Découvrez les différences :
Les immigrés italiens en Belgique, il y a environ 50 ans, en haut sur l’image, et les « migrants » africains à l’hôtel en Italie aujourd’hui.
Dans tous les débats sur la crise migratoire actuelle, les journalistes et les pro-immigrationnistes aiment se référer au passé, afin de justifier l’invasion en cours.
Immanquablement, telle une ritournelle, apprise par cœur, nos ardents défenseurs du grand remplacement nous rappellent fièrement que nos pays ont toujours été une terre d’accueil et ce fait, d’ailleurs, est incontestable.
Toutefois, la différence est immense entre les migrants du siècle passé et les « réfugiés » d’aujourd’hui. Différence qui semble échapper à leur pauvre cervelle, formatée à la pensée unique, très en vogue.
Au siècle dernier, Chinois, Arméniens, Russes, Polonais, Italiens, Portugais, Grecs, Hongrois, Vietnamiens, Chiliens et bien d’autres encore, fuyant les persécutions politiques ou la misère immigraient dans nos pays, afin d’y trouver refuge et travail.
A la fin de la seconde guère mondiale, tout était à reconstruire, il y avait du travail, et les immigrés économiques arrivaient munis d’un contrat de travail. Ils contribuèrent au développement de nos pays. Ils travaillaient dans les mines à charbon, dans les industries sidérurgiques, métallurgiques, mécaniques, dans la construction et dans les exploitations agricoles. Certains de ces jeunes immigrés perdirent leur vie dans les mines, victimes de coups de grisou, et ne purent jamais réaliser leur rêve d’un retour au pays. D’autres, à la fleur de l’âge, succombèrent à la silicose, cette terrible maladie des mineurs.
Tous acceptaient des conditions de travail très pénibles, ils ne bénéficiaient d’aucune aide sociale, devaient se loger dans des baraques, subissaient en silence remarques humiliantes et mépris, mais serraient les dents, sans oser riposter, car ils étaient malgré tout reconnaissants envers leurs hôtes, qui leur permettaient de gagner leur vie et ainsi aider leurs familles restées au pays.
Aucune association ne se préoccupait de leur sort. Ils devaient se débrouiller seuls.
Puis, peu à peu, ils s’intégrèrent, apprirent la langue du pays, firent venir leur famille. Les enfants des étrangers, comme ils étaient appelés à l’époque, les « polack » ou « les sales macaronis » ou « les citrons », étaient fiers d’aller à l’école, avides d’apprendre et ils respectaient leurs professeurs.
Les migrants européens partageaient, avec leurs pays hôtes, la même culture, souvent la même religion, et des valeurs communes. Aucun de leurs livres religieux n’appelait à subjuguer les croisés, les juifs et les laïcs. Les migrants asiatiques ne posaient aucun problème. Ils respectaient leur pays d’accueil. Jamais ils n’essayèrent d’imposer leur façon de vivre, leurs traditions, leur langue ou leur religion, pour les Bouddhistes. Bien au contraire, tout en gardant leur fierté identitaire et la nostalgie de leur pays natal, ils se fondèrent dans la masse et devinrent des citoyens à part entière et fiers de l’être.
Aujourd’hui, nos pays sont confrontés à des migrants en provenance du Moyen Orient et d’Afrique subsaharienne, majoritairement musulmans.
« Musulmans » voilà le mot, que nos bonnes âmes, prônant l’ouverture totale de nos frontières, ne veulent pas entendre. Pas de discrimination !
Et pourtant … là est le nœud du malaise.
Si ces migrants n’étaient pas musulmans, les réactions négatives seraient-elles aussi virulentes ? Bien sûr que non ! Car les musulmans importent avec eux leur « religion », l’islam, cette « religion » de conquête, de violence, de soumission.
Si les immigrés musulmans des années soixantes et septantes ne posèrent aucun problème et s’intégrèrent sans difficulté, heureux de vivre à l’occidentale, ce n’est plus le cas aujourd’hui.
Doit-on faire comme si nous n’avions pas été témoin que depuis une décennie, nous assistons à une radicalisation religieuse inquiétante ? Que de plus en plus de citoyens européens de confession musulmane rejettent ouvertement notre mode de vie occidental, expriment leur haine de nos démocraties, de nos valeurs et rêvent à nous soumettre à leur idéologie ?
Doit-on faire comme si nous n’avons pas entendu que les nouveaux arrivés sont pris en charge par les groupes islamistes salafistes et les organisations musulmanes affiliées aux Frères musulmans ?
Salafistes et Frères musulmans, aux dernières nouvelles, ne sont pas habités par l’amour de l’Occident et de ses valeurs. Ils prônent un islam rigoureux, gouverné par la charia. Doit-on l’ignorer ?
Nos irresponsables politiques persistent à vouloir en accueillir de plus en plus.
