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Les déclarations fausses et trompeuses de Joe Robinette Biden, actualisées (Warning: la liste est longuissime…)

By 27 février 2021Le mot du jour
PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 24 JANVIER 2021

24 février – Biden ressort le mensonge maintes fois débunké selon lequel Trump a dit que l’eau de Javel soignait le coronavirus.

Obsédé par l’ombre de Trump, mais très superficiellement informé parce qu’il ne lit que la presse de gauche, Joe Biden a répété une accusation contre Donald Trump que les fact checkers – eux aussi de gauche – ont dénoncé comme mensonger.

Joe Biden attaqué Trump lors d’un événement à distance organisé par la Maison-Blanche pour les travailleurs noirs de premiers soins. Biden a déclaré en faisant référence à Trump :

« Je pense que les gens ont pris conscience que, euh, euh, vous savez, euh, l’injection d’eau de javel dans votre système ne va pas vous soigner. »

A cette occasion, Biden ne portait pas de masque, et a affiché un visage très Botoxé dont aucun média ne se moquera – alors que les journalistes ne rataient pas une occasion de mentionner le tain orangé de Donald Trump, sans doute après une séance de bronzage artificiel.

https://twitter.com/therecount/status/1364297868887158793?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1364297868887158793%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.thegatewaypundit.com%2F2021%2F02%2Fbiden-takes-cheap-shot-president-trump-injecting-bleach-system-doesnt-injecting-botox%2F ⧏30⧐ Trump ⧏32⧐ Trump ⧏31⧐ ⧏30⧐ Trump’s ⧏32⧐ de Trump ⧏31⧐

Non, Trump n’a pas dit aux Américains infectés par le coronavirus de boire de l’eau de Javel, avait confirmé Politifact le 11 juillet 2020.

https://www.politifact.com/factchecks/2020/jul/11/joe-biden/no-trump-didnt-tell-americans-infected-coronavirus/

VERDICT : FAUX.


23 février – Biden a déclaré que les suprémacistes blancs sont la « plus grande menace terroriste » pour le pays. Il ne sait pas ce qu’il dit, et si vous ne lisez pas Dreuz, vous n’aurez aucun moyen de le savoir : aucun média ne publiera les chiffres – pourtant officiels – que nous allons publier.

  • En 2020, le ministère de la Justice a engagé un total de cinq procédures pénales contre des « suprémacistes blancs ». 14 personnes ont été inculpées, dont 8 pour trafic de methamphetamine, 1 pour possession illégale d’arme.
  • En 2019, il y a eu cinq procédures aussi. 75 personnes ont été inculpées, mais pas spécialement pour ce qu’on croit ! Beaucoup d’entre eux étaient des membres de « 1488 », un groupe de nazis qui fait du trafic de stupéfiants, des opérations de kidnaping et d’extorsion dans et à l’extérieur des prisons, et des agressions.
  • Au niveau des 50 Etats, l’année dernière, il y a eu un total de trois poursuites pénales liées à la « suprématie blanche ». 9 personnes ont été inculpées. NEUF ! Dans 50 États.
  • En 2019, toujours dans les 50 Etats d’Amérique, le nombre de racistes et néo-nazis blancs inculpés : 8.

Effectivement (à prendre au second degré), la plus grande menace terroriste pour le pays, ce sont les néo-nazis et autre suprémacistes blancs !

Par contre, les Black Lives Matter et Antifa ne représentent aucun risque (ironique). La preuve, voici le nombre d’arrestations de membres de Black Lives Matter et Antifa en 2020 selon le Washington post : 14 000 ! Voici le détail :

  • Entre le 30 mai et le 2 juin 2020, au plus fort des protestations contre la justice raciale, 427 arrestations ont été effectuées à Washington, dont 24 mineurs, selon le département de police.
  • Rien que le 1er juin, plus de cinq fois plus de personnes ont été arrêtées que le jour de la prise d’assaut du Capitole le 6 janvier, avec 289 personnes arrêtées.
  • Les autorités ont arrêté plus de 14 000 personnes dans 49 villes du pays depuis le 27 mai, selon un décompte du Washington Post des données fournies par les services de police et reprises dans les rapports des médias. Des milliers de personnes ont été arrêtées pour des délits mineurs, notamment des violations du couvre-feu et la non-dispersion.
  • Il y a eu environ 80 chefs d’accusation fédéraux, dont meurtre et lancement de cocktails molotov sur des véhicules de police.
  • Un bulletin de renseignement publié par le FBI, le Département de la sécurité intérieure et le Centre national de lutte contre le terrorisme, obtenu par ABC News (abcnews.go.com), avertit que « les extrémistes anarchistes continuent de représenter la menace la plus importante d’agressions ciblées contre la police ».Le bulletin, qui a été distribué aux départements de police dans tout le pays, ne mentionne Antifa que dans une note de bas de page différenciant ceux qui s’identifient aux anarchistes.

