Mon envie de travailler en passionné d’Histoire sur un nouveau portrait de Magda GOEBBELS s’est manifesté après avoir lu récemment deux ouvrages. L’un de Tobie NATHAN revenant chez GRASSET sur l’assassinat du leader sioniste Victor Chaïm ARLOSOROFF sur une plage à Tel-Aviv en juin 1933. L’autre, dû au Russe Léonid GUIRCHOVTICH et traduit l’an passé chez VERDIER où il est question de données retrouvées dans un journal intime qui aurait été conservé, sans jamais avoir été publié par la famille QUANDT. On peut comprendre pourquoi, Magda GOEBBELS ayant laissé un fils de son union avec le richissime Günther QUANDT. Une famille dont la puissance aura survécu au nazisme grâce à BMW, contrairement à d’autres comme IG FARBEN, bien qu’elle ait été reconnue coupable d’avoir utilisé de la main d’œuvre puisée dans des camps de concentration.
Il y avait là de quoi partir à la découverte de ce personnage ambigu qu’est cette tueuse d’enfants, personnage à propos duquel on a raconté énormément de choses, lesquelles, à mon humble avis, ne tiennent pas. De cette liaison avec un « neveu du Président US Herbert HOOVER » qui d’après le responsable de la bibliothèque US HOOVER aux Etats-Unis n’a jamais existé. Jusqu’à cette volonté ayant consisté à choisir pour ses enfants un prénom dont la première lettre était un H, par dévotion à un certain Adolf HITLER dont elle aurait été l’une des égéries ! Alors que dans ce même journal intime, la même Magda avouait à la date de novembre 1913 une admiration au poète juif allemand Heinrich HEINE.
Fille d’un Juif, Richard FRIEDLANDER et non de cet Oskar RITSCHEL, ingénieur rhénan dont l’histoire a fini par faire son père, aurait-on voulu bâtir un mythe autour de ce personnage sulfureux qu’est Magda GOEBBELS ?
Sans aucun doute ! Car, comment expliquer le brusque revirement de cette créature maléfique soudain attaché à la perte ou à l’ignorance de tous ceux qu’elle avait adorés ? De son premier amour, le sioniste Chaïm ARLOSOROFF à ce poète juif Heinrich HEINE. Sans oublier son jeune père Richard FRIEDLANDER qu’elle laissera déporter à Buchenwald sans s’interposer face à un homme sur lequel elle avait une totale mainmise : Joseph GOEBBELS. Que de victimes qu’elle aura abandonnées aux mains des nazis au nom d’une puissance qu’elle rêvait de posséder ! Dont six de ses sept enfants qu’elle aura choisi de tuer pour les arracher aux mains des Russes et qu’elle redoutait de voir survivre dans un monde privé de National-socialisme ! Alors que cet assassinat n’obéit qu’à une seule volonté, celle d’avoir organisé avec la complicité de son maniaco-dépressif d’époux, une mise en scène susceptible de faire de ce couple de meurtriers deux victimes de l’idéologie !
L’histoire serait-elle donc éternellement fâchée avec ce qui dérange ?
Ce prochain ouvrage que je propose et cette femme que Tobie NATHAN lui-même définissait comme une chienne, amènent à réfléchir à la portée de certains documents publiés dernièrement par un historien Oliver HILMES à propos de cette filiation juive de l’épouse de Joseph GOEBBELS justifiant que celui-ci ait voulu faire disparaître ce qui aurait pu être gênant pour les nazis et leur Führer dont ce beau-père dérangeant du nom de Richard FRIEDLANDER.
Mais saura-t-on un jour la vérité à propos de ce meurtre commis à Tel-Aviv ?
Louis PETRIAC
Je viens de decouvrir le mensonge de Monsieur Enderlin et j ai regarder son emission sur LCP dimanche soir.
Je suis dans la consternation et je me demande si la machine infernale va s arreter …….
