Huma Abedin, proche des Frères musulmans, assistante de Hillary Clinton, a des liens avec deux groupes terroristes : l’Organisation internationale de secours islamique (OISI) et la Ligue islamique mondiale (LIM) qui finançaient al-Qaïda
Le gouvernement saoudien pouvait apparemment tenir tête aux deux précédentes administrations américaines au point de refuser de désigner comme organisations terroristes deux groupes islamofascistes finançant le terrorisme et liés à Huma Abedin, qui est à présent la directrice de campagne de Hillary Clinton.
Abedin est une sorte de sœur siamoise de Clinton. Elle est à Hillary ce que Valerie Jarrett est à Barack Obama.
Le fait que deux groupes terroristes aient pu être dissimulés à tous les regards pendant des années fait froid dans le dos.
- Cela nous rappelle à quel point le réseau politique de Hillary Clinton est proche des Frères musulmans, l’une de ces entreprises islamistes que chérit la gauche.
- Cela souligne aussi à quel point les ennemis islamistes des États-Unis ont infiltré l’establishment politique.
- Et cela prend aujourd’hui d’autant plus d’importance que les sondages indiquent que la menteuse pathologique, la gauchiste radicale disciple d’Alinsky, qui a rédigé le manifeste communautariste Il faut tout un village pour élever un enfant, a une longueur d’avance sur le candidat républicain présumé, Donald Trump.
En fouillant dans des archives de reportages journalistiques, Lee Stranahan, de Breitbart, a découvert qu’au cours des semaines suivant les attaques du 11 septembre, il était déjà connu que l’Organisation internationale de secours islamique (OISI) et la Ligue islamique mondiale (LIM) finançaient al-Qaïda.
« Les Saoudiens en ont probablement fait plus que n’importe quel service de renseignements au monde pour infiltrer al-Qaïda ; mais en retour, al-Qaïda a infiltré le régime saoudien », rapportait Newsweek, un mois après le 11 septembre.
La Ligue islamique mondiale a recours au mensonge stratégique, connu sous le nom islamique de taqiya
Bien que l’OISI, que son site Internet désigne sous le nom d’Organisation saoudienne de secours islamique, et la Ligue islamique mondiale, « aient été utilisées par Ben Laden pour financer ses opérations », elles « n’ont pas été inscrites sur la liste des groupes identifiés par les États-Unis… afin d’éviter de mettre le gouvernement saoudien dans l’embarras », aux dires de fonctionnaires du gouvernement.
La Ligue islamique mondiale reconnaît sur son site Internet qu’elle « s’engage à propager la religion de l’islam » et à « expliquer ses principes et sa doctrine ». Elle a également recours au mensonge stratégique, connu sous le nom islamique de taqiya. La Ligue est « bien connue pour rejeter tous les actes de violence et pour favoriser le dialogue avec les gens d’autres cultures », proclame son site Internet, ajoutant qu’elle n’a pas l’intention « de dominer qui que ce soit ou de pratiquer l’hégémonie ».
Son site Internet proclame également avoir des « centres extérieurs », des « bureaux extérieurs », et des « centres islamiques » dans de nombreux pays : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Autriche, Bangladesh, Belgique, Bosnie, Brésil, Burundi, Canada, Congo, Corée, Danemark, Égypte, Espagne, France, Hongrie, Indonésie, Italie, Jordanie, Malaisie, Mozambique, Nigéria, Pakistan, Pays-Bas, Royaume-Uni, Russie, Soudan, Suède… entre autres.
L’Organisation internationale de secours islamique se décrit elle-même comme « un organisme caritatif issu de la Ligue islamique mondiale ».
des milliers de mosquées ont été construites, avec une moyenne d’une mosquée par jour
Son rapport annuel de 2011-2012 mentionne que « des milliers de mosquées ont été construites, avec une moyenne d’une mosquée par jour » et qu’elle emploie « 1 222 personnes » à travers le monde. « 8 044 étudiants, hommes et femmes, suivent son programme du Saint Coran et de la Dawa, mémorisant le Coran et suivant des études islamiques dans 306 centres et cercles du Coran ». L’organisme emploie « 304 enseignants et superviseurs » dans ces centres, répartis dans 29 pays, et parraine « 338 prêcheurs islamiques » dans ces 29 pays.
Huma Abedin et les Frères musulmans
La protégée et vice-présidente de campagne de Hillary Clinton, Huma Abedin, ses parents, ses frères et sœurs entretiennent tous des liens étroits avec les Frères musulmans.
- Depuis 1962, le gouvernement saoudien aurait alloué plus de 1,3 milliard de dollars à la Ligue islamique mondiale pour propager le wahhabisme. Pour Andrew C. McCarthy, la Ligue islamique représente, pour les Frères musulmans, « le principal vecteur de propagation internationale de l’idéologie suprématiste islamique ».
- Abedin, qui est mariée à l’ancien député de l’État de New York tombé en disgrâce, Anthony Weiner, n’a jamais publiquement expliqué ses liens troubles avec des gens qui ont tué 3 000 Américains le 11 septembre ni pour quelle raison, en dépit de ces liens, on devrait lui confier des secrets d’État.Et lorsqu’une femme politique courageuse, l’ancienne députée du Minnesota, Michele Bachmann, a tenté d’alerter l’opinion au sujet de Huma Abedin, elle a été raillée avec acharnement par les médias et les politiciens des deux partis. Le sénateur John McCain, de l’Arizona, s’est fait remarquer en se lançant dans une diatribe « chevaleresque » pour se porter au secours de Huma Abedin lorsque ses collègues du Congrès se sont légitimement interrogés sur la loyauté de celle-ci envers les États-Unis.