20 février – Durant la réunion publique organisée par CNN Joe Biden dit n’importe quoi, les médias appellent ça des « gaffes » parce qu’ils travaillent inlassablement à le présenter comme un président exceptionnel

Lors de la réunion publique sur CNN, le président Biden a fait un certain nombre de déclarations et d’affirmations erronées et délirantes.

  • Il a suggéré que les propriétaires de chevaux de course reçoivent des réductions d’impôts d’une valeur de 9 milliards de dollars, une affirmation qui a laissé les experts fiscaux perplexes tant elle est délirante.
  • Il a déclaré que le salaire minimum de 7,25 dollars fixé en 2009 vaudrait 20 dollars s’il était indexé sur l’inflation, une affirmation qui a du sens si l’on remplace 2009 par 1968 !
  • Il a déclaré à tort que la « grande majorité » des immigrés sans papiers n’étaient pas hispaniques.

20 février – Joe Biden dit que Trump n’a jamais condamné les Proud Boys. Il ment

Le président Biden a encore dit – à tort – que Trump n’a pas condamné les Proud Boys, une organisation d’extrême droite violente, un peu l’équivalent d’antifa, en beaucoup plus petit, et à droite.

La déclaration de Biden :

« Je lui ai demandé [à Trump] de condamner les Proud Boys. Il n’a pas voulu le faire. Il a dit : « Tenez-vous prêt, tenez-vous prêt. »

VERDICT : FAUX.

Le président Joe Biden, mardi dernier lors du débat public organisé par CNN à Milwaukee, dans le Wisconsin, a répété une fausse déclaration qu’il avait faite lors de l’élection présidentielle de 2020 selon laquelle le président Trump n’avait pas condamné les Proud Boys.

Lors de la réunion publique de mardi, un professeur d’université a interrogé Biden sur le problème de la suprématie blanche [il y a des noirs dans le groupe Proud Boys, notamment l’un des fondateurs est un afro-cubain, mais les journalistes étant primaires, leur cerveau a besoin de mettre les gens dans des petites boîtes]. Biden a répondu :

Je me suis engagé dans la politique à cause des droits civils et de l’opposition aux tenants de la suprématie blanche.

Le Ku Klux Klan [JPG : créé par les Démocrates] et les personnes les plus dangereuses d’Amérique continuent d’exister [JPG : Les plus dangereux sont les Antifa et les Black Lives Matter mais Biden ne le dira jamais car ils le soutiennent]. C’est la plus grande menace pour la terreur en Amérique, la terreur intérieure [JPG : c’est par là que Biden veut museler la droite : par « terreur intérieure », il entend les 74 millions de personnes qui ont voté pour Trump – nous]. Je m’assurerais donc que mon ministère de la justice et la division des Droits civils se concentrent sur ces personnes [JPG : et ignorera Antifa], et je m’assurerais que nous nous concentrons sur la manière de faire face à la montée de la suprématie blanche. Et vous voyez ce qui se passe, les études qui commencent à être faites – peut-être aussi dans votre université – sur l’impact des anciens militaires, des anciens policiers sur la croissance de la suprématie blanche dans certains de ces groupes. Vous vous souvenez peut-être que lors d’un de mes débats avec l’ancien président, je lui ai demandé de condamner les « Proud Boys » et il n’a pas voulu le faire. Il m’a dit : « Tenez-vous prêts », ou quelque chose comme ça. C’est un fléau pour notre existence. Ca l’a toujours été. Ce sont des gens dangereux [JPG : je suis ravi que Biden veuille nous protéger contre les suprématistes blancs, ce sont des racistes et des antisémites. Mais en refusant de nous protéger contre Antifa et BLM, pire, de reconnaître le danger qu’ils représentent malgré les milliards de casse, les dizaines de morts, les centaines de blessés parmi les policiers suite aux émeutes tout l’été dernier dans les villes Démocrates, il est impossible de croire un mot de ce que dit Biden sur le fléau pour notre existence : un fléau est un fléau, il n’a pas de couleur politique, et il n’y a pas de bons et de mauvais fléaux]

L’affirmation de Biden est trompeuse. La transcription de l’échange entre Chris Wallace de Fox News et Donald Trump durant le débat, ci-dessous, montre que Trump a condamné les tenants de la suprématie blanche.

