Ramadan, lisez-nous les sourates violentes qui légitiment le terrorisme
Les islamo-collabos, ces pathétiques « experts » du « pas d’amalgame », et la majorité musulmane sortent de leur boîte comme un diable, pour chaque satire de leur infâme prophète. Ils se montrent plus musulmans que les musulmans, dans le sentier d’Allah.
Leur entêtement hystérique à vouloir enfumer l’opinion publique avec leur litanie du « ce n’est pas ça l’islam » est aussi criminel que l’obligation faite à chaque musulman d’oeuvrer pour la propagation de sa foi par tous les moyens – surtout ceux qui installent la peur et l’effroi.
Malgré les évidences théologiques et dogmatiques, et la réalité des faits, ils cherchent à faire passer l’islam pour un enfant de choeur pendant que les djihado-terroristes font tomber le masque de leur belle au bois dormant.
Ils sont persuadés de pouvoir convaincre l’opinion publique majoritairement hostile à l’islam, en criant comme un putois que ces crimes sont étrangers à l’islam.
De que islam s’agit-il ?
Celui de leur mauvaise foi et leur ignorance, celui qui sert de substrat idéologique et théologique aux djihado-terroristes, ou celui qui arme leur main et leur promet l’érection éternelle et l’ivresse ad vitam eternam, comme le fait remarquer Ghaleb Bencheikh lorsqu’il affirme : « Ah non, ça ne nous concerne pas, l’islam, c’est la paix. »
Pirouette trop facile pour noyer le poisson et sauver la face de l’islam.
Remettre en cause les prescrits violents du Coran, c’est condamner l’islam lui-même et l’amputer de son moteur idéologique.
Voilà pourquoi, à chaque événement tragique portant la signature de l’islam, les musulmans qui pratiquent la takiya, tels Ramadan, Chalghoumi et Boubakeur, plutôt que de venir faire une lecture publique des sourates violentes qui nourrissent les actes terroristes et les légitiment, ainsi que les hadiths qui incitent à la haine et appellent au meurtre, au lieu de proposer des pistes de réflexion sur la refondation impossible de l’islam et de son adaptation aux temps modernes, viennent s’épancher dans les médias pour faire apitoyer l’opinion publique sur le sort de l’islam martyrisé. Du coupable on fait une victime.
Ce ne sont pas leurs bonnes paroles qui vont rassurer l’opinion publique ni calmer la phobie de l’islam, ce cauchemar véhiculé par les organisations terroristes de Daech, Boko Haram, Ansar Charia, Fajr Libya, Hamas, Talibans, Shebabs, al Qaïda, Hezbollah, Ennahdha, AQMI, et occupent les devants de la scène de la barbarie humaine. Ils ont le mérite de faire tomber le masque de l’islam, et mettre la majorité des musulmans en face de leurs mensonges et leur mauvaise foi.
Pendant que l’islam continue à répandre la mort aux quatre coins de la terre, au lieu de le combattre, on veut le rendre fréquentable.
Il est du devoir de chaque être humain qui s’inquiète de la montée du terrorisme musulman, bien pire que le péril nazi, de veiller à ne pas minimiser la réalité criminelle et génocidaire de cette religion, afin de ne pas tomber dans l’angélisme de l’innocence de l’islam.
Cela scandalise et effarouche les musulmans. Tétanisés par leur peur inconscience de l’islam, et leur lâcheté, ils préfèrent dégainer leur rengaine favorite, leur seul argument de défense : « ce n’est pas ça l’islam et honte à ceux qui pensent du mal de notre religion de paix ».
Au lieu de chercher le vrai coupable, l’islam qui empoisonne notre vie, on criminalise et stigmatise ceux qui s’inquiètent du péril musulman.
Dénoncer, informer, alerter, critiquer et faire barrage n’est ni de la haine ni de l’acharnement, c’est un acte de salubrité humaine.
C’est l’islam qui produit la haine et la mort à la chaîne.
Il vaut mieux être l’objet du courroux des musulmans et de leurs nervis, genre Duflot, Juppé, Mélenchon, Eva Joly et tant d’autres à gauche et à droite, que d’avaler notre langue et ranger notre plume pour se murer dans le déni de la barbarie.
Jamais la banalisation de crimes abominables, marque de fabrique de l’islam, ne doit servir d’étouffoir au réveil des consciences et faire taire les hostilités légitimes.
Le crime, c’est la loi du silence que l’on veut instaurer pour faire de l’islam un sanctuaire inviolable pendant qu’il tue.
On doit juger les actes génocidaires dont ont été victimes ces derniers jours des chrétiens au Nigéria, au Pakistan et en Tunisie. On doit se demander pourquoi les musulmans approuvent, par leur silence inquiétant, ces crimes contre l’humanité.
L’image des musulmans changera le jour où ils auront le courage de condamner les hadiths et les versets violents, racistes, antisémites, sexistes, génocidaires, impériaux, pédophiles, incestueux, inégalitaires, discriminatoires et méprisants pour les femmes, nécrophiles et haineux.
Une idéologie qui fait du musulman un symbole de pureté qu’Allah a élevé au-dessus de tous les autres n’a rien d’humaine et égalitaire, elle est tout simplement nazie et doit être bannie de notre humanité.
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