Toute réflexion faite, je suis favorable à la réforme scélérate et anti-française de l’enseignement de l’histoire de France, qui fait la part belle à l’islam. A une condition : que l’on fasse une lecture critique, objective et rationaliste de l’histoire de l’islam, et non pas le socle identitaire commun à tous les Français.
L’histoire de l’islam doit être étudiée, de la même façon que le nazisme, comme le plus grand fléau de l’histoire universelle.
Il faut sortir des sentiers battus, sortir du récit légendé et embelli. Il faut interroger et explorer l’expansion ultra-violente de l’islam, qui a atteint les sommets de la barbarie lors de ses conquêtes génocidaires.
Il n’y a pas plus d’islam de lumière que d’humanisme musulman.
L’histoire se nourrit de faits et non de fiction. Il est temps de publier la véritable histoire de l’islam, et faire tomber les masques de cette fantasmagorique religion de paix et de savoir, qui fut (et continue à être) le cauchemar de l’humanité.
Faire la lumière sur les crimes occultés de l’islam, sa haine pathologique des civilisations, son idéologie ethnocentrique et suprémaciste, son esprit d’intolérance, son racisme dogmatique, son goût prononcé pour le vandalisme-destructeur des oeuvres d’art, des monuments historiques, des livres, des documents et des manuscrits, des sites naturels, et des édifices religieux qui témoignent de l’excellence architecturale des autres religions.
L’histoire musulmane doit tout aux autres et n’a rien inventé. Ni rayonné sur le monde. Le Proche-Orient et l’Andalousie n’étaient pas le monde. D’autres peuples le dominaient de leur puissance et leur richesse novatrice et intellectuelle, dont les chinois face auxquels ils faisaient bien pâle figure (et le feraient encore sans le pétrole qu’ils ne savent pas extraire seuls, sans l’aide de l’Occident)
Que connaissent-ils des civilisations amérindiennes pour jouer au premier de la classe, alors qu’ils n’ont laissé derrière eux que du vent, du sable, des nuages de poussière, et la fumée de leur destruction ?
Ont-ils sorti du sable la civilisation égyptienne alors qu’ils foulaient, incultes et sectaires, la terre des Pharaons ?
L’histoire de l’islam est celle de la transformation des pays conquis en champ de ruines, en déserts de désolation et océans de larmes. Comme le dit Ibn Khaldoun, un pays conquis par les musulmans est voué à la ruine :
« Que sont devenues les sciences des Perses dont les écrits, à l’époque de la conquête, furent anéantis par ordre d’Omar ? Où sont les sciences des Chaldéens, des Assyriens, des habitants de Babylone ? […] Où sont les sciences qui, plus anciennement, ont régné chez les Coptes ? Il est une seule nation, celle des Grecs, dont nous possédons exclusivement les productions scientifiques, et cela grâce aux soins que prit El-Mamoun de faire traduire ces ouvrages.
[…]
Les musulmans, lors de la conquête de la Perse, trouvèrent dans ce pays une quantité innombrable de livres et de recueils scientifiques ; [leur général] Saad ibn Abi Oueccas demanda par écrit au khalife Omar ibn al-Khattab s’il lui serait permis de les distribuer aux vrais croyants avec le reste du butin.
Omar lui répondit en ces termes : ‘Jette-les à l’eau ; s’ils renferment ce qui peut guider vers la vérité, nous tenons de Dieu ce qui nous y guide encore mieux ; s’ils renferment des tromperies, nous en serons débarrassés, grâce à Dieu !’
En conséquence de cet ordre, on jeta les livres à l’eau et dans le feu, et dès lors les sciences des Perses disparurent. »
L’histoire de l’islam doit être vulgarisée. C’est celle de l’esclavagisme, de la déportation des peuples, de la dhimmitude, du régime politique despotique et liberticide des Califats islamiques, dont les noms portent les traces de tâches indélébiles, de milliards de litres de sang humain, bien plus que celui versé par l’Inquisition, Staline, Pol Pot, Hitler, Alexandre le Grand, et Gensis Khan.