Voici l’échange :

  • Wallace : Vous avez critiqué à plusieurs reprises le vice-président pour ne pas avoir dénoncé spécifiquement les Antifa…
  • Trump : C’est exact.
  • Wallace : … et d’autres groupes d’extrême gauche. Mais êtes-vous prêt, ce soir, à condamner les tenants de la suprématie blanche et les milices …
  • Trump : Bien sûr.
  • Wallace : … et pour dire qu’ils doivent se retirer et ne pas ajouter à la violence dans un certain nombre de ces villes comme nous l’avons vu à Kenosha, et comme nous l’avons vu à Portland.
  • Trump : Bien sûr, je suis prêt à dire ça.
  • Wallace : Êtes-vous prêt à le dire spécifiquement.
  • Trump : Je dirais …
  • Wallace : Allez-y, monsieur.
  • Trump : … Je dirais que presque tout ce que je vois [les violences] vient de l’aile gauche et non de l’aile droite.
  • Wallace : Alors qu’est-ce que vous – qu’est-ce que vous dites ?
  • Trump : Je suis prêt à faire ce qu’il faut. Je veux voir la paix.
  • Wallace : Alors, faites-le, monsieur.
  • Trump : Je suis…
  • Biden : Dites-le. Faites-le. Dites-le.
  • Trump : Vous les appelez – Comment voulez-vous les appeler ? Donnez-moi un nom. Donne-moi un nom.
  • Wallace : Suprémaciste blanc – et milice de droite.
  • Trump : Allez-y. Qui voulez-vous que je condamne ?
  • Biden : Les suprémacistes blancs. Les Proud Boys.
  • Trump : Qui ça ?
  • Wallace : Suprémacistes blancs et milices de droite.
  • Trump : « Proud Boys, restez en arrière et tenez-vous prêts ». Mais je vais vous dire, je vais vous dire. Quelqu’un doit faire quelque chose à propos d’Antifa et de la gauche. Parce que ce n’est pas un problème de droite –
  • Biden : C’est le sien – a déclaré son propre directeur du FBI.
  • Trump : … c’est un problème de gauche. C’est un problème de gauche.
  • Biden : la menace vient des suprémacistes blancs. L’Antifa est une idée, pas une organisation.
  • Trump : Oh, vous plaisantez.

Le lendemain, Trump en a reparlé :

« Je ne sais pas qui sont les Proud Boys [JPG : Trump regarde énormément les chaînes d’information câblées, il suit des médias de droite très informés, des commentateurs politiquement très incorrects, et semble ne rien rater, sur Twitter quand il y était encore, et j’ai du mal à croire qu’il ne connaissait pas les Proud Boys au moment où il a déclaré cela]. Mais qui qu’ils soient, ils doivent se retirer. Laissez les forces de l’ordre faire leur travail. » Il a noté que Biden avait refusé de dénoncer le groupe d’extrême gauche Antifa.

https://trumpwhitehouse.archives.gov/briefings-statements/remarks-president-trump-marine-one-departure-093020/

Puis, lors d’une interview pour Sean Hannity sur Fox News, Trump a explicitement condamné le groupe :

Je l’ai dit plusieurs fois, et je le répète, je condamne le KKK. Je condamne tous les tenants de la suprématie blanche. Je condamne les Proud Boys. Je ne sais pas grand-chose sur les Proud Boys, presque rien, mais je condamne cela.

Mais il [Biden] devrait condamner aussi Antifa. Antifa est un groupe de personnes horribles. Ils tuent des gens. Ils – ce qu’ils font aux gens – et ils provoquent l’insurrection [JPG : ce que dit Trump est actuellement exact, Antifa a fait des morts à Seattle lors de leur expérience de ville autonome CHAD, Dreuz a couvert les événements en détail]. Ils provoquent des émeutes. Il ne veut pas faire ça, et la presse ne le poursuit pas. Et c’est un très mauvais groupe de personnes. Mais je les condamne.

https://www.bbc.com/news/election-us-2020-54381500


20 février – Joe Biden affirme avoir parcouru 17 000 miles avec le président Xi, le Washington Post note que c’est faux

Glenn Kessler, enquêteur du Washington Post, a décerné au président Joe Biden « Trois Pinocchios » vendredi pour avoir prétendu avoir parcouru 17 000 miles avec le président chinois Xi Jinping.

