L’amour islamique pour les infidèles
PUBLIÉ PAR ROSALY LE 28 MAI 2017
Suite à l’attentat terroriste islamiste de Manchester du 22 mai dernier, la chaîne britannique Channel 4 a réalisé un reportage dans la communauté musulmane de Rusholme, dans le sud de la ville.
Parmi les personnes interrogées, une pieuse musulmane, revêtue du voile intégral de la pudeur islamique s’est particulièrement distinguée, non seulement par son affreux accoutrement de Belphegor, mais surtout par le mot LOVE imprimé sur son T-shirt.
Love ne signifie-t-il pas amour ? Alors où est le mal de l’arborer fièrement sur sa poitrine, me direz-vous ?
Eh bien, si vous observez attentivement cette déclaration d’amour d’un genre très particulier, il y a de quoi frémir d’horreur !
Chaque lettre du mot Love représente une arme :
Un revolver pour la lettre L.
Une grenade à main pour O.
Un couteau à cran d’arrêt pour V.
Une arme automatique pour E.
Le journaliste a-t-il relevé l’ignoble indécence de cette inscription sur son T-shirt, vu le contexte ? Apparemment non !
Et si la burquanée déplore l’attentat, taqiya oblige, elle s’exprime par la suite d’une manière conforme à la tradition musulmane, à savoir « nous les gentils et bons musulmans sommes les premières victimes » :
ˮJe n’ai rien à prouver. Je suis une bonne musulmane et mes amis le savent. Tous ceux qui me connaissent savent que je suis une bonne musulmane… J’aimerais aider notre communauté, le monde partout où nous pourrions aider, mais l’islamophobie va certainement augmenter, il y a déjà des attaques contre les femmes musulmanes.ˮ
Un autre musulman déclare :
« les musulmans sont les victimes, ils sont les victimes collatérales de ces actes.ˮ
les victimes non musulmanes, des broutilles, je suppose.
Bref, selon le rituel désormais bien rodé après chaque carnage d’innocents infidèles perpétré de sang-froid par les soldats d’Allah, les musulmans se soucient avant tout d’éventuelles représailles et de la hausse de l’islamophobie…
Il y aurait en Grande-Bretagne 23 000 djihadistes libres de circuler ! Réjouissant, n’est-il pas ?
D’après la police, les contribuables britanniques ont financé le terroriste islamiste de Manchester grâce à des prêts étudiants s’élevant à des milliers de livres et d’autres allocations sociales qui lui permirent de voyager en Libye (pour y retrouver ses racines sans doute).
Si l’amour islamique des infidèles est représenté par des armes imprimés sur un T-shirt, celui des Occidentaux pour l’islam et les musulmans se manifeste après chaque attentat terroriste islamiste par des bougies, des fleurs, des peluches, des petits cœurs, des poèmes, des chants…
« Non, vous n’aurez pas notre haine » – « l’islam, c’est l’amour », ‘‘l’islam, c’est la paix », ou comme à Manchester, en se faisant tatouer une abeille en hommage aux victimes du terroriste, qui selon le maire de la ville, n’est pas un musulman, car « l’islam, ce n’est pas cela » !
Les égorgeurs du califat doivent être terriblement épouvantés, faire d’horribles cauchemars la nuit, être recouverts de sueurs froides, face à la ferme détermination des infidèles à les combattre : ‘no fear’ ‘même pas peur’. C’est certain, cela doit les effrayer.
A force de courber l’échine, les Occidentaux continueront à pleurer leurs enfants. D’ailleurs, nos irresponsables au pouvoir, en bons défenseurs des peuples, ne nous encouragent-ils pas à nous habituer à vivre avec les attaques terroristes islamistes, parfois tout simplement qualifiées d’incidents, au lieu de prendre les mesures fortes pour éradiquer le mal, définitivement ?
L’angélisme du gouvernement britannique est responsable du massacre de Manchester.
La vérité est amère, choquante, difficile à avaler et pourtant…
Un autre djihadiste de Manchester bénéficia également de la générosité des Britanniques : Ronald Fiddler, alias Jamal Al Harith.
L’intrigue de ce paradoxe tragique tourne autour de cet islamiste de Manchester emprisonné à Guantanamo, puis libéré en 2004 à la demande du gouvernement britannique.