Une historiette de mythes et légendes n’est pas l’histoire qui doit prendre place dans les manuels scolaires.
Les orientalistes atteints d’islamo-centrisme sont les premiers responsables de l’exagération sur cette pseudo-civilisation. C’est à cause d’eux que l’Occident traîne des contre-vérités historiques comme un boulet. Pour les musulmans, la science de la raison est un sacrilège, un acte blasphématoire, depuis le jour où ils ont abandonné le rationalisme mu’atazilite, au Xe siècle, au profit de la toute-puissance d’Allah, maître de la pensée, législateur, directeur de conscience, concepteur et créateur.
En quoi l’histoire de l’islam est utile aux Français ?
L’est-elle pour les musulmans qui sont à la traîne du train du progrès humain, qui ont raté tous les rendez-vous de l’histoire des sciences et des techniques ? Pour être utile à la France, il faudrait qu’elle le soit d’abord pour les siens. Et leurs performances économiques, intellectuelles, culturelles, technologiques, juridiques et sociétales ne brillent guère. Tout gravite autour de la religion, qui verrouille la pensée et l’innovation.
« L’islam, c’est l’union indiscernable du spirituel et du temporel, c’est le règne du dogme, c’est la chaîne la plus lourde que l’humanité ait portée. » – Ernest Renan, 29 mars 1883 à la Sorbonne, lors d’une conférence intitulée « L’islamisme et la science ».
La liste des « savants » arabes (qui ne le sont que de langue) elle tient sur quelques pages trop peu significatives pour rivaliser avec les autres peuples.
A supposer qu’ils aient contribué aux progrès humains, qu’ont-ils fait depuis Avicenne ? Un vide abyssal.
Sans les prêtres syriaques, auraient-ils découvert l’hellénisme ? L’Eglise elle-même ne les a pas attendus, avec Saint Thomas d’Aquin.
La femme musulmane qui préside à la destinée de l’éducation nationale en France connaît-elle les véritables sources de cette civilisation, qui est loin d’avoir les attributs qu’on lui prête ? Que sait-elle des apports de l’Inde dans tous les domaines ? Que sait-elle de la vérité sur les soi-disant chiffres arabes ?
Elle doit savoir que l’islam préfère les imams aux hommes de sciences. Préfère ibn Taymmiya, Mohamed Ibn Adelwahhab et l’imam Al-Ghazali à Tabari, Al-khawarizmi, Avicenne et Averroes qui furent persécutés et dont les oeuvres furent brûlées, et certains condamnés pour apostasie, pour avoir mis en cause l’omnipotence et l’omniscience d’Allah.
Il n’y a qu’une seule histoire qui tienne, celle des faits historiques, auxquels on ne peut tordre le cou.
Du massacre des perses, des assyriens, des coptes, des amazighs, des arméniens, des peuples noirs, des papous, des grecs, des juifs et des chrétiens en Arabie et en Bosnie en 1942-43, des gitans, des hindous (le plus grand génocide de tous les temps), connu sous le nom de l’Hindi Kuch.
Selon le Professeur Kishori Saran Lal (dans La Croissance de la Population musulmane en Inde) entre les seules années 1000 à 1525, 80 millions d’hindous furent tués, sans parler des famines et calamités naturelles engendrées par la guerre, « sans doute le plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité ».
L’histoire sanguinaire des Califats musulmans a commencé avec le premier Califat d’Omar, entamée déjà sous l’impulsion de Mahomet par la purification et l’extermination des juifs, des chrétiens et des polythéistes en terre d’Arabie, et s’est achevée avec le génocide des Arméniens, des Grecs et des Assyriens sous le règne du Ve Califat.
Oui à l’enseignement de l’histoire pour la reconnaissance des crimes contre l’humanité et des guerres de l’islam.
Non à la déconstruction idéologique de l’identité française.
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