Biden a fait cette réclamation à plusieurs reprises au cours des dernières années

« J’ai parcouru 17 000 miles avec lui, le président de la Chine… nous avons fait le tour du monde ensemble, aux États-Unis et en Chine », a-t-il déclaré lors de la campagne de janvier 2020.

https://www.facebook.com/FoxNews/videos/959171144484104/

Le 7 février 2021, il a déclaré :

« J’ai eu 24-25 heures de réunions privées avec lui quand j’étais vice-président, j’ai parcouru 17 000 miles avec lui. Je le connais assez bien »

Le WaPo a vérifié et conclut que la déclaration de Biden est fausse et trompeuse, destinée à faire croire qu’il connaît bien le président Xi.

« La revendication de Biden n’est pas complètement tirée par les cheveux. Il a en effet rencontré Xi dans différentes villes de Chine et des États-Unis, parcourant dans certains cas des distances importantes. Mais les chiffres sont les chiffres. Biden utilise un chiffre qui ne peut être vérifié de manière trompeuse ».

https://www.washingtonpost.com/politics/2021/02/19/bidens-repeated-claim-hes-traveled-17000-miles-with-xi-jinping/


19 février – Biden dit que Trump n’avait pas de plan de vaccination – il ment

« Il y a un peu plus de quatre semaines, l’Amérique n’avait pas de véritable plan pour vacciner la plupart du pays, » a déclaré le président Joe Biden

VERDICT : FAUX.

Trump avait un plan, qui a été compliqué par les diverses politiques des gouvernements des États.

Biden, s’exprimant vendredi dans une usine de Pfizer à Kalamazoo, dans le Michigan, a affirmé que le président Donald Trump ne lui avait laissé aucun plan pour la distribution de vaccins contre les coronavirus.

« Mon prédécesseur, comme le dirait ma mère, que Dieu le sauve, n’a pas commandé suffisamment de vaccins, n’a pas mobilisé les efforts pour administrer les vaccins, n’a pas mis en place de centres de vaccination. Cela a changé au moment où nous avons pris nos fonctions », a déclaré Biden.

Le président Biden ment. John Wagner, ancien conseiller principal au ministère de la Santé et des services sociaux, a déclaré à Breitbart qu’il existait un plan de distribution de vaccins bien avant l’entrée en fonction de M. Biden.

En fait, un élément clé de l’opération Warp Speed avait été de préparer la distribution bien avant que quiconque ne sache quel vaccin particulier (le cas échéant) serait efficace ou quand il serait disponible.

Les fausses déclarations de Biden font écho aux déclarations mensongères répétées des membres de son administration selon lesquelles ils « partaient de zéro » en ce qui concerne l’effort de vaccination.

La vérité est que l’opération « Warp Speed » de Trump a non seulement permis de mettre au point des vaccins en un temps record – malgré le mépris ouvert de Biden et de son colistier, Kamala Harris – mais a également élaboré des plans pour distribuer le vaccin dans tout le pays.

Le ministère de la Santé et des services sociaux de Trump a présenté le plan de distribution en septembre 2020.

Il y avait en revanche le problème de la réticence des États sous Trump. Les gouverneurs Démocrates des deux plus grands Etats américains, Andrew Cuomo (New York) et Gavin Newsom (Californie), ont annoncé que leurs États allaient examiner l’efficacité de tout vaccin approuvé par l’administration Trump avant de l’approuver. Dès que Biden a été élu, ils ont renoncé à cette demande.

En fait, le jour où l’administration Biden est entrée en fonction, elle a commencé à faire circuler des informations selon lesquelles Trump n’avait pas de plan en place.

CNN, citant des sources de la nouvelle administration, a déclaré le 21 janvier – le premier jour de prise de fonction de Biden – que « le président Joe Biden nouvellement assermenté et ses conseillers n’héritent d’aucun plan de distribution de vaccin contre les coronavirus, pour ne pas dire de l’administration Trump ». CNN a cité une source anonyme : « Nous allons devoir tout construire à partir de zéro. »

Le chef de cabinet de Joe Biden à la Maison Blanche, Ron Klain, a fait une déclaration similaire récemment – et même PolitiFact, un fact checker de gauche, l’a qualifiée de « fausse ».

L’objectif de ces déclarations est de priver Trump de tout crédit pour le programme de vaccination et de faire table rase sur le fait que c’est lui qui créé les conditions pour apporter le vaccin au monde en un temps record.

Ce qui est intéressant à noter dans le grand livre des usines à Fake News que sont les grands médias, c’est que lorsque Trump a annoncé en été 2020 qu’un vaccin serait disponible avant la fin de l’année, les médias se sont moqués de lui, et comme le vaccin a été disponible à la fin de l’année, ils disent que c’est grâce à Biden.