Et ils nous bassinent avec leurs arguments fallacieux. Ils nous disent que nombreux, parmi ces réfugiés musulmans, sont des universitaires qui apportent leur savoir, leur compétence, leur culture. Ils nous enrichissent, nous avons besoin d’eux, marmonnent-ils à longueur de journée, comme s’ils étaient aux abois.
Si tel était le cas, ces élites ne devraient-elles pas rester dans leur pays, et après avoir mis leur famille à l’abri, se battre pour rétablir l’ordre et la démocratie et mettre leur talent au service de leur propre pays pour le reconstruire ?
Et comment justifier d’envoyer nos jeunes mourir en Syrie, tout en accueillant les hommes syriens, en âge de se battre, dans nos pays ? Pourquoi cet échange funeste ?
Et nos diplômés à nous, ils comptent pour du beurre ?
Et nos diplômés à nous, ils comptent pour du beurre ? A croire que nous sommes tous devenus analphabètes, incapables, des nullités dont la survie ne dépend plus que de la migration d’élites musulmanes !
Imposer des numerus clausus à nos étudiants, puis se plaindre d’un manque cruel de professionnels dans tel ou tel domaine, n’est-ce pas là une stratégie pour nous enjoindre à accueillir des universitaires étrangers, qui seront payés à des salaires inférieurs, afin de satisfaire la cupidité d’un patronat à l’appétit financier gargantuesque ?
Alors que le chômage explose en Europe, nos cerveaux à la tête de l’UE, s’émeuvent, non du chômage endémique de nos jeunes et de leur sombre avenir, mais du sort des réfugiés si ces derniers n’accédaient pas au travail.
« Avoir du travail, c’est une question de dignité » a affirmé Mr Juncker en parlant des réfugiés. Et nos jeunes sans travail, n’ont-ils pas aussi le droit à la dignité ? D’où vient ce mépris pour nos chômeurs et cette hyper sensibilité pour les étrangers ?
Mr Juncker a déclaré sans vergogne aucune, au cours de la réunion du 9 septembre dernier :
“Par le passé, l’Europe a commis l’erreur de faire une distinction entre les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans. Or, il n’existe aucune religion, aucune croyance, aucune philosophie, quand il s’agit de réfugiés. »
Faux ! Les réfugiés chrétiens sont stigmatisés par l’UE.
Exemple récent, la France a refusé des visas aux membres d’une chorale chrétienne syrienne.
Le ministère de l’intérieur a demandé au consulat de « réexaminer » le dossier de ces choristes qui doivent participer à un festival de musiques sacrées à Strasbourg, du 6 au 11 novembre.
Depuis Damas, les chanteurs orthodoxes se sont rendus en car à l’ambassade de France à Beyrouth pour y déposer leur dossier de demande. Ils étaient munis de billets d’avion aller-retour, d’une réservation d’hôtel et d’une attestation du maire de Strasbourg, dont la collectivité subventionne le festival. Selon Jean-Louis Hoffet cependant, les chanteurs ont essuyé un refus. Leurs demandes ont été refusées car leurs dossiers ont été jugés « pas fiables », a-t-il raconté.
« C’est ahurissant ! Je suis outré, stupéfait qu’on puisse refuser un visa à des gens qui viennent chanter leur foi dans nos églises, alors même qu’on fait des grands discours sur l’accueil de 24 000 migrants !», s’est emporté l’organisateur. (Source : Journal La Croix)
« Je suis fortement en faveur d’accorder aux demandeurs d’asile le droit de travailler et de gagner leur vie, pendant l’examen de leur demande. Avoir un travail est une question de dignité.. nous devrions donc modifier notre législation nationale afin de permettre aux migrants et aux réfugiés, de travailler, dès leur arrivée en Europe. »
Et les Européens sans emploi, à jeter aux rebuts, Monsieur Juncker ?
En Allemagne, le Ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière déclarait au journal « Die Zeit » :
“La crise de la migration représente un formidable défi. Ce challenge dépasse ce que nous aurions pu imaginer, au point de vue social, politique, économique et culturel… Nous allons accueillir des centaines de milliers d’Arabo-musulmans. Et comme l’a fait remarquer mon collègue français, cela constitue une différence significative, en terme d’intégration… car une majorité de ces migrants sont illettrés, ce qui limite la possibilité de leur trouver un emploi.»
Illettrés ? Sa déclaration contredit totalement l’encensement habituel, par nos élites, des migrants source de richesse, d’épanouissement et dont l’apport culturel serait immense.
Thomas de Maizière continue :
« Nous devons nous habituer à l’idée que notre pays est en train de changer : école, police, justice, services de santé, habitations… (et j’ajouterai : la population). Nous avons également besoin d’un amendement à notre constitution. Et tout cela se passe très rapidement, en quelques semaines. Cela exigera un changement phénoménal dans notre façon de penser. »
Et le naïf semble heureux de ce « challenge » comme il dit. Voir disparaitre son pays, semble lui procurer une certaine jouissance. A-t-il seulement pensé, l’espace d’une seconde, au destin qu’il prépare à ses propres descendants, dans une Allemagne islamisée ?
