L’effondrement de la République américaine est désormais imminent. Sous prétexte d’études ethniques le Californie pousse le culte du canibalisme et du sacrifice humain sur les enfants américains.

La Californie pousse le culte du cannibalisme et du sacrifice humain sur les enfants américains.

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L’effondrement de la République américaine est désormais imminent.

La Californie devrait bientôt adopter un nouveau programme d’ »études ethniques » à l’échelle de l’État, dont l’objectif est la « décolonisation » totale de la société américaine. Il diffuse le symbolisme religieux aztèque cannibale dans 10 000 écoles publiques qui accueillent 6 millions d’élèves.

L’architecte de ce mouvement est R. Tolteka Cuauhtin, le premier coprésident du programme modèle d’études ethniques. Dans son livre « Rethinking Ethnic Studies », cité tout au long du programme, Cuauhtin soutient que les États-Unis sont un État suprémaciste blanc, patriarcal, misogyne et anthropocentrique, fondé en tant qu’État génocidaire eurocentrique « accapareur de terres » qui a commis un « théocide » contre les tribus indigènes. Dans le récit de Cuauhtin, les États-Unis ont tué les dieux de ces tribus et les ont remplacés par le christianisme. Les colons maléfiques ont établi un régime de « colonialité », de déshumanisation et de génocide qui a abouti à l’effacement total de l’indigènéité et de l’humanité holistique.

L’antidote à ce « théocide », comme on peut le supposer en lisant attentivement le manifeste propagandiste de Cuauhtin, n’est rien d’autre que la réparation culturelle des peuples perdus d’Amérique, par le biais d’un programme d’eugénisme moral insidieux, infligé à de jeunes enfants sans prétention et sans défense. L’objectif de Cuauhtin est de décoloniser totalement l’Amérique et d’établir un nouveau régime de « contre-génocide » et de contre-hégémonie qui déplacera la « culture blanche » et conduira à la « régénération de la future culture épistémique indigène« .

Et à quoi tout cela ressemble-t-il ?

Le programme d’études basé sur le livre de Cuauhtin recommande aux enseignants d’entraîner leurs élèves dans une pléthore de chants, de chansons et d’affirmations indigènes, comme l’ »Affirmation In Lak Ech« . Celle-ci mène directement aux dieux aztèques. Les élèves seront obligés d’applaudir et de chanter le dieu Tezkatlipoka, un dieu féroce que les Aztèques vénéraient par le sacrifice humain et le cannibalisme.

Dans leurs chants, les élèves seront obligés de demander à Tezkatlipoka de leur donner des pouvoirs « pour être des guerriers de la justice sociale« . Un autre dieu, Huitzilopochtli, est le dieu aztèque de la guerre qui a inspiré des centaines de milliers de sacrifices humains pendant la domination aztèque. Les étudiants, sans doute confus et épuisés après ces rituels étranges et diaboliques, termineront par une demande chantée de libération, de transformation et de décolonisation. Ils crieront « Panche beh ! Panche beh !« , tout cela dans la poursuite de la « conscience critique » finale.

Les chants ont pour but ultime – dans le programme bien pensé de R. Tolteka Cuauhtin – un résultat clair : le remplacement du Dieu chrétien des États-Unis, que Cuauhtin considère comme une extension de l’oppression suprématiste blanche. En d’autres termes, Cuauhtin vise l’abolition du christianisme aux États-Unis et la restauration des « dieux indigènes » à la place qui leur revient dans la cosmologie de la justice sociale. C’est ce que le département de l’éducation de Californie va promulguer.

Il n’est pas exagéré d’affirmer que ce programme est un culte de la mort et un culte de la vengeance. Il signifie la mort des âmes de nos enfants, car ils seront forcés d’inaugurer une révolution meurtrière contre la nation chrétienne d’Amérique. Cette révolution implique l’adoration d’une « culture » dans laquelle des dieux primitifs sauvages ont assouvi leurs appétits avec les cœurs de milliers de vierges sans défense, cœurs qui ont été arrachés de leurs corps, alors qu’ils battaient encore. Les rituels horribles impliquaient des corps éviscérés maintenus en l’air pour honorer un dieu ineffable ; les torses des corps étaient ensuite coupés en morceaux et distribués comme des morceaux de hors d’œuvre aux dignitaires de la société pour qu’ils les consomment.

Si vous vous demandez comment un phénomène aussi épouvantable peut avoir lieu dans notre République, vous ne devez pas être surpris. Il y a à peine trois ans, j’ai appelé à la fermeture et à l’arrêt du financement de toutes les écoles publiques. J’ai dit que la majorité de nos éducateurs détestaient l’Amérique, la liberté, le capitalisme et nos principes fondateurs judéo-chrétiens. J’ai dit qu’ils conduiraient ce pays à la destruction et à un effondrement imminent.

Ce que je n’avais pas envisagé, et ce que je n’ai évidemment pas pu me résoudre à percevoir, c’est à quel point le ramassis de sorcières et la bande de sorciers qui éduquent nos enfants détestaient et méprisaient nos enfants autant qu’ils le faisaient. Je n’avais pas envisagé à quel point ces individus étaient prêts à utiliser nos enfants comme des pions dans leurs tentatives révolutionnaires tordues pour détruire ce pays tel que nous le connaissons.