Biden promet aussi, par exemple, de distribuer 100 millions de doses avant la fin de ses 100 premiers jours de mandat. Mais l’administration Trump avait déjà annoncé en novembre que 100 millions de doses seraient fournies dans les premiers mois de 2021 !


17 février – Biden ment en disant qu’il n’y avait pas de vaccin quand il a pris ses fonctions

Le président Joe Biden a faussement déclaré mardi soir, lors d’une réunion publique organisée par CNN, que son administration n’avait pas de vaccin lorsqu’il est entré en fonction. Il a déclaré :

« Nous n’avions pas de vaccin lorsque nous sommes entrés en fonction »

Les fact checkers de gauche se sont précipités pour défendre Biden, mais tout le monde sait que c’est un mensonge.

Joe Biden a déclaré :

« C’est une chose que d’avoir le vaccin – nous n’en avions pas lorsque nous sommes entrés en fonction – c’est une autre d’avoir quelqu’un pour vacciner, comment faire passer le vaccin dans le bras de quelqu’un ?

Ce que nous avons fait, nous sommes entrés en fonction et nous avons découvert l’approvisionnement, il n’y avait pas de retard, je veux dire, il n’y avait rien dans le réfrigérateur, au sens propre comme au sens figuré », a affirmé Biden.

Fact check : Biden est un menteur.

  • La première dose du vaccin Pfizer a été administrée le 14 décembre et la première dose du vaccin Moderna le 22 décembre, un mois avant son inauguration le 20 janvier 2021.
  • Deux jours seulement après l’entrée en fonction de M. Biden, Bloomberg News a rapporté que les États-Unis étaient presque déjà sur la voie pour atteindre l’objectif de M. Biden, à savoir 100 millions de vaccinations en 100 jours.

Les vérificateurs de gauche se sont précipités à la défense de Biden, affirmant que sa remarque était « une gaffe typique de Biden ». Ils feraient bien de revoir le sens des mots…

« C’était un faux pas verbal, une gaffe typique de Biden, car il avait déjà mentionné que 50 millions de doses étaient disponibles lorsqu’il a pris ses fonctions », a écrit Glenn Kessler, chargé de mission au Washington Post. « Les ex-fonctionnaires de Trump devraient surtout refroidir le compteur d’indignation, car ils ont l’air tout simplement idiots. »

Le contrôleur de CNN Daniel Dale s’est également précipité à la défense de Biden, en écrivant :

Biden avait déclaré juste avant qu’il n’y avait « que » 50 millions de doses de vaccin quand il a pris ses fonctions. Je suis en train d’examiner cette affirmation (ainsi qu’un tas d’autres affirmations faites par Biden ce soir), mais il n’essayait clairement pas de prétendre que le vaccin n’existait pas du tout sous Trump ». [Heu… si, c’est exactement ce qu’il essayait de prétendre.]

Autrement dit, lorsque Biden ment, c’est une simple gaffe et on passe pour des imbéciles si on ose le faire remarquer, et quand c’est Trump, c’est le scandale national d’un menteur en série qui trompe comme il respire. J’ai bien compris ?


13 février – Biden promet de « suivre la science » contre la pandémie, puis cède aux syndicats… contre la science

Durant sa campagne, Joe Biden a régulièrement accusé le président Trump de ne pas « suivre la science » et les recommandations des scientifiques concernant la lutte contre la pandémie de virus chinois, mais d’avoir suivi la politique.

« Nous laisserons parler la science », a répété M. Biden dans son discours du mardi 26 janvier 2021 sur la manière dont son administration aborde la pandémie.

Et Biden a fait tout l’inverse. Les scientifiques ont immédiatement remarqué que Biden n’a pas tenu sa promesse de faire passer la science avant tout en matière de politique de lutte contre les pandémies.

Sous la pression des syndicats d’enseignants, la Maison-Blanche a pris ses distances avec Rochelle Walensky, la directrice des Centres pour le contrôle et la prévention des maladie (CDC) qui a déclaré qu’il n’était pas nécessaire de vacciner les enseignants pour rouvrir les écoles en toute sécurité.

L’attachée de presse de la Maison-Blanche Jen Psaki a déclaré que le Dr. Rochelle Walensky s’exprimait « à titre personnel » – un mensonge – car elle a fait sa déclaration lors d’une réunion d’information organisée par la Maison-Blanche à l’intention des journalistes.

Les experts en la matière ont immédiatement senti le retournement de veste.

« Biden a dit qu’il n’interférerait pas avec les scientifiques, mais c’est ce qu’il a fait, il a retourné sa veste », a tweeté Joseph Allen, professeur associé à l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard.

