ON NOUS COMMUNIQUE CECI QUI ACCOMPAGNE NOTRE RESSENTI PROPHETIQUE EN VUE DE CET AUTOMNE….
H.GOEL
S’il ne se passe guère un été sans qu’un conflit éclate sur la surface de la planète, il est ici question d’une guerre de grande ampleur, qui pourrait même
être nucléaire.Said a senior NATO (non-US) GOFO to me today: « We’ll probably be at war this summer. If we’re lucky it won’t be nuclear. » Let that sink in. — John Schindler (@20committee) 20 Mai 2015 Un officiel (non-américain) de l’OTAN m’a dit aujourd’hui: “Il y aura probablement une guerre cet été. Si on a de la chance, elle ne sera pas
nucléaire.”»
l’École navale américaine, connu pour ses contacts haut-placés dans la hiérarchie militaire, rappelle le site InfoWars.S’il ne se passe guère un été sans qu’un conflit éclate sur la surface de la planète, il est ici question d’une guerre de grande ampleur. Les propos
rapportés par John Schindler font écho à l’escalade des tensions entre les Occidentaux d’un côté, les Russes et les Chinois de l’autre, notamment autour du
dossier ukrainien.Exercices militaires
Alors que, depuis des mois, les Norvégiens suspectent des sous-marins russes de croiser au large d’Oslo, dans les profondeurs de la Baltique, l’Alliance
atlantique, Britanniques en tête, a décidé de réagir début mai, expliquait The Telegraph. Dix-huit vaisseaux ont participé à un exercice naval de grande
envergure dans cette mer du nord-est de l’Europe. Dans le même temps, des troupes britanniques étaient envoyées en Estonie pour accomplir des
manœuvres militaires de concert avec l’armée du pays.
L’intention est claire: montrer que les Républiques baltes, craignant que leur voisin russe ne leur réserve le même sort qu’à l’Ukraine, seront protégées
par leurs alliées en cas d’attaque. Il s’agit de l’exercice militaire le plus important dans cette région du monde depuis la fin de l’URSS.
4.000 hommes et 90 avions sont mobilisés pendant douze jours. Cette initiative a trouvé une réplique côté russe, où 250 appareils, assistés par 12.000
hommes en armes, survolent le ciel sibérien et les cols de l’Oural. A l’est, du nouveau La situation orientale a aussi de quoi interpeller. D’autant plus qu’on assiste au renouvellement d’une union entre la Russie et la Chine, observe The L.A
Times. En plus de divers partenariats commerciaux établis au moment de la récente visite de Xi Jinping à Moscou, les deux pays ont passé un cap ces
dernières semaines dans le domaine de la coopération militaire. Une opération bilatérale, longue de dix jours, a eu lieu en pleine Méditerranée.
au sud de la mer de Chine, des eaux particulièrement disputées. Les États-Unis cherchent à obliger la Chine à renoncer à cette démarche. Une exigence
qui passe mal là-bas, souligne l’agence Reuters en citant les médias chinois. Le Global Times, un tabloïd proche du parti communiste chinois, a même écrit
dans ses colonnes que «la guerre était inévitable, si les États-Unis ne renonçaient pas à vouloir stopper ces travaux». Le journal ajoutait que «l’intensité
de ce conflit serait plus forte que ce que les gens entendent généralement par le terme de “frictions”».