Le Chrétien Orban et le Bouddhiste Wirathu connaissent l’islam, leurs détracteurs médiatiques non.
Bataille de Vienne 1683 : l’armée ottomane est vaincue par l’armée chrétienne, ayant à sa tête le roi de Pologne Jean III Sobieski et le Duc Charles de Lorraine. Actuellement en Pologne, le Roi Jean III Sobieski est une idole.
Plusieurs pays d’Europe de l’Est se trouvent sous le feu croisé des critiques, émises par les nations occidentales progressistes, à cause de leurs réticences et leurs refus d’accepter des «réfugiés » musulmans.
Le premier pays dans la ligne de mire des « gentils humanistes» de l’UE est la Hongrie et plus spécifiquement son premier ministre Viktor Orban, qualifié par les médias occidentaux de «xénophobe», tenant des discours de haine et présenté comme un dictateur.
The Guardian, s’exprimant à l’instar d’un parrain de la mafia gauchiste, le considère comme un «problème» qui doit être «résolu» !
Mais quels sont donc les « crimes » reprochés à Viktor Orban ? : Etre patriote, aimer son pays, défendre son peuple !
Vouloir assurer la sécurité de sa nation contre les musulmans et préserver son identité chrétienne, ces valeurs oubliées par les « humanistes » à la noix occidentaux, sont une source de scandale à leurs yeux.
Viktor Orbán :
Personne ne peut nous forcer à cohabiter avec des gens dont nous n’aimons pas la façon de vivre. »
“N’oublions pas que ces gens ont été élevés dans une autre religion et leur culture est radicalement opposée à la nôtre. La plupart d’entre eux ne sont pas chrétiens, mais musulmans. Ceci est une réalité importante, car l’Europe et l’identité européenne sont enracinées dans le christianisme. N’est-ce pas inquiétant de constater que l’Europe chrétienne peine à la maintenir chrétienne. Si nous perdons cela de vue, nous risquons de devenir une minorité dans nos propres pays, au sein de notre propre continent. »
« Nous ne voulons pas critiquer la France, la Belgique ou n’importe quel autre pays occidental, mais selon nous, toutes les nations ont le droit de décider, s’ils veulent accepter un grand nombre de musulmans dans leurs pays. S’ils veulent vivre avec les musulmans, c’est leur choix. Ce n’est pas le nôtre. Les pays qui abritent de grandes communautés musulmanes, subissent des conséquences que nous voulons éviter à nos pays, et nous avons le droit de décider de ne pas les accepter. Personne ne peut nous forcer à cohabiter avec des gens dont nous n’aimons pas la façon de vivre. »
Lors de sa conférence de presse du 3 septembre, Orbán réitéra ses propos et répondit aux critiques de Donald Tusk, le président du Conseil européen :
« L’Europe courait le risque d’être submergée et devait fermer ses frontières. Les pays européens n’avaient pas l’obligation d’accepter la plupart des migrants, car l’écrasante majorité de ces gens ne sont pas des réfugiés, fuyant des pays en guerre. Notre devoir chrétien est de ne pas créer des illusions. »
Le premier ministre poursuivit en invoquant l’histoire, non de la façon politiquement correcte habituelle, qui consiste à diaboliser les chrétiens, tout en disculpant les musulmans de leur barbarie, mais conformément à la réalité historique.
« Quand il s’agit de vivre avec des communautés musulmanes, nous sommes légitimes à pouvoir en parler, car nous avons eu la malchance de faire cette douloureuse expérience : vivre sous le joug ottoman pendant 150 ans. »
Orbán se réfère ensuite à la conquête et à l’occupation islamique de la Hongrie de 1541 à 1699, période funeste, au cours de laquelle le jihad islamique, le terrorisme et la persécution des chrétiens furent omniprésents.
Mais la Hongrie n‘était pas la seule à vivre ces expériences « réjouissantes » sous le joug ottoman. Plusieurs pays du Sud-Est de l’Europe et des parties de la Russie moderne furent conquises, occupées et terrorisées par les Turcs, parfois d’une manière tellement cruelle, que les atrocités actuelles de l’Etat islamique ressemblent à des jeux d’enfants, en comparaison.
Décapitations, crucifixions, massacres, marchés aux esclaves, viols, toutes ces atrocités devenues les marques déposées de l’Etat islamique, furent perpétrées sur une bien plus grande échelle et ce pendant des siècles par les musulmans.
Néanmoins, pour les progressistes occidentaux, la mémoire de ces faits historiques s’est perdue dans les brumes de l’ignorance volontaire de l’histoire de l’Europe.