« Saper le nouveau directeur du CDC nommé depuis 3 semaines n’est pas une bonne idée. »

« Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais » aurait pu dire Biden s’il était honnête, car de toute évidence, il fait exactement ce qu’il a reproché à Trump de faire (à tort d’ailleurs car Trump n’a pas placé la politique au cœur de la lutte contre la pandémie, puisque c’est à lui que le monde doit le vaccin).


13 février – rétablir le moral des diplomates : gros loupé

Lors de sa première visite au département d’État en tant que président, le 4 février dernier, Joe Biden a tenté de rétablir le moral des diplomates qui avaient souvent été considérés avec suspicion par la Maison Blanche de Trump.

« Vous êtes au centre de tout ce que j’ai l’intention de faire », leur a-t-il dit avant son discours principal. « Vous en êtes le cœur. Nous allons reconstruire nos alliances ».

Et au lieu de cela, Biden a rempli les postes des hauts-fonctionnaires avec d’anciens membres du Département d’État d’Obama qui étaient partis dans le secteur privé – laissant pour compte les cadres actuels de l’administration à qui il venait de dire qu’ils étaient « au centre de tout ce qu’il avait l’intention de faire », leur bloquant l’accès à la promotion en interne.

« C’est une occasion manquée majeure », a déclaré Brett Bruen, membre du Conseil national de sécurité de l’administration Obama.

Par ailleurs, son beau discours a été jugé comme creux. Les détails politiques étaient peu nombreux et très vagues. Au lieu de cela, M. Biden a montré qu’il était plus attentif à la mise en place de processus diplomatiques adéquates qu’aux résultats concrets, un retour à la diplomatie traditionnelle.

« Cette administration va vous donner les moyens de faire votre travail, et non pas de cibler ou de politiser », a-t-il déclaré aux diplomates, une attaque légèrement voilée contre Trump qui a court-circuité les habitudes diplomatiques pour atteindre des résultats rapides – et avec le succès unique dans l’histoire que l’on a vu.

« Nous voulons un débat rigoureux qui apporte tous les points de vue et laisse place à la dissidence. C’est ainsi que nous obtiendrons les meilleurs résultats politiques possibles ».

Il y a eu peu de surprises dans le discours, a déclaré Dominic Tierney, professeur de sciences politiques au Swarthmore College.

« L’une des caractéristiques de la doctrine Biden est la clarté sur les moyens de la politique étrangère », a-t-il déclaré. « Ainsi, bien qu’il n’y ait pas eu beaucoup de précision sur ce qu’il allait faire exactement au sujet de la Russie et ainsi de suite, il y a eu une clarté sur le processus – que nous allons travailler avec les alliés ».

« L’approche de M. Biden ne peut certainement pas être qualifiée d’ »Amérique d’abord », a déclaré Frank Gaffney du Centre de politique de sécurité avant le discours de M. Biden.

« Si ce président met l’Amérique en dernier, notre déclin national sera son héritage durable. »

Ce faisant, les experts en politique étrangère ont déclaré qu’ils considéraient que la « doctrine Biden » était la valorisation des processus, tels que la négociation et la création d’alliances, comme étant la voie vers de bons résultats.


11 février – réouverture des écoles : gros raté

Durant la campagne, Joe Biden s’est engagé à rouvrir les écoles américaines dans les 100 premiers jours de son mandat.

Nous venons d’apprendre que cette promesse était faite en l’air, sans aucune intention de la tenir.

Mardi 9 février, lorsqu’on lui a demandé ce que Biden entendait par « écoles ouvertes », M. Psaki a répondu que l’objectif de l’administration est d’avoir « au moins un jour par semaine dans la majorité des écoles au jour 100 ».

Pour l’anecdote, les écoles catholiques sont rouvertes depuis septembre. Il est vrai que leurs frais de fonctionnement sont trois à quatre fois moins cher que les écoles publiques, et que leurs résultats sont quatre à cinq fois meilleurs.


5 février – Biden répète le mensonge qu’on lui a tiré dessus à Bagdad

Joe Biden a répété le mensonge selon lequel on lui aurait tiré dessus alors qu’il était à Bagdad.

Joe Biden continue de mentir sur son passé. Il a répété une histoire qui a pourtant été démentie par les fact checkers, sur le fait qu’on lui aurait tiré dessus alors qu’il était en zone de conflit. Lors d’un débat en 2007, Biden a affirmé qu’il avait été pris pour cible dans la zone verte de Bagdad. Il avait dû se rétracter après avoir reçu des critiques de la part de vétérans. Mais, soit parce qu’il n’a plus toute sa tête, soit parce qu’il est un menteur en série et qu’il n’a pas l’habitude d’être dénoncé par les médias, il vient de recommencer.

