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Dresde, où est né PEGIDA, est l’épicentre d’une résurrection fragile de l’Europe / DREUZ

By 20 décembre 2015mai 13th, 2020Lève-toi !
PUBLIÉ PAR DREUZ INFO LE 20 DÉCEMBRE 2015

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C’est à Dresde que le sursaut miraculeux s’est produit, le lundi 20 octobre 2014, avec la première manifestation de patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA).

Pourquoi Dresde et pas une autre ville allemande comme Hambourg où les Musulmans sont beaucoup plus nombreux ?

Dresde est la ville martyre de l’Allemagne national-socialiste

Alors que la Seconde guerre mondiale était en passe d’être gagnée par les Alliés, Dresde fut détruite à plus de 90% dans les nuits des 14 et 15 février 1945 lors de la plus importante attaque aérienne de l’histoire. 1299 bombardiers déversèrent, en trois vagues successives, 2431 tonnes de bombes hautement explosives et 1822 tonnes de bombes incendiaires.

Cette opération portant le nom de code Thunderclap (coup de tonnerre) avait été planifiée pour raser Berlin mais elle fut rendue impraticable avec l’avancée plus rapide que prévue de l’armée rouge. C’est Dresde qui fut donc choisie à la place de Berlin pour semer la terreur dans la population allemande et provoquer le chaos en déversant des millions d’Allemands sur les routes pour empêcher leurs armées de converger vers le front de l’Est.

Tout fut méticuleusement planifié pour faire le maximum de victimes : lune noire, couverture nuageuse empêchant le décollage des chasseurs allemands et espacement des raids. Un délai de trois heures fut respecté après la première vague de bombardements afin que les pompiers, les ambulanciers et les civils se portant au secours des victimes dans les décombres fussent à découvert.

L’utilisation de bombes incendiaires au phosphore transforma la ville en enfer pour ses habitants. Voici le témoignage de Margaret Freyer, l’une des rares survivantes : «Soudain, je vis des gens devant moi crier et gesticuler avec leurs mains et, à mon grand effroi, je les vis tomber les uns après les autres à terre (aujourd’hui, je sais que ces gens infortunés étaient victimes d’un manque d’oxygène). Ils s’évanouirent avant d’être réduits en cendres.» la température atteignit un pic de 1500°C dans le centre-ville ! Les briques des bâtiments se désintégrèrent et les poutrelles de fer fondirent avec cette chaleur extrême. Le feu était visible à cent kilomètres à la ronde au sol et à 500 km dans le ciel selon le témoignage des équipages de bombardiers ayant participé au raid en question.

L’écrivain américain Kurt Vonneghut décrivit cet enfer dans son roman autobiographiqueSlaugherhouse-Five. Quand il fut fait prisonnier par les Allemands lors de la bataille des Ardennes, il fut transféré à Dresde. Il travaillait, le jour, dans un abattoir ; d’où le titre de son livre. Comme ses camarades prisonniers, il eut la chance d’être enfermé, la nuit, dans une cave à vingt mètres de profondeur sous l’abattoir en question. Ils n’en sortirent qu’au bout d’une semaine lorsque l’air devint respirable à la surface. Ils furent réquisitionnés par les Allemands pour ramasser les cadavres qui étaient de véritables momies.

Ce bombardement reste très controversé

Selon les estimations des Alliés, ce raid n’aurait fait que 25 000 victimes mais au bas mot 135 000 selon Vonneghut ou 200 000 au minimum selon Goebbels, le ministre de la propagande du régime national-socialiste. Cela représente plus de victimes que celles des villes de Nagasaki et Hiroshima réunies avec l’usage de l’arme nucléaire.

Ces chiffres restent probablement très en dessous de la terrible vérité. Les archives américaines sur ce raid ne furent ouvertes au public qu’en 1978. Du côté britannique, en raison de l’émoi suscité dans les cercles intellectuels par ce bombardement à nul autre pareil dans l’histoire, Churchill, le responsable de l’opération, se défaussa sur Arthur Harris, le chef du commandement stratégique de la Royal Air Force. Ce raid n’avait aucun intérêt stratégique si ce n’est de faire payer aux Allemands le blitzkrieg de Londres. Dresde était en 1939 la septième ville de l’Allemagne avec une population de 642 000 habitants. Aujourd’hui, soixante-dix ans après ce bombardement, elle ne compte que 530 000 habitants, soit 112 000 de moins qu’avant la guerre. Ces chiffres parlent d’eux-mêmes.

Les manifestations hebdomadaires des Dresdois ressemblent aux chants des canaris dans les mines de charbon

L’instinct aiguisé de survie des Dresdois a survécu pour cette raison historique. Partout ailleurs en Europe, cet instinct naturel a pratiquement disparu pour quatre raisons.

  • La construction européenne repose sur la volonté des pères fondateurs d’instaurer une paix éternelle entre les nations européennes. Objectif louable en soi mais qui a fait baisser la garde par rapport à la menace vis-à-vis du reste du monde.
  • La deuxième raison est le bouclier américain de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord, une alliance militaire stratégique qui perdure malgré la disparition de l’ennemi communiste. Les budgets militaires des Européens ont fondu comme neige au soleil.
  • La troisième raison est le lavage de cerveau des Européens par la propagande du vivre-ensemble et du relativisme.
  • Enfin, la dernière est la terreur pratiquée par l’idéologie du politiquement correct avec un arsenal judiciaire impressionnant à l’encontre des résistants. Madame Christine Boutin vient d’être condamnée à 5000 euros d’amende pour sa défense de la famille chrétienne traditionnelle perçue comme une atteinte insupportable au droit des homosexuels.

Leçon oubliée d’histoire

Notre civilisation occidentale se retrouve dans la même situation humanitaire que celle de l’empire romain submergé par l’afflux de réfugiés Goths traversant le Danube pour échapper aux Huns, pratiquant la politique de la terre brûlée. En acceptant des réfugiés inassimilables pour une cause humanitaire, l’empire romain se condamna à disparaître. La bataille d’Andrinople, le 9 août 378, scella le sort des légions romaines quand l’empereur Valens, douze généraux et 40 000 soldats furent massacrés dans la cuvette d’Andrinople alors qu’ils auraient pu, le matin, emporter la victoire. Les Goths réussirent habilement à négocier une trêve de quelques heures en invoquant la présence d’enfants et de femmes parmi eux. Ce temps précieux permit l’arrivée du renfort de leur cavalerie qui fondit des collines sur les légions romaines encerclées, qui ne purent manœuvrer à leur guise dans la cuvette.

Alors que la propagande bat son plein en Europe pour minimiser la menace mortelle qui pèse sur notre civilisation, il convient de relire les réflexions de quelques penseurs.

Commençons par Winston Churchill :

L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Si la chrétienté n’était pas protégée par les bras puissants de la science, la civilisation de l’Europe pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique

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Une autre réflexion à méditer est celle du philosophe allemand Hermann Keyserling (1880-1946) qui était bien placé pour le savoir :

«Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affirmer depuis

Le grand mufti de Jérusalem Mohammed Amin El-Husseini déclara en 1943 :

«Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam.»

Il commanda la division Waffen SS Hanshar qui était composée de Musulmans de Bosnie. Il fut reçu personnellement par Aldoph Hitler qui était impressionné par son sens de la ruse au combat. Alors que Mein Kampf (l’essai d’Adolph Hitler) fut longtemps interdit de vente en Europe, il était un best-seller dans le monde arabe.

Que dire de plus quand la Reductio ad Hitlerum tue tout réflexe de survie des Européens ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.

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