QUELQU’UN PEUT-IL NOUS COMMUNIQUER LA TRADUCTION DE CE QUI ECRIT SUR CETTE BANDEROLE ?
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Quelqu’un d’autre traduit ainsi:
Assalam a’layki (en haut a droite) ya oum al fidayah (en haut a gauche) Zaynab (en rouge). Je ne suis pas certaine du mot « fidaya » (a cause des plis de la banderole). Traduction: que la paix soit sur toi o mère du sacrifice (en supposant que c’est bien « fidaya »).
Bruxelles, Bruxelles et l’Islam! Un témoignage de Haïm et Tony en déplacement sur la Grand-Place, perle d’architecture baroque et classique, haut lieu historique classé au patrimoine de l’humanité, coeur historique de Bruxelles et de la Belgique !
Voici quelques semaines, en visite de soutien auprès d’un ministère évangélique éprouvé en Belgique, nous fûmes conduits Tony et moi à nous rendre sur la Grand-Place de Bruxelles… pour y prier.
Cela se passait environ une dizaine de jours avant les événements tragiques de Paris et la mise sur pied de guerre de la Belgique avec l’armée omniprésente jusque sur cette Grand-Place. Avant de déboucher sur la Grand-Place nous eûmes à traverser des quartiers (en venant de la gare du Midi ) qui il y a quelques années étaient encore habités de Belges, habillés à l’européenne et vivant dans de cossues maisons bourgeoises. Là, en lieu et place de Belges comme les dessinait, bonhomme, Hergé, nous fûmes le long de grandes avenues saisis par l’omniprésence d’une population manifestement non intégrée, musulmane. Et cela à quelques encablures de ce haut lieu de la Belgique historique, la Grand-Place de Bruxelles !!!! Ayant, après prière, choisi de nous désaltérer au fameux « Roi d’Espagne », depuis l’étage de l’établissement nous eûmes à observer un étrange manège dont la photo ci-dessus témoigne. Trois jeunes gens, visiblement aux abois, déployèrent une banderole à caractère musulman évident et pendant que l’un tenait celle-ci en luttant contre le vent, un comparse s’évertuait à prendre son compagnon et la banderole en photo. Je ne lis pas l’arabe mais je sais lire les comportements et les trois individus, jeunes, semblaient très mal à l’aise mais comme guidés par un besoin d’audace, lançant des regards inquiets de partout.
Le comportement des « indigènes belges » et touristes était affligeant car on devinait que ceux-ci ressentaient pertinemment que quelque chose clochait avec ces gaillards mais tous semblaient vouloir se voiler la face et passer outre. Pour ma part, je choisis de photographier la scène et d’ensuite éventuellement descendre afin de demander à ces jeunes le sens et le but de leur prestation sur la Grand-Place. Ils disparurent avant que je n’aie pu payer nos consommations…
S’il se trouvait un peu plus de citoyens « concernés », les choses évolueraient sans doute différemment en Europe, car que coûtait-il dans une telle foule de témoins de demander simplement à ces jeunes ce qu’ils pratiquaient là ? « L’entrée libre » (aucune intervention policière…) qui leur fut accordée au vu et au su de tous est un sésame pour le pire. Qui en douterait?
Haïm Goël
Bonsoir
Ces jeunes gens, si j’ai bien compris, ne se sont pas éternisés sur la Grand-Place. Une fois leur photo héroïque dans la boîte, ils ont déguerpi sans demander leur reste, pour, j’imagine, aller envoyer la preuve de leur engagement à quelques « grands frères » qui sont, à cette heure, certainement ravis de l’audace juvénile de ces futurs martyrs d’Allah !
Les autochtones frappé(e)s de somnambulisme, envoûté(e)s qu’ils et elles sont, laissent faire.
On se demande qui, de nos « chances » ou de nos blondes, ont la face la plus effroyablement voilée !
Il y a des jours où j’aimerais ravoir vingt ans !
Que l’Éternel nous réveille et nous arme de hardiesse et de foi conquérante pour défendre nos précieuses valeurs chrétiennes et relever l’Honneur de notre D.ieu !
Shalom !