Biden a réitéré son mensonge lorsqu’il s’est adressé aux employés du Département d’État jeudi :

« Vous avez un grand courage personnel. J’ai été avec certains d’entre vous quand on nous a tiré dessus », a déclaré Biden à un groupe d’assistants diplomatiques à Washington.

Patrick Campbell, alors directeur législatif des Vétérans d’Amérique pour l’Irak et l’Afghanistan, avait déclaré à The Hill à l’époque :

« Les vétérans n’aiment pas que les gens décrivent mal leur service, les gens qui exagèrent ce qui leur arrive. Nous avons des noms pour eux ».

https://thehill.com/homenews/news/12791-biden-revises-claim-he-was-shot-at-in-iraq


3 février – répète le mensonge des enfants mis en cage par Trump

  • Joe Biden a encore menti sur l’accusation faite à Trump qu’il a mis les enfants migrants illégaux dans des cages. Cette accusation a été débunkée une multitude de fois par tous les organismes de contrôle des fats (fact checking) – qui sont pourtant de gauche. C’est sous Obama que ces cages ont été construites et c’est sous Obama que ces enfants ont été enfermés dans des cages.

Il a déclaré, lors de la signature d’un ordre exécutif :

« Nous allons travailler pour défaire la honte morale et nationale de l’administration précédente qui a littéralement, et non figurativement, arraché les enfants des bras de leurs familles. »

La photo suivante, qui a beaucoup circulé pour prouver qu’Obama, et non Trump, a fait construire les cages, montre Jeb Johnson, le ministre de la Sécurité intérieure d’Obama, visitant les centres de détention à la frontière.

3 février – le chèque de 2 000 dollars de relance est devenu 1 400 dollars

  • Le 4 janvier, Biden a déclaré au public lors d’un discours à Atlanta, que si les Démocrates reprenaient le contrôle du Sénat en remportant la Géorgie le lendemain, un chèque de relance de 2 000 dollars serait distribué au peuple américain le plus rapidement possible.

« Leur élection mettra un terme au blocage à Washington de ce chèque de relance de 2 000 dollars, cet argent qui sera immédiatement versé pour aider les personnes qui sont vraiment en difficulté »

  • Le 10 janvier, Joe Biden répétait que les 600 $ envisagés par le Congrès n’étaient pas un montant d’aide suffisant.
  • Le 30 janvier, les 2 000 dollars promis avaient fondu au soleil, et le parti Démocrate annonçait dans un tweet que le président enverrait seulement 1 400 $ d’aide.

« @POTUS s’appuiera sur l’acompte de 600 dollars versé par le Congrès l’année dernière, envoyant 1 400 dollars supplémentaires aux ménages américains, soit un total de 2 000 dollars de paiements directs par personne », peut-on lire sur le tweet.

Le mensonge de Biden a consisté à considérer les 600 dollars d’aide votés en décembre comme un accompte. Il n’a jamais dit, le 4 janvier dans son discours, qu’il enverrait 1 400 de plus, mais 2 000 dollars. En jouant avec les mots, il a trompé le public.


1er février – le mensonge sur les contrats étrangers de Trump

Le 27 février, Joe Biden a prétendu que les contrats des entreprises étrangères ont augmenté de 30% sous Trump. Il a menti.

Le 27 janvier 2021, Biden a fait ce commentaire lors d’une cérémonie « Made in America » pour annoncer de nouvelles règles visant à inciter les agences fédérales à acheter davantage de produits fabriqués aux États-Unis.

« Sous l’administration précédente, les contrats du gouvernement fédéral attribués directement aux entreprises étrangères ont augmenté de 30 %. Cela va changer sous notre gouvernement ».

Le président Donald Trump s’est régumièrement vanté de ses efforts « Buy America ». Et pourtant, le chiffre annoncé par Biden semble dire tout le contraire et laisse entendre que l’administration de Trump nous aurait trompé.

En fait, c’est Biden qui a trompé les Américains qui l’ont écouté. Tellement trompé qu’il a reçu un trois Pinochios du Washington Post ! (1)

Le Fact Checker de SAM.gov a révélé une augmentation de 8,4% seulement des dépenses liées aux contrats étrangers entre l’année fiscale 2017 et l’année fiscale 2020. Dans l’ensemble, cela représente un taux de croissance annuel moyen de 3 % sur trois ans, bien loin des 30% annoncés par Biden.