La voix de la raison, opposée à celle de la déraison
La plupart d’entre eux ne sont pas des Chrétiens, mais des musulmans. Ceci est une réalité importante
Viktor Orban :
«La décision prise par des bureaucrates non élus de Bruxelles force les pays européens à ouvrir leurs frontières et les oblige à fournir gratuitement aux migrants, nourriture, vêtements, soins de santé et logement pour une période indéfinie. Cette décision ne représente pas seulement une usurpation audacieuse de la souveraineté nationale, elle encourage également des millions de nouveaux migrants en provenance du monde musulman à venir en Europe.
Nous ne faisons pas face à une crise de réfugiés, mais à une crise migratoire.
N’oublions pas que ces gens ont été élevés dans une autre religion et leur culture est radicalement opposée à la nôtre. La plupart d’entre eux ne sont pas des Chrétiens, mais des musulmans. Ceci est une réalité importante, car l’Europe et l’identité européenne sont enracinées dans le christianisme. N’est-ce pas inquiétant de constater que l’Europe chrétienne peine à la maintenir chrétienne. Si nous perdons cela de vue, nous risquons de devenir une minorité dans nos propres pays, dans notre propre continent.»
Le journaliste et auteur britannique Peter Hitchens écrivit dans un essai intitulé « Nous ne sauverons pas les réfugiés en détruisant notre propre pays » :
« En réalité, nous ne pouvons faire ce que nous voulons dans ce pays. Nous l’avons reçu en héritage de nos parents, et grands-parents et nous avons le devoir de le léguer à nos enfants et petits enfants en bon état. C’est l’une de nos plus lourdes responsabilités, jamais reçues auparavant. Nous ne pouvons juste le donner à des étrangers sous l’impulsion d’un bon sentiment.
Grâce à un millier d’années de paix, sans invasion, nous avons développé des niveaux surprenants de confiance, de sécurité et de liberté. Je suis abasourdi par la facilité avec laquelle nous sommes sur le point de tout céder.
Nos avantages dépendent largement de notre passé commun, de nos traditions, de nos habitudes et de nos mémoires. Les nouveaux venus peuvent apprendre, seulement s’ils arrivent en petits nombres. L’immigration de masse signifie, que nous nous adaptons à eux, alors qu’ils devraient s’adapter à nous.
Alors, maintenant, basé sur un spasme émotionnel, paré de civilisation et de générosité, allons-nous abandonner notre héritage et rejeter notre obligation morale de le transmettre à nos descendants, comme des héritiers affaiblis, laissant leur propriété tomber en ruine ?
Je ne vois ni logique, ni justice à laisser cette migration devenir un prétexte à une révolution démographique inéluctable, dans laquelle l’Europe, y compris, hélas nos îles, fusionnera sa culture et son économie avec l’Afrique du Nord et le Moyen Orient. Si cela devait s’avérer, l’Europe perdrait tous ses attraits, qui attirent tellement les migrants non européens. »
Des millions de musulmans essayent, au péril de leur vie, de rejoindre les frontières de cette civilisation, qu’ils ont historiquement accusée d’être diaboliquement responsables de tous les maux de la terre.
Les riches pays arabes tournent le dos à leurs frères musulmans dans le besoin et les hypocrites islamistes blâment l’Occident pour leurs malheurs.
Mais personne ne se pose les questions suivantes :
« Pourquoi ces musulmans, qui haïssent l’Occident, veulent tous y vivre. Pourquoi les non musulmans devraient-ils payer le prix fort et se sacrifier pour des guerres intra-musulmanes, et accepter sans broncher les vagues de migrants fuyant ces conflits ?
Ces gens n’échappent pas au Moyen Orient, ils apportent le Moyen Orient chez nous.
Que l’Europe accepte les chrétiens, et les pays arabo-musulmans les musulmans arabes !
Les musulmans voient l’Occident chrétien comme le «mal absolu». Toutefois, ils savent que les pays chrétiens sont les pays les plus agréables économiquement et politiquement et tous aspirent à y vivre. Malheureusement, une fois bien installés, ils se multiplieront et transformeront nos beaux pays en enfer islamique, cet enfer qu’ils quittent aujourd’hui dans l’espoir d’une vie meilleure dans cet Occident envié et haï à la fois.
Quand les adeptes de l’immigration musulmane comprendront-ils qu’elle n’est en rien comparable aux migrations passées ? Les migrants intra-européens étaient fiers de s’intégrer, les migrants musulmans ne rêvent qu’à nous intégrer.
Combien de temps l’Occident sera-t-il encore maitre de son destin, si rien ne change dans la folle politique migratoire actuelle ?
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