Suite aux décisions irresponsables prises par le gouvernement Merkel en faveur d’une immigration musulmane débridée, le peuple allemand et les citoyens européens dans la foulée sont actuellement confrontés à un véritable fléau, au côté duquel, Attila, surnommé « le Fléau de Dieu » et ses Huns n’étaient que de doux agnelets.
Les peuples européens assistent – parfois médusés, parfois en colère – à la rapide métamorphose de leurs pays, autrefois havres de paix, où les gens se sentaient en sécurité.
Cette sécurité, à laquelle chaque citoyen a droit, car elle payée par ses impôts, semble devenir le souvenir de plus en plus affadi d’un passé pas si lointain.
Des dizaines de milliers d’agressions criminelles ont été commises par les migrants musulmans en Allemagne depuis l’affectueuse invitation de Mutti Merkel à toutes ces « élites » éduquées, super-qualifiées, n’aspirant qu’à mettre généreusement leurs immenses compétences au service des entreprises allemandes afin de garantir un avenir prospère à ce pays.
Hélas, après l’euphorie utopique qui avait déferlé sur le chaleureux pays du « Welcome Refugees », c’est la douloureuse consternation.
Le Frankfurter Allgemeine Zeitung a écrit le mois dernier que les 30 plus grandes sociétés allemandes employaient exactement 54 réfugiés ; plus de 50 d’entre eux travaillent pour le service de messagerie Deutsche Post.
“Nous pensions avoir affaire à des médecins et des ingénieurs syriens. On réalise aujourd’hui que ces réfugiés qualifiés forment une minorité”, avait déploré une responsable de la fédération des employeurs allemands (BDA) en mars dernier. « La majorité des réfugiés sont âgés de moins de 25 ans, et il faudra compter cinq ans avant qu’ils s’intègrent au marché du travail. »
Comme les « élites » peuvent être naïves !
Les demandeurs d’asile, censés assurer l’avenir de l’Allemagne nouvelle, futur paradis multiculturaliste, se considèrent comme des « invités » de Frau Merkel et refusent de travailler. Quoi de plus logique. Depuis quand un invité est-il censé travailler.
Le maire de la ville de Waldenburg, Bernd Pohlers, en a fait la triste expérience.
Toutefois, sa principale préoccupation concerne avant tout le risque que cette attitude peu coopérative des chances pour l’Allemagne ne favorise la propagande des mouvements opposés à l’immigration de masse. Cela confirme, une fois encore, le si familier relent nauséabond du cabotinage politique, et le mépris cruel de cette caste envers ceux qui leur accordèrent leur voix en toute confiance.
A Waldenburg, des demandeurs d’asile ont refusé un travail d’utilité publique, après l’avoir accepté, préférant glander toute la journée et se noyer dans l’ennui.
Le maire de la ville, déçu et attristé, a fait part de la situation à ses administrés.
La ville avait proposé 7 emplois de 20 heures par semaine pour un salaire symbolique de 20,77 euros. Le conseil municipal avait dépensé 699 euros en uniformes. De l’argent avait été récolté par la communauté pour aider ces pauvres « réfugiés » à s’intégrer.
La déception de ces doux naïfs fut grande.
Le programme avait débuté en avril et ne dura qu’une semaine, au terme de laquelle les « réfugiés » refusèrent de continuer leur travail de bénévoles. Tout avait pourtant été bien organisé, même le transport gratuit de leur lieu de résidence, où ils sont gracieusement logés et nourris, à leur lieu de travail, et retour.
Après avoir accepté ce travail bénévole à un euro/heure, les « réfugiés » apprirent que le salaire minimum en Allemagne était, en fait, fixé à 8,50 euros/heure et exigèrent de la ville qu’elle leur paie ce salaire de base pour leur travail de bénévolat ! Plusieurs tentatives de médiation, avec traducteur et différents intervenants, eurent lieu sans résultats. Ces pauvres « réfugiés » rejetèrent tout accord sous le prétexte qu’ils étaient les invités de Mutti Merkel et comme tels, ils n’étaient pas censés travailler.
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
Le maire déclara : » c’était mon devoir de vous informer de la situation, même si c’était difficile. J’ai même été découragé à le faire ». Découragé par qui ?
Les emplois ont donc été supprimés, et les demandeurs d’asile continuent à se prélasser et à jouer aux rois fainéants aux frais de la princesse.
Toutefois, la réaction de ces « réfugiés » a été mal digérée par la communauté. Elle s’inquiète de la censure gouvernementale sur les problèmes posés à l’Allemagne par cet accueil massif de réfugiés.
Selon un récent sondage, 66 % des Allemands se détournent de la politique d’accueil de Merkel : les réfugiés ne sont plus « welcome ». Ils ne croient plus au slogan préféré de leur chancelière : « wir schaffen das ».
« Nein, wir schaffen das nicht » s’exclament les Allemands, qui se sentent de plus en plus étrangers dans leur propre pays.
Les musulmans sont en Occident pour asservir les peuples européens, voire les éradiquer avec la bienveillante complicité de nos dirigeants. Ce n’est pas un fantasme, mais l’inquiétante vérité. Ils sont si certains de leur future victoire – et les faits ne sont pas en train de les contredire – qu’ils n’hésitent plus à en parler publiquement, comme si les dés étaient déjà jetés.
Écoutez cette « spécialiste » de l’islam expliquer avec jubilation la fin des Allemands blonds aux yeux bleus. Ce discours pourrait s’appliquer également aux Suédois blonds aux yeux bleus, aux Norvégiens, aux Danois, etc.
Les islamo-nazis bruns/noirs aux yeux noirs ne cachent même plus leur objectif, et leurs idiots utiles gauchistes et écolos écoutent béats, et applaudissent en souriant le projet de leur propre élimination. Comprenne qui pourra !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source :” German asylum seekers refuse to work: ‘We are Merkel’s guests” UK Express/Jihad Watch (traduit et adapté par Rosaly)