Dans un article intitulé « La honte a rejailli sur l
a Hongrie à cause du gouvernement Orban », The Guardian raille et banalise la position du premier ministre :
« La Hongrie a eu une histoire avec l’Empire ottoman et Orban est occupé à la conjurer. L’Empire ottoman frappe à nouveau, prévient-il. Ils reviennent ! La Hongrie ne sera jamais plus pareille ! D’où la clôture, l’armée, l’état d’urgence, la violente et implacable rhétorique de haine. Car c’est ce dont il s’agit depuis le début : de la pure hostilité grossière et calomnieuse.»
Il en va de même avec le Washington Post, journal de gauche comme le New York Times et The Guardian. Après avoir admis que la Hongrie fut occupée par l’Empire ottoman, sans toutefois mentionner les atrocités subies par la population, ce canard se demande s’il n’est pas étrange de penser que ce lointain passé de seigneurs guerriers et d’empire rivaux devrait influencer l’attitude d’une nation du XXIème siècle envers l’accueil des réfugiés.
Les médias officiels ignorent volontairement le fait que des jihadistes de l’Etat islamique s’infiltrent parmi les milliers de réfugiés. Ils réfutent l’idée que cet «état» islamiste barbare, qui fait revivre aujourd’hui l’empire ottoman en Irak, en Syrie, en Libye et ailleurs, projette de le faire également revivre en Hongrie et dans les pays du Sud-Est de l’Europe. Les « réfugiés » musulmans essayent déjà de forcer leur chemin en Hongrie et en Slovénie en lançant l’ancien cri de guerre islamique : « Allah Akbar ! »
Ces ignares de l’islam devraient se renseigner sur cette « religion » avant de se moquer des craintes que cette idéologie pseudo-religieuse suscitent.
Ils apprendraient que le jihad guerrier, qu’il soit défensif ou offensif, est une obligation islamique. Or, comme les musulmans se sentent toujours attaqués, c’est le jihad offensif, qui s’épanouit partout sur la planète, telle une fleur vénéneuse.
Ils s’instruiraient sur la Hijra, cheval de Troie moderne de la conquête des terres non musulmanes par l’immigration, un devoir islamique.
Ils sauraient que les lois islamiques sont immuables et ne peuvent être contestées sous peine de mort.
Dès lors, là où les musulmans s’incrustent, leur objectif final reste toujours le même : œuvrer dans le sentier d’Allah pour sa cause, soit par la ruse, soit par la violence. Et cela dure depuis 14 siècles …
Pour les réfugiés musulmans réguliers, nombreux parmi eux ne s’assimileront jamais et certains abuseront et exploiteront les faibles, en particulier les femmes et les enfants, pour faire appliquer la loi islamique dans leurs enclaves.
C’est exactement, ce à quoi se référait Viktor Orban, quand il déclara : « Les pays, qui abritent de grandes communautés musulmanes, subissent des conséquences, que nous voulons éviter à nos pays… »
Ces « autres » pays, dont parlent V. Orban ne se limitent pas seulement à l’Europe. Par exemple, au Myanmar (Birmanie), des minorités musulmanes non-indigènes créent le chaos et sont responsables de violences envers les infidèles et du viol des non musulmanes.
Conséquence, le sentiment antimusulman s’est accru parmi la majorité bouddhiste, ainsi que les critiques habituelles des médias occidentaux à l’égard des … Bouddhistes, les musulmans étant toujours les pauvres victimes.
Un chef bouddhiste très populaire, Ashin Wirathu, qualifié par les médias de “Ben Laden birman” s’oppose violemment à la présence musulmane dans son pays :
“Vous pouvez être plein de gentillesse et d’amour, mais vous ne pouvez dormir à côté d’un chien furieux »
Se référant aux musulmans, il a déclaré :
« Je les appelle fauteurs de troubles, car ce sont des fauteurs de trouble. »
Tout comme V. Orban, Wirathu met en garde: « Si nous sommes faibles, notre pays deviendra musulman.”
Le chant de son parti parle de gens, qui « vivent dans notre pays, boivent notre eau, mais ne sont pas reconnaissants » – une référence aux musulmans – et explique comment ils construiront une clôture avec leurs os, si nécessaire, pour les empêcher d’entrer.
Et en écho avec V. Orban, Wiranthu déclare : «Myanmar fait actuellement face à un poison des plus dangereux et effrayants, suffisamment impitoyable pour éradiquer toute civilisation. »
A cela, les scribouillards du NYT répondent: “le bouddhisme semble être en sécurité au Myanmar. Neuf personnes sur dix sont bouddhistes.. La minorité musulmane varie entre 4 et 8 %. »
Justifier la présence musulmane dans les nations non musulmanes et la qualifier d’inoffensive, car minoritaire, résonne comme un slogan publicitaire, destiné à endormir les non musulmans. C’est oublier, encore une fois, la nature perverse et dangereuse de l’idéologie islamique.
