COMMUNICATION:
« Lorsque j’étais un enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. » (1 Cor. 13 : 11)
Bien chers frères, soeurs et amis,
Nous publions via nos courriers ou depuis notre site « leve-toi – Etz BeTzion » de nombreux articles, enseignements extérieurs sous formes diverses. Le plus souvent ces choses communiquées recoupent complètement nos propres enseignements ou les confirment. Plutôt que de vouloir sans cesse aborder des questions avec nos seuls enseignements, ce qui serait aussi un manque d’humilité, nous préférons parfois diffuser des choses qui « nous ressemblent » mais trouvent leur intérêt « avec un emballage différent », dans un tempo parallèle.
Il arrive aussi que nous diffusions des choses en accord avec notre compréhension mais que nous n’avons pas encore trouvé le temps de mettre en forme à médiatiser.
Pourquoi dès lors se priver de diffuser autrui ?
La plupart d’entre vous me font régulièrement remarquer la ressemblance entre nos enseignements fondamentaux et beaucoup de ces diffusions. Nous en sommes évidemment réjouis et cela signifie aussi qu’en divers points du globe médiatique, il y a en nos jours comme une convergence prophétique sur les sujets importants.
Ceci posé, il est évident qu’ici et là dans les diffusions de choses intéressantes, mais qui sont productions extérieures, existent des éléments (secondaires le plus souvent) que nous ne pouvons entièrement accepter ou que nous aimerions nuancer ou compléter.
Comment agir dès lors ? Diffuser ou ne rien diffuser ? Apporter constamment des correctifs, qui quelquefois relèvent de tant de subtiles nuances, que… les habitués de l’étude comprendront que cela est impossible sauf à ne plus faire que cela. Cibler le détail ou la chose secondaire quand l’essentiel, le fond, est « cacher » * à nos yeux ?
Nous diffusons donc en invitant chacun à user de sage discernement, d’étude de la Thora, du Tana’h entier et de la Brit Ha’Hadasha et de garder en triant le meilleur en toutes choses. Au fond, et c’est une évidence, aucun homme ne peut déclarer avoir la science exacte et dès lors il est bon de s’en remettre aux Ecritures et à leur étude, ainsi qu’à la sainte puissance du Roua’h HaKodesh, le Saint-Esprit. Il revient donc à chacun avec ces armes de l’Esprit et de la bonne connaissance biblique de faire sa propre et mature opinion. Sain exercice qui nous fait passer de l’âge d’enfant à celui d’adulte comme le dit Paul en 1 Cor.13:11
Meilleur Shalom,
Haïm Goël
* Cacher, (de cacherout). Acceptable, consommable, etc