Mon envie de travailler en passionné d’Histoire sur un nouveau portrait de Magda GOEBBELS s’est manifesté après avoir lu récemment deux ouvrages. L’un de Tobie NATHAN revenant chez GRASSET sur l’assassinat du leader sioniste Victor Chaïm ARLOSOROFF sur une plage à Tel-Aviv en juin 1933. L’autre, dû au Russe Léonid GUIRCHOVTICH et traduit l’an passé chez VERDIER où il est question de données retrouvées dans un journal intime qui aurait été conservé, sans jamais avoir été publié par la famille QUANDT. On peut comprendre pourquoi, Magda GOEBBELS ayant laissé un fils de son union avec le richissime Günther QUANDT. Une famille dont la puissance aura survécu au nazisme grâce à BMW, contrairement à d’autres comme IG FARBEN, bien qu’elle ait été reconnue coupable d’avoir utilisé de la main d’œuvre puisée dans des camps de concentration.
Il y avait là de quoi partir à la découverte de ce personnage ambigu qu’est cette tueuse d’enfants, personnage à propos duquel on a raconté énormément de choses, lesquelles, à mon humble avis, ne tiennent pas. De cette liaison avec un « neveu du Président US Herbert HOOVER » qui d’après le responsable de la bibliothèque US HOOVER aux Etats-Unis n’a jamais existé. Jusqu’à cette volonté ayant consisté à choisir pour ses enfants un prénom dont la première lettre était un H, par dévotion à un certain Adolf HITLER dont elle aurait été l’une des égéries ! Alors que dans ce même journal intime, la même Magda avouait à la date de novembre 1913 une admiration au poète juif allemand Heinrich HEINE.
Fille d’un Juif, Richard FRIEDLANDER et non de cet Oskar RITSCHEL, ingénieur rhénan dont l’histoire a fini par faire son père, aurait-on voulu bâtir un mythe autour de ce personnage sulfureux qu’est Magda GOEBBELS ?
Sans aucun doute ! Car, comment expliquer le brusque revirement de cette créature maléfique soudain attaché à la perte ou à l’ignorance de tous ceux qu’elle avait adorés ? De son premier amour, le sioniste Chaïm ARLOSOROFF à ce poète juif Heinrich HEINE. Sans oublier son jeune père Richard FRIEDLANDER qu’elle laissera déporter à Buchenwald sans s’interposer face à un homme sur lequel elle avait une totale mainmise : Joseph GOEBBELS. Que de victimes qu’elle aura abandonnées aux mains des nazis au nom d’une puissance qu’elle rêvait de posséder ! Dont six de ses sept enfants qu’elle aura choisi de tuer pour les arracher aux mains des Russes et qu’elle redoutait de voir survivre dans un monde privé de National-socialisme ! Alors que cet assassinat n’obéit qu’à une seule volonté, celle d’avoir organisé avec la complicité de son maniaco-dépressif d’époux, une mise en scène susceptible de faire de ce couple de meurtriers deux victimes de l’idéologie !
L’histoire serait-elle donc éternellement fâchée avec ce qui dérange ?
Ce prochain ouvrage que je propose et cette femme que Tobie NATHAN lui-même définissait comme une chienne, amènent à réfléchir à la portée de certains documents publiés dernièrement par un historien Oliver HILMES à propos de cette filiation juive de l’épouse de Joseph GOEBBELS justifiant que celui-ci ait voulu faire disparaître ce qui aurait pu être gênant pour les nazis et leur Führer dont ce beau-père dérangeant du nom de Richard FRIEDLANDER.
Mais saura-t-on un jour la vérité à propos de ce meurtre commis à Tel-Aviv ?
Louis PETRIAC
Je viens de decouvrir le mensonge de Monsieur Enderlin et j ai regarder son emission sur LCP dimanche soir.
Je suis dans la consternation et je me demande si la machine infernale va s arreter …….