C’est fini. Donald Trump vient de capituler après quatre années de lutte ininterrompue contre les mondialistes, bien décidés à avoir sa peau.
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«Juste déçu que nous ayons perdu» a-t-il déclaré, ajoutant néanmoins qu’il aurait gagné cette élection si elle avait été équitable. Ce qui est vrai.
Ayant échoué dans leur tentative de destitution, les fossoyeurs de la démocratie n’ont rien trouvé de mieux, pour l’éliminer, que de monter une terrible machination, la plus vaste fraude électorale de tous les temps, impliquant la complicité de tous les rouages de l’État, y compris au sein de la Maison-Blanche.
Dans ces conditions, Trump pouvait-il gagner ? Non.
Personnellement, je l’ai défendu aussi longtemps qu’il restait debout sur le ring, encaissant les coups round après round, et promettant de ne rien lâcher jusqu’à la victoire. Je suppose que jusqu’au bout, il a cru sortir vainqueur du combat.
J’ai toujours cru qu’il allait nous sortir un lapin de son chapeau à la dernière minute. Une nouvelle fracassante, énorme, comme l’annonçaient régulièrement Giuliani, Lin Wood ou Sidney Powell. Mais on n’a rien vu venir.
Naïveté ? Sans doute. Mais Trump a été pendant 4 ans un tel battant que je ne le voyais pas perdre. Lui-même y a cru jusqu’au bout.
Mais sans doute a-t-il sous-estimé le machiavélisme du camp adverse et les trahisons de son propre camp.
Comment gagner quand tous les juges locaux, jusqu’à la Cour suprême de chaque État, rejettent vos plaintes sans même les regarder ?
Comment gagner quand la Cour suprême fédérale, pourtant majoritairement républicaine, refuse de combattre la fraude, malgré des milliers de témoignages sous serment ?
Comment gagner quand l’ensemble des médias pratiquent une censure impitoyable et refusent de retransmettre vos discours et vos meetings particulièrement populaires ?
Comment gagner quand les réseaux sociaux vous bannissent et écartent tous les tweets qui vous soutiennent ou dénoncent la fraude ?
Comment gagner quand le chef de la majorité républicaine au Sénat s’associe à la présidente démocrate de la Chambre des représentants, pour paralyser le Congrès et bloquer les objections ?
Comment gagner quand votre ministre de la Justice soutient publiquement qu’il ne voit aucune fraude ?
Comment gagner quand votre propre Vice-Président, que l’on croyait fidèle parmi les fidèles, vous trahit en pleine bataille judiciaire ?
C’était donc mission impossible pour Donald Trump de l’emporter.
On ne peut pas gagner seul contre la justice, les médias, le Parlement et une partie de l’exécutif.
L’erreur de Trump, qui est pourtant rusé et connaissait la menace, a été de ne pas nettoyer le pays des taupes mondialistes, y compris dans son camp.
Aujourd’hui, les grands gagnants sont les tricheurs, les fraudeurs, les fossoyeurs de la nation et de la démocratie, qui font passer Trump pour un putschiste.
La raison du plus fort est toujours la meilleure et dans toute l’Europe, les leaders ont rejoint la meute démocrate pour nier la fraude et participer à la curée, tous complices de ce hold-up électoral.
Mais l’Histoire donnera raison à Donald Trump.
Raison sur la réalité de la fraude, car il sera impossible de faire table rase de ces deux derniers mois de violation totale de la loi et de la démocratie.
Raison sur son fabuleux bilan économique, le plus éclatant depuis Ronald Reagan, le vainqueur de la guerre froide.
Raison sur la Chine, l’Iran ou la Corée du Nord, les ennemis du monde occidental.
Trump se retire, mais le trumpisme marquera le pays encore longtemps.
Le grand perdant de ces élections est le peuple américain, auquel on a confisqué son bulletin de vote, qui compte dorénavant pour du beurre.
Biden et sa clique, ce sont ces nantis de la côte Est, l’élite démocrate “cultivée”, qui se prend pour le nombril du monde et méprise le petit peuple qui a bâti la grande nation américaine, les ploucs incultes de l’Amérique profonde qui ont voté pour Trump.
On retrouve chez cette élite la même arrogance que chez Macron, incapable de ressentir la moindre fierté pour son pays ou la moindre estime pour le peuple gaulois.
Biden comme Macron se posent en rassembleurs alors qu’ils ont la haine de leur peuple.
Qui peut croire qu’un Biden a de l’estime pour les Afro-Américains ou les Hispanos ? Il ne fait que flatter son électorat.
Qui peut croire que Macron a de l’estime pour nos musulmans, quand ceux-ci rêvent d’instaurer la charia ? Macron ne les caresse dans le sens du poil que par peur des émeutes et par intérêt électoral.
Mais l’Histoire montre que les peuples finissent toujours par avoir raison.
La colère du Capitole, ce n’est pas la faute de Trump, qui a dit la vérité sur la fraude électorale.
La colère du peuple provient de l’arrogance des élites qui ont refusé d’examiner les plaintes largement justifiées.
Quel mépris ! Quelle arrogance ! Quel manque de respect pour le peuple et la démocratie !
Il suffisait aux juges de faire leur métier, de manifester un minimum d’éthique, pour examiner ces plaintes.
S’ils ne l’ont pas fait, c’est parce que la fraude était gigantesque et donnait raison à Trump.
Et cela, les 74 millions d’électeurs de Trump le savaient.
On ne peut donc pas leur en vouloir d’être en colère. Le peuple a toujours raison.
Quant aux tragiques incidents du Capitole, avec des morts à déplorer, des photos montrent qu’il s’agit d’une action programmée des antifas.
Trump, dès la mauvaise tournure des évènements, a demandé à ses fans de rentrer chez eux. Tandis que le camp Biden tente de s’exonérer de ses propres responsabilités.
Biden va donc pouvoir mener sa politique malfaisante, régulariser 11 millions de clandestins, rétablir les relations avec l’Iran terroriste, liquider la liberté d’expression en révisant le 1er amendement et modifier la législation sur les armes à feu avec le 2e amendement.
Il veut aussi ajouter trois juges démocrates à la Cour suprême, histoire de verrouiller l’emprise Démocrate sur le pays.
Ce sera la plus grande marche en avant des États-Unis vers le socialisme. Une révolution.
J’ajoute que le grand perdant est aussi le parti Républicain, qui a perdu le Sénat et ne reviendra jamais au pouvoir, quand les Démocrates auront cadenassé le pays à leur profit.
Chose que Donald Trump n’a pas osé faire, mais qu’on a quand même traité de dictateur.
Nous ne reverrons plus jamais l’Amérique de John Wayne que nous aimons, ni l’Europe de l’après-guerre.
La mondialisation va laminer tout cet héritage au profit du multiculturalisme. Le mal est déjà profond.
Le crépuscule de l’Occident a commencé et aucun patriote du monde occidental ne peut se réjouir du départ de Trump.
Nous assistons à un immense suicide collectif. Et avec Biden aux commandes, les désillusions ne vont pas tarder, apportant leur lot de violences et de colère.
Jacques Guillemain
Source : https://ripostelaique.com/trump-sen-va-74-millions-delecteurs-ont-la-gueule-de-bois.html