Juste pour te donner une vision que j’ai reçue au petit matin encore dans mon sommeil.
C’était l’été pendant une période estivale, et je voyais la plage, la mer bleue, il y avait un petit vent et un ciel azur sans nuage où tout paraissait calme, paisible, apportant bien–être à ceux qui étaient là. Cette atmosphère présageait une journée bénie axée sur le plaisir de l’homme. Sur cette plage, des jeunes gens jouaient au handball, des personnes prélassées sur le sable se faisaient bronzer, et d’autres également allongées sur le sable se laissaient bercer par le clapotis des vagues qui venaient mourir sur le bord de la plage. D‘autres encore se délectaient d’une bonne glace qui, comme on pouvait le voir à leur visage, satisfaisait leurs papilles gustatives et apportait un bien–être charnel.
Puis j’ai vu arriver sur cette plage comme une rivière de gélatine visqueuse et adipeuse de couleur marron foncé et cette rivière gélatineuse ressemblait à une limace qui grossissait au fur et à mesure qu’elle engloutissait tous les êtres vivants sur cette plage.
Mat. 24:37-44 (version David H. Stern) : » Car l’avènement du Fils de l’Homme sera semblable aux jours de Noach. A cette époque, avant le déluge, les gens mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leur enfants, jusqu’au jour où Noach entra dans l’arche. Ils ne se doutaient pas de ce qui allait arriver jusqu’à ce que le déluge vienne et les emporte tous. Il en sera de même à la venue du Fils de l’Homme. Alors, deux hommes seront dans un champ, l’un sera pris, et l’autre laissé. Deux femmes seront en train de moudre le grain au moulin, l’une sera prise, l’autre laissée. Soyez donc vigilants, car vous ne savez pas à quelle heure votre Seigneur vient. Mais vous, comprenez bien ceci : si le propriétaire de la maison avait su à quelle heure de la nuit le voleur devait venir, il serait resté éveillé et n’aurait pas permis que l’on pénètre dans sa maison. C’est pourquoi, vous aussi, vous devez être toujours prêts, car le Fils de l’Homme viendra à l’heure où vous l’attendrez le moins. »
Je crois également que cette vision s’adresse aussi à nous les croyants en Yeshoua qui sommes toujours axés sur notre bien-être, et sur nos désirs encore trop charnels, car nous ne sommes plus dans ces temps : nous entrons dans des temps de tempêtes tropicales où tout va être emporté.
Shabbat shalom,
Catherine