 3 000 personnes perdirent brutalement la vie suite aux attentats perpétrés par les jihadistes islamistes d’Al-Qaïda :

« Ce que certaines personnes disent dans cette controverse au sujet de la mosquée Ground Zero est comparable à ce que les médias allemands écrivaient à propos des Juifs dans les années vingt et trente. »

Ce à qui feu C. Hitchens répondit :

« Oui, nous nous souvenons tous des kamikazes juifs de cette période, des cris des Juifs hystériques hurlant à la guerre sainte, exigeant de voiler les femmes et de lapider les homosexuels, et des Juifs brûlant les journaux qui publiaient des caricatures qu’ils n’aimaient pas. »

Comparer les musulmans d’aujourd’hui aux Juifs des années trente, c’est insulter les victimes de la Shoah.

Le Prince Charles a déclaré être fasciné depuis plus de vingt ans par les liens entre les trois fois abrahamiques : l’islam, le christianisme et le judaïsme et cette fascination viennent de l’intérêt qu’il porte aux religions ethniques et à la diversité culturelle qui fait de la Grande-Bretagne un pays moderne. Selon lui, cette unité par la diversité représente une grande force et une grande richesse pour la Société.

Une grande richesse pour la Société ?

En voici quelques exemples :

  • Dans toute la Grande-Bretagne, les hôpitaux traitent au moins quinze nouveaux cas de mutilations génitales féminines chaque jour. Bien qu’elle soit illégale depuis 1984, n’y a pas eu une seule condamnation.
  • Au moins mille quatre cents enfants ont été exploités sexuellement entre 1997 et 2013 dans la ville de Rotherham, la plupart du temps par des gangs musulmans, mais la police et les fonctionnaires municipaux ne sont pas parvenus à résoudre le problème parce qu’ils craignaient d’être accusés de racisme ou d’islamophobie.
  • Le Révérend Giles Goddard, vicaire de Saint-Jean, à Waterloo au centre de Londres, a autorisé que soit célébré un service complet de prières musulmanes dans son église. Il a également demandé à sa congrégation de faire l’éloge « d’Allah, le Dieu que nous aimons ».
  • Il y a eu une augmentation de 60 % d’abus sexuels sur enfants signalés à la police au cours des quatre dernières années, selon les chiffres officiels.
  • Les services de renseignements britanniques surveillent plus de trois mille extrémistes islamistes d’origine intérieure qui sont prêts à commettre des attentats en Grande-Bretagne. Combien surveillent-ils de juifs prêts à commettre des attentats ?
  • Un ouvrier musulman d’une centrale nucléaire à West Kilbride, en Écosse, a été évacué des lieux après qu’il ait été pris en train d’étudier des matériaux pour la fabrication de bombes pendant son travail.
  • « Nous essayons d’éviter de décrire quiconque comme terroriste ou de qualifier un acte de terroriste. » — Tarik Kafala, chef de la BBC en langue arabe.

Unité ?

A-t-il entendu parler de la fuite des Blancs ? Phénomène inquiétant, signe d’une séparation ethnique profonde qui frappe la ville de Londres et autres grandes villes anglaises. Plus de la moitié des minorités ethniques vivent dans des quartiers comptant moins de 50 % de Blancs.

Cette fuite des Blancs s’accélère particulièrement dans les zones où ils sont progressivement devenus minoritaires, comme à Londres, dans les zones où les us et coutumes n’ont plus rien de britannique ou d’Européen, dans ces quartiers où un ordre politique et social parallèle s’est substitué à l’État de droit et à la culture nationale.

Le Prince Charles ne semble pas réaliser que son pays se meurt par l’érosion des libertés des Britanniques de souche, suite au « politiquement correct » érigé en religion d’Etat par le gouvernement, et par un multiculturalisme effréné, accordant la suprématie à l’islam et à sa loi, la charia. Il ne voit pas la substitution en cours du peuple britannique de souche par des peuples venus d’ailleurs. Il assiste, aveuglé par son rêve chimérique, à la lente agonie de son propre peuple. Ce qu’il déplore à propos des chrétiens du Moyen-Orient sera l’avenir des chrétiens d’Albion. Hélas, pour les Britanniques, le Prince Charles n’a rien d’un Richard Cœur de Lion.

 

Le pays de la Magna Carta se transforme peu à peu en pays de la charia.

 


«Ce n’est pas parce que nous aimions les immigrés, mais parce que nous n’aimions pas l’Angleterre».

C’est l’amer constat du journaliste britannique Peter Hitchens, à propos du résultat catastrophique et probablement irréversible de l’ingénierie sociale menée depuis 40 ans au moyen de la politique d’immigration massive par des progressistes animés par la haine de leur propre pays.

 

 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources: Prince Charles Urges Brits To Think Of Muhammad This Christmas, Speaks Out Against Aggressive Populism. Breitbart, London December 22, 2016

The islamisation of Great Britain in 2015 –Sören Kern (extraits)

The fraud of islam – Amil Imani

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