Ici, on est chez nous !
Jusqu’à présent ce slogan était lancé dans les rassemblements du Front national. Mais, aujourd’hui, il a changé de camp. Depuis le soir de l’élection d’Emanuel Macron, il est répété dans certains quartiers de Paris et dans des banlieues. « Ils » ont compris qu’avec ce nouveau président, leurs communautés allaient grandir et prospérer et leur religion prendre de l’expansion.
J’ai découvert dernièrement dans mon arrondissement deux établissements dont le nom ne laisse aucun doute sur l’emprise grandissante de la communauté africaine : l’un s’appelle « Black Dancing Club » et l’autre « Full Black Lounge ». Deux établissements réservés exclusivement à la population noire. Sur les Grands Boulevards parisiens, on peut voir une terrasse de café réservée aux fumeurs de chicha. De plus en plus de magasins, de squares et de parcs sont « squattés » par les communautés africaine et maghrébine. Dans ces lieux, les Français de souche n’ont plus leur place.
L’apartheid antiblanc est en marche.
Aussi, ne faut-il pas s’étonner lorsqu’un sondage nous apprend que 66 % des Français estiment qu’il y a trop d’étrangers dans notre pays. Quand on parle hypocritement d’étrangers, tout le monde sait parfaitement de qui il s’agit.
Après le chômage, l’immigration est le principal sujet d’inquiétude des Français. Cela n’a pas l’air de préoccuper notre nouveau président qui multiplie les déplacements à travers le monde, mais qu’on ne voit guère du côté de la porte de la Chapelle, de La Courneuve, d’Aubervilliers ou de Saint-Denis.
Par la voix de Gérard Collomb, ce ministre de l’Intérieur qui paraît accablé par la tâche qu’on lui a confiée, on apprend que le gouvernement prévoit la création de 12 500 places d’accueil supplémentaires pour les immigrés et une réduction des délais de procédure pour les demandeurs.
Lors de l’entretien télévisé d’Emanuel Macron le 15 octobre sur TF1, en évoquant les attentats terroristes, le mot islam n’a pas été prononcé une seule fois. Il ne faut surtout pas déplaire aux 92 % de musulmans qui ont voté pour lui. Rien non plus sur le flux migratoire qui déferle sur notre pays. Seules quelques promesses sur les expulsions de délinquants étrangers, paroles qui n’engagent à rien lorsqu’on connaît les tracasseries administratives pour pouvoir expulser un clandestin, sans compter le refus des compagnies aériennes de transporter ce genre de passagers. Donc un des soucis majeurs des Français est volontairement ignoré du président.
On parle de 100 nouveaux immigrés par jour à Paris. Il est donc plus que probable que les camps de réfugiés se reconstitueront, les imams continueront à prêcher la bonne parole coranique, les djihadistes continueront à nous pourrir la vie, les attentats se multiplieront et nous aurons droit, comme d’habitude, aux fleurs, aux bougies, aux « pas d’amalgame » et aux « nous n’avons pas peur ».
Et cela continuera jusqu’au jour où de graves affrontements ethniques éclateront. La police sera vite débordée et devra faire appel à l’armée pour éviter une guerre civile généralisée. Le président et son gouvernement seront démissionnés et un général sera appelé au pouvoir pour rétablir l’ordre.
Ce scénario serait sans doute le meilleur pour la survie de la France. Malheureusement, il est peu probable que les choses se passent ainsi.
Étant donné la complaisance de ce gouvernement (et de tous les gouvernements précédents) vis-à-vis de l’immigration et de l’islam, vu l’indifférence et la lâcheté d’une grande partie des Français, le scénario qui nous attend sera le grand remplacement de la population (en bonne voie de réalisation) et une France musulmane dès 2040.