La conséquence de ce mensonge est qu’il va pouvoir s’il le souhaite, dramatiquement augmenter les dépenses auprès d’entités étrangères (devinez lequel, je vous mets sur la piste, c’est un pays communiste), tout en faisant croire qu’il les baisse.

  1. https://www.washingtonpost.com/politics/2021/01/27/bidens-jab-that-foreign-company-contracts-went-up-30-under-trump/

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29 janvier – « ceux qui gouvernent par décret sont des dictateurs »

En octobre, Biden a déclaré que ceux qui gouvernent par ordre exécutif sont des dictateurs :

Il y a des choses que vous ne pouvez pas faire par ordre exécutif à moins d’être un dictateur. Nous sommes une démocratie. Nous avons besoin d’un consensus.

https://abcnews.go.com/Politics/read-full-transcript-joe-bidens-abc-news-town/story?id=73643517

Il a maintenant signé plus de décrets que n’importe quel président au cours de sa première semaine.

L’attachée de presse de la Maison Blanche, Mme Psaki, n’avait pas de réponse lorsqu’elle a été confrontée à la perfidie de Biden :


26 janvier – Biden ferme les frontières après avoir qualifié Trump de xénophobe

  • Le 2 février 2020, après la décision de Donald Trump d’interdire les vols en provenance de Chine, Joe Biden l’accuse d’être « hystérique et xénophobe » :

Nous sommes en pleine crise, avec le coronavirus. Nous devons montrer la voie de la science – et non celle de Donald Trump, qui a fait preuve d’hystérie, de xénophobie et de peur. Il est la pire personne qui puisse diriger notre pays dans une situation d’urgence sanitaire mondiale.

  • Et que fait Biden, lundi 25 janvier ? Comme Trump (sauf qu’aucun média ne le traite de xénophobe).« Le président Joe Biden a maintenu lundi les restrictions de voyage dans des dizaines de pays en raison de préoccupations sanitaires dans le contexte de la pandémie de COVID-19, publiant un décret au moment où le monde découvre de nouvelles variantes de coronavirus.

    Le décret de Biden, très attendu, laisse en place des restrictions sur les voyages à partir de la zone Schengen de 26 pays en Europe, ainsi qu’au Royaume-Uni, en Irlande et au Brésil, tout en ajoutant l’Afrique du Sud.

    L’ancien président américain Donald Trump avait décidé de lever les interdictions de voyager en Europe et au Brésil lors de son avant-dernier jour complet de mandat. »


24 janvier – Biden promet de régler l’épidémie … et patauge

  • Le 23 octobre dernier, à 10 jours des élections, Biden déclarait : « Je vais régler cette épidémie et sauver le pays ».Hier, il a déclaré : « Il n’y a rien qu’on puisse faire pour contrer l’épidémie dans ces prochains mois ».

  • Durant son discours d’inauguration, Biden a déclaré à plusieurs reprises qu’il veut unifier le pays. Il ment. S’il voulait unifier le pays, il aurait publiquement demandé au Congrès de ne pas poursuivre l’impeachment de Trump : il aurait ainsi entamé une démarche bénéfique pour le pays, en apaisant les 75 millions d’Américains qui ont voté pour Donald Trump. Et j’aurai applaudi et salué sa démarche.

  • En août dernier, Biden a déclaré : « Je n’interdirai pas le fracturage. Permettez-moi de le répéter. Je n’interdirais pas le fracturage, peu importe le nombre de fois que Donald Trump ment à mon sujet ».
  • S’exprimant depuis la Maison-Blanche mardi soir, l’attaché de presse de la Maison-Blanche Jen Psaki a confirmé que le président Biden interdira les nouvelles fractures sur les terres fédérales : « Le président Biden a promis de mettre fin à toute nouvelle concession de pétrole et de gaz sur les terres fédérales lorsqu’il était candidat, »


  • Biden a signé un décret imposant le port du masque sur toutes les propriétés fédérales… et Joe Biden a immédiatement enfreint son décret au Lincoln Memorial :

100 millions de vaccins dans les 100 jours

  • Cette promesse, nous devons la garder en réserve. Biden a promis 100 millions de vaccins Covid dans les 100 premiers jours.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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  1. https://www.realclearpolitics.com/articles/2020/09/10/no_trump_hasnt_made_20000_false_or_misleading_claims.html#!
  2. https://www.dailysignal.com/2021/01/22/after-tracking-trump-falsehoods-washington-post-says-it-wont-do-the-same-for-biden/

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