Après avoir exprimé son étonnement sur le rappel historique d’Orban, le Washington Post a insisté sur le fait que les musulmans en Hongrie ne représentent qu’un pour cent de la population et donc ne peuvent constituer un danger…
Ce canard ignore la loi islamique des nombres, qui s’exprime elle-même avec une cohérence remarquable. Plus les musulmans augmentent en nombre, plus les phénomènes de violence, intrinsèques à l’islam, se multiplient à l’encontre des infidèles.
Aux USA, où les musulmans représentent moins d’un pour cent de la population, des attaques comme celles de Londres sont rares. L’affirmation islamique se limite à un activisme politique (du moins pour l’instant) visant à décrire l’islam comme une « religion de paix » et via des actes de terreur sporadiques.
En Europe, où les minorités musulmanes sont beaucoup plus importantes, la violence ouverte, non voilée, est devenue banale. Toutefois, comme ces minorités sont encore momentanément vulnérables, la violence islamique est toujours définie dans un contexte de « griefs » un mot qui apaise les Occidentaux.
Une fois les musulmans devenus majoritaires dans un pays, ironiquement, la violence contre les infidèles diminue, pour une seule et bonne raison : le nombre d’infidèles à persécuter s’est rétréci comme peau de chagrin et les rares survivants deviennent des esclaves soumis et mènent une existence de citoyens de seconde, voire de troisième zone. Alors les musulmans s’entretuent entre eux, pour ne pas perdre la main.
Avec une population musulmane majoritaire à 85%, l’Egypte représente de plus en plus ce paradigme.
Les Chrétiens coptes subissent des attaques, mais non via un jihad ouvert, du moins pour l’instant. Sous le joug des Frères musulmans, l’oppression de la minorité copte s’était institutionnalisée, via de nouvelles lois anti-blasphème qui permettaient l’arrestation arbitraire et l’emprisonnement des chrétiens, pour la moindre petite insulte ou critique envers l’islam, le coran et le prophète, excuses fallacieuses, souvent utilisées pour persécuter et humilier les chrétiens impunément.
Les attaques contre les infidèles trouvent leur apogée quand le pourcentage de musulmans dans un pays atteint les 100 %, comme en Arabie Saoudite, où tous ses citoyens sont musulmans, dès lors, les églises et confessions religieuses, autres que l’islam, sont totalement interdits.
C’est la loi islamique des nombres.
Au fur et à mesure que les populations musulmanes continueront à s’accroître en Occident, les attaques contre les infidèles par décapitation, égorgement et autres horreurs suivront la courbe ascendante
L’Archimandrite Fr. Daniel Byantoro, un musulman converti au christianisme, déclara, lors d’une discussion sur les ramifications de la lente percée de l’islam dans ce qui fut autrefois une nation non musulmane, aujourd’hui devenue le plus grand pays musulman du monde :
“Pendant des milliers d’années, mon pays, l’Indonésie fut un royaume hindou-bouddhique. Le dernier roi hindou, d’une grande gentillesse, exonéra le premier missionnaire musulman du payement des impôts fonciers, afin de lui permettre de vivre et de prêcher sa religion. Peu à peu, les adeptes de la nouvelle « religion » se multiplièrent et après être devenus majoritaires et très puissants, ils attaquèrent le royaume et ceux qui refusèrent de devenir musulmans durent fuir pour sauver leur vie. Et l’Indonésie, ancien royaume hindou-bouddhique, devint le plus grand pays musulman du monde.
S’il y a une leçon d’histoire que les Américains devraient apprendre, je leur suggère de se pencher sur celle de mon pays. Nous ne sommes pas des fanatiques haineux, mais des gens aimant la démocratie, épris de liberté, respectueux des Droits de l’Homme. Nous souhaitons seulement que cette liberté et cette démocratie ne nous soient pas enlevées, à cause de notre ignorance, d’un politiquement correct erroné et du prétexte de la tolérance. »
Des nations aussi diverses que la Hongrie et le Myanmar, des leaders aussi différents que le chrétien Orban et le Bouddhiste Wirathu, connaissent bien l’islam.
Dès lors, quand ils s’agit de l’afflux islamique – que ce soit par l’épée ou déguisé en réfugiés – au lieu de juger ces hommes, les nations occidentales feraient mieux de tirer des leçons de leurs expériences.
Sinon, elles apprendront à leur dépens et non par la manière douce.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : Raymond Ibrahim: Why Hungary’s Victor Orbán Got It Right on Islam ( Front Page Mag.(Traduit et adapté par Rosaly)
Effectivement cette religion est le dieu de la mort. Mais faut pas oublier que les plus grands massacres contre les chrétiens sont venus du catholicisme romain. Le Vatican a fait tellement de massacres, beaucoup l’oublient! Ne cherchez pas telle ou telle religion coupable de massacre car elles ont eu toutes du sang sur leurs mains.Dieu n’est pas dans les religions, Dieu est dans la relation.
Merci infiniment. Effectivement on ignorait tout cela, spécialement sur ce site. Maintenant le mal est réparé et grâce à vous, ON SAIT !