Je ne pouvais pas deviner que ceux que j’avais qualifiés de nihilistes systémiques étaient déterminés à renverser la philosophie tournée vers l’avenir de ce pays et à nous ramener dans les marécages de la jungle primordiale, peuplés de sauvages idolâtres ataviques mangeurs d’hommes, désireux d’apaiser des dieux qu’ils ressusciteraient, afin de transformer notre magnifique civilisation en un enfer satanique. Je n’avais pas prévu que nos enfants – dont l’esprit n’avait pas encore pleinement développé la capacité d’apprécier et d’évaluer les shibboleths et le mal dans lequel ils étaient contraints – seraient les premières victimes de cette bande de sorciers.

Ce dont nous sommes témoins ici, mes amis, c’est le mal incarné. Qu’il s’agisse d’effectuer des opérations de changement de sexe sur de jeunes enfants, de leur donner des bloqueurs de puberté, de les armer pour qu’ils rejettent les valeurs selon lesquelles ils ont été élevés par leurs parents, de détruire l’avenir des jeunes femmes en permettant à des hommes biologiques qui se disent femmes de les battre à mort dans les sports, et ainsi de suite. La guerre contre les enfants a été une guerre de conscription dans l’armée des gauchistes radicaux qui ont exploité nos enfants à de multiples fins. Et il n’y a qu’un seul objectif : la destruction de l’esprit de nos enfants pour instaurer un régime totalitaire sous lequel une myriade de programmes maléfiques, de formes de vie et de visites eugéniques sur nos corps et nos esprits seront monnaie courante.

Certains parents eux-mêmes sont en train de faire partie de ce mouvement fasciste éveillé. Ils ne se distinguent pas des éducateurs. Ils sont à mettre dans le même sac que ceux que nous considérons comme des abuseurs d’enfants. Je crois cependant que la majorité des parents sont de bonnes personnes qui confient de bonne foi leurs enfants aux éducateurs, sans imaginer un seul instant que l’esprit de leurs enfants serait, peut-être à l’heure actuelle, irrévocablement endommagé par le mouvement d’eugénisme éducatif qu’est notre système éducatif.

Parents de Californie ! Il n’est pas trop tard. Saisissez vos enfants. Trouvez un moyen de priver les syndicats d’enseignants de leur pouvoir. Débarrassez-vous de votre gouverneur actuel en votant pour le démettre de ses fonctions. Il est complice du mal, comme le sont de nombreux éducateurs de ce pays qui attendent avec impatience de mettre en œuvre le programme d’études ethniques de la Californie. Commencez votre propre révolution au nom de vos précieux enfants. Les destructeurs de l’esprit qui se font passer pour des éducateurs sont déjà à l’œuvre dans toute l’Amérique de manière similaire sous la forme de leurs modèles d’ »enseignement adapté à la culture » et de leurs campagnes d’ »éducation civique active ».

N’abandonnez pas vos enfants ! Ils sont dotés d’une valeur morale inviolable. Ne vous méprenez pas sur le but non dissimulé du désir de R. Tolteka Cuauhtin de défaire le christianisme de l’Amérique. Le concomitant théologique n’est pas l’athéisme – qui peut et a été contesté par des moyens rationnels. Ce n’est même pas la résurrection d’une phalange de dieux aztèques aux noms imprononçables, dont, sans doute, les enfants se lasseraient facilement après que le frisson des histoires d’horreur et du théâtre macabre qui constituent leurs identités aient cessé de saisir leur imagination. Si ces gens étaient des nativistes ataviques et pré-modernes jouant à la politique de l’identité, nous pourrions considérer tout cela comme un jeu d’enfant.

Mais ces monstres jouent à la politique identitaire afin d’acquérir une légitimité et une crédibilité pour quelque chose de bien plus néfaste : séquestrer les esprits des enfants de l’Amérique, les tordre comme des morceaux de mastic pour les façonner selon les formes de leurs perversions privées.

Lorsqu’ils auront terminé, les âmes de vos enfants feront passer les chariots médiévaux et les gargouilles mutilées de l’âge des ténèbres pour des objets de beauté. Ils ne s’arrêteront pas jusqu’à ce que les enfants se retournent contre les parents, dénoncent et annulent leurs propres parents. Ils ne s’arrêteront pas tant qu’ils n’auront pas créé un cerveau géant, collectivisé et homogène qui déchaînera un enfer vivant sur terre.

Par Jason D. Hill, professeur de philosophie à l’université DePaul de Chicago, et chercheur en journalisme Shillman au Freedom Center. Ses domaines de spécialisation sont l’éthique, la philosophie sociale et politique, la politique étrangère américaine et la politique américaine. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont We Have Overcome : An Immigrant’s Letter to the American People (Bombardier Books/Post Hill Press). Son nouveau livre à paraître s’intitule What Do White Americans Owe Black People : Racial Justice in the Age of Post Oppression. Suivez-le sur Twitter @JasonDhill6.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Albert Soued  pour Dreuz.info.