2017 a été une année de transition. Brèves internationales
L’indépendance de la Catalogne est un pied-de-nez à la monarchie espagnole
Le Premier Ministre Mariano Rajoy a vraiment mal anticipé tous les événements. Il a procrastiné en laissant organiser par les maires un référendum d’indépendance de la Catalogne qui est anticonstitutionnel. Il avait la possibilité juridique de les mettre en prison mais il n’