Tu t’en vas, tu pars,
Comme ce vent qui tourne au coin de la rue, s’en va et ne revient jamais.
Il me reste le mystère.
Le doux mystère lové dans l’élan subit de ta cheville à la marche
Et ce sourire qui s’évade à jamais dans le carrefour des neigeuses illusions !
Tu t’en vas comme novembre est venu, en silence, et comme toutes choses s’en vont.
Et le Temps dans le vent et le vent dans le Temps me disent :
Qui peut connaître le secret d’une âme ?
Tout simplement, merci Haïm pour ce poème.
Merci pour ce « Selah » Haïm,
Il m’a fait du bien, comme un petit souffle d’air pur dans ces temps bien chargés…
Merci à toi, les temps sont tellement sombres et « matériels » que l’on a du mal à échanger autour de cette chose admirable, le sentiment poétique. Temps durs, temps durs…