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TAMIMI, un nom de famille à exiler d’urgence / JSS NEWS

By 15 avril 2017mai 13th, 2020Israël & Moyen Orient

Publié le : 15 avril 2017

Le nombre de « TAMIMI » qui, peut-être ne sont de la même famille, est très important en termes de nombre.

Mieux encore, le nom Tamimi est synonyme de terrorisme et de crimes contre les juifs où ils se trouvent.

Ainsi, récemment, nous avons parlé de Alham Ahmad al-Tamimi, reconnue coupable pour deux attentats à la bombe dont le plus célèbre restera : la pizzeria Sbaro dans lequel périrent 15 hommes, femmes et enfants et blessèrent gravement 145 autres.

Malgré cela, elle fut échangé lors de l’accord Shalit et coule des jours heureux en Jordanie.

Nous connaissons aussi la famille TAMIMI dont l’insupportable gamine que les parents envoient régulièrement menacer les soldats de Tsahal fut non seulement décorée et reçue par tous les dirigeants arabes et antisémites de la planète mais bien entendu encensée par les médias pro-palestiniens qui en firent leur ShiShirley Temple de l’anti-colonialisme israélien.

Cette morveuse qu’on envoie au front tandis que môman filme consciencieusement et que pôpa rigole de loin, espérant une gaffe par un soldat israélien afin d’avoir du matériel discréditant Tsahal, ne devrait plus ainsi que toute sa famille, le droit de résider en Israel ou en Judée Samarie.

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Hier, prenant le tramway à Jérusalem, une jeune étudiante britannique de 25 ans a été poignardée à mort par un certain Djamil Tamimi, 57 ans, demeurant hélas à Jérusalem Est, ce qui, d’une certaine façon donne encore plus de poids à la dé-islamisation de Jérusalem qui devrait être en route depuis des années.

Il est parfaitement évident que vivre au milieu de telles personnes, convaincues du bien-fait de tuer des juifs et génétiquement configurées pour la violence à force de mariages consanguins dont je rappelle que plus d’UN MARIAGE SUR DEUX se fait entre cousins au premier degré.

Israël a beau jeu d’initier des campagnes pour que cela cesse, les arabes continuent leurs coutumes mais laissent le soin de soigner leurs enfants lourdement handicapés (moteurs et cérébraux) dans les mains des affreux médecins sionistes.

Cela coûte une blinde mais vous connaissez les juifs…Surtout cette partie de la population qui fait mine d’ignorer les rescapés de la Shoah qu’ils croisent ou pas et qui meurent en silence entre solitude et manque de moyens pour vivre.

Même si les choses s’améliorent à l’égard des rescapés de la Shoah, je trouve trop stupide d’investir des millions de shekels pour sauver des enfants issus de mariages consanguins et éduqués dans la haine des juifs. (ex : l’organisation française « Un cœur pour la paix » située principalement à l’hôpital Hadassa de Jérusalem).

Pour en revenir aux Tamimi, il semblerait que ce patronyme incite non seulement au terrorisme mais est porteur d’une sorte de fatalité menant hommes, femmes et enfants dénommés ainsi vers une violence qu’il serait urgent de s’occuper.

D’origine saoudienne, le nom de Tamimi est aussi synonyme de pouvoir, richesse et influence. Le Sheik  Ali Tamimi est à la tête d’un consortium où l’énergie pétrolière ainsi que différentes branches de l’économie dans plusieurs pays du monde avec des partenaires aussi puissants qu’Halliburton aux Etats-Unis.

Il y a aussi les Tamimi venant d’Algérie et pour le cas de la famille de terroristes dont la morveuse en question, il est plus que probable qu’ils font partie des descendants des compagnons d’Abdelkader venus s’installer en Israël tandis que d’autres ont pris racines en Syrie.

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Quant au dernier Tamimi en question, celui qui a tué à coups de couteau cette pauvre Hannah Bladon, touriste britannique, il aurait du depuis fort longtemps être sous camisole de force ou exilé vers d’autres pays arabes.

 

Il fut entre autres « indélicatesses », arrêté pour agression sexuelle sur sa propre fille. Cela est pourtant courant dans les communautés musulmanes si on en croit les confidences faites à la nuit tombée sur BEUR FM.

Des femmes, attendent donc l’anonymat et l’étreinte de la nuit pour appeler Vanessa, une animatrice de Beur FM, pour raconter leurs viols en famille.

Exit donc pour les Tamimi, quels qu’ils soient d’Israel et Judée Samarie.

Le jour où l’état prendra conscience réellement que JAMAIS nous ne pourrons vivre en sécurité près de dégénérés de cette qualité, nous devrons constamment regarder par-dessus nos épaules et ne plus s’en remettre aux seuls gardiens de notre sécurité.

Ceci est valable non seulement en Israël mais en France ainsi que dans toute l’Europe.

Nina

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