- Peu de gens se souviennent que lorsque Bill Clinton était président en 1996, la CIA pensait que l’Organisation internationale du secours islamique avait contribué à soutenir six camps d’entraînement terroristes en Afghanistan. Le magazine Harper’s rapportait en 2004 que l’ancien directeur du bureau de l’OISI aux Philippines, qui se trouvait être le beau-frère d’Oussama ben Laden, « était lié aux complots visant le pape et des lignes aériennes américaines ».
- Cette même année 1996 avait également été bien remplie pour Abedin. Cette année-là, la jeune femme née au Michigan était revenue aux États-Unis après avoir passé des années en compagnie de ses parents djihadistes, à s’imprégner de la culture islamique militante d’Arabie saoudite. Elle est rapidement devenue stagiaire à la Maison-Blanche où elle travaillait auprès de Hillary Clinton, première dame du moment.
- À la même époque, Abudin faisait partie du bureau exécutif de l’Association des étudiants musulmans de l’Université George Washington, qui avait été fondée par la Ligue islamique mondiale dans les années 1960.
- La même année encore, Abedin commençait à travailler comme adjointe de rédaction auJournal of Muslim Minority Affairs, publication islamiste de l’Institut des affaires de la minorité musulmane.
- Cet Institut avait été fondé en 1979 par l’islamiste Abdullah Omar Naseef, qui à cette époque était vice-président de la prestigieuse Université du Roi-Saoud en Arabie saoudite. Naseef, devenu secrétaire-général de la Ligue islamique mondiale en 1983, avait embauché feu le docteur Zyed Abedin, le père de Huma, comme directeur de publication du Journal, et les Abedin étaient repartis vivre en Arabie saoudite.
- La mère de Huma était rédactrice en chef du Journal, et son frère et sa sœur travaillaient également comme rédacteurs.
L’article de Harper’s, qui remonte à douze ans, ajoutait que les agents de renseignements américains étaient certains que des employés de la Ligue islamique mondiale avaient participé aux attentats qui ont frappé deux ambassades américaines en Afrique en 1998.
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Même si la Ligue islamique mondiale et l’Organisation internationale du secours islamique ont financé al-Qaïda, l’administration Bush « a écarté ces deux organismes de la liste des groupes terroristes désignés afin d’éviter de mettre le gouvernement saoudien dans l’embarras ». On ne sait pas, par contre, pourquoi l’administration Clinton a occulté la vérité au sujet de ces deux organisations.
Stranahan se montre optimiste quant au fait que, malgré les mensonges frénétiques de la gauche, les faits concernant Hillary et Huma recevront l’attention qu’ils méritent durant la campagne présidentielle.
« Les défenseurs de Clinton et d’Abedin ont tenté de faire passer les préoccupations au sujet des connexions inquiétantes d’Abedin pour une folle théorie du complot venue de la droite, mais les faits sont têtus, et l’Amérique étant focalisée sur la campagne présidentielle et le terrorisme, ce n’est qu’une question de temps avant que la vérité jaillisse ».
Hillary Clinton a entretenu aux frais de sa fondation Gehad el-Haddad, un véritable terroriste fanatique du djihad
Pendant ce temps, alors même que la nation est en deuil après que 49 Américains innocents aient été assassinés le 12 juin par le terroriste musulman Omar Mateen dans une boîte homosexuelle d’Orlando, en Floride, les médias paraissent béatement ne pas savoir que, durant cinq ans, Hillary Clinton a entretenu aux frais de sa fondation un véritable terroriste fanatique du djihad.
- Gehad el-Haddad, un chef du terrorisme islamique qui est passé directement de son emploi au « bureau central de la convivialité terroriste et des faveurs monnayées » plus connu sous le nom de Fondation Bill, Hillary et Chelsea Clinton, à un poste chez les Frères musulmans d’Égypte, a été condamné à la prison à vie dans son pays l’année dernière, pour activités islamistes séditieuses (en passant, Gehad est la version égyptienne du mot arabe djihad).
- Ce professionnel de la propagande doit avoir appris comment imposer de force la sharia aux Égyptiens lorsqu’il était « directeur urbain », un poste supérieur dans les communications, à la fondation caritative des Clinton, d’août 2007 à août 2012.
- Haddad était le principal porte-parole de langue anglaise des Frères musulmans et faisait fréquemment l’apologie des violentes atteintes aux libertés civiles perpétrées par le président Mohammed Morsi, éjecté depuis. Ses compétences en communication lui servaient à minimiser les attaques menées par les partisans des Frères musulmans sur des femmes et des enfants.
Hillary Clinton, bien sûr, a dirigé le Département d’État américain pendant la révolution égyptienne de 2011 qui a évincé l’anti-islamiste allié de longue date des États-Unis, Hosni Moubarak, pour porter au pouvoir Morsi, un allié d’Obama.
⇒ Que Clinton ait ignoré que Haddad était l’employé des Frères musulmans, cela défie l’entendement.
À peine un mois après que Haddad ait quitté son emploi à la Fondation Clinton pour travailler à plein temps pour les Frères musulmans en 2012, Morsi avait été invité à prononcer un discours important à la Clinton Global Initiative, l’un des projets phares de la Fondation.
Mais les partisans de Clinton vous diront qu’il ne s’agit là que d’incroyables coïncidences.
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Source : frontpagemag.com