Indemnisé à hauteur d’un million de livres sterling, l’ancien détenu de Guantanamo termina sa vie en martyr, en février dernier, se faisant exploser à Mossoul, pour la gloire d’Allah.
L’angélisme occidental est l’une des armes utilisées par les terroristes islamistes pour nous frapper et l’histoire de ce djihadiste le prouve une fois de plus.
Mais revenons au début des années nonante. A cette période, Ronald Fiddler, né à Manchester en 1966, dans une famille d’origine jamaïcaine, rentre dans sa ville après un séjour au Soudan, où Ossama Bin Laden et sa cour d’apprentis terroristes s’activent.
Converti à l’islam, il devient Jamal al Harith et fait la une de l’actualité en automne 2001, quand il est intercepté par les soldats américains à Kandahar, après la chute du régime taliban. Il prétendit alors avoir été enlevé par les talibans, alors qu’il voyageait dans le pays pour un « séjour religieux ».
Sa version ne convainc pas les Américains et ils l’expédient à Guantanamo, en compagnie de trois autres djihadistes britanniques, capturés à Kaboul et dans les environs.
Toutefois, son histoire émeut les médias qui le décrivent comme une victime innocente des horreurs de Guantanamo.
Ainsi, en 2004, à la demande du gouvernement britannique, Jamal Al Harith est libéré et revient dans la bonne ville multiculturelle de Manchester, qui doit faire pâlir d’envie Justin Trudeau, prête à l’accueillir avec tous les honneurs. Et à l’honneur s’ajoute l’argent, beaucoup d’argent.
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Tandis qu’une télévision anglaise lui offre 60 000 livres pour raconter sa détention, ses avocats réussissent à obtenir du gouvernement anglais –coupable d’avoir cru à la version américaine et d’avoir attendu 3 ans pour le faire libérer– une indemnisation d’un million de livres ! Ce qui suscita une vive polémique.
Au lieu d’en profiter pour mener une vie normale, une partie de cet argent, selon des sources des Services de renseignement britanniques, aurait été utilisée pour financer la cellule djihadiste active dans le quartier de Moss Sides et dirigée par Raphael Hostey, un ami de la famille de Jamal. Ensemble, les deux amis contribuent au recrutement de volontaires et envoient en Syrie une quinzaine de futurs combattants et martyrs. Islamistes et jeunes convertis à l’islam partent accomplir leur devoir de pieux musulman : rejoindre le califat pour mener la guerre sainte contre les souillures d’infidèles. Parmi ces derniers, il y a Stephen Gray, ex-militaire de l’armée britannique, ayant effectué diverses missions en Irak, arrêté et condamné à 5 ans de prison pour avoir essayé de rejoindre l’EI.
Parmi leurs recrues les plus célèbres, on retrouve Zahra et Salma Halane, deux jumelles de 17 ans d’origine somalienne, qui en février 2015 quittèrent Manchester dans l’espoir de rencontrer le mari de leur rêve parmi les égorgeurs de l’EI, les princes charmants version islamique.
Après avoir contribué avec ces derniers et autres frères islamiques à constituer la patrouille du Califat made in Manchester, Jamal et Raphaël rejoignirent également le califat afin de combattre sous sa bannière. Le premier à partir fut Raphaël. En 2014, il quitte la ville sans que les services secrets britanniques n’essayent de l’arrêter. Jamal le suit peu de temps après. Aucun des deux ne reviendra plus à Manchester. Raphaël, devenu Abu Qaqa al-Britania, se fit descendre par un drone. Jamal se propose comme kamikaze en février dernier et se fit exploser devant un poste de l’armée irakienne près de Mossoul.
Hélas, leur mission de mort ne s’éteignit pas avec leur vie.
Derrière le massacre de Manchester, il y a aussi le financement de la cellule de l’EI de Manchester par les contribuables britanniques, grâce à l’angélisme de leur gouvernement dhimmi.
Et cet angélisme n’est pas un phénomène propre à la seule Grande-Bretagne…
Dans nos belles et généreuses démocraties ouvertes à tous les vents, à tous les flux migratoires, au nom de l’utopie du multiculturalisme, nous finançons quasi sans broncher nos futurs bourreaux.
Du jamais vu dans l’histoire de l’Humanité.
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Sources :
Islamische Liebe für Ungläubige- PI News
L’attacco finanziato con il milione di sterline regalato a un terrorista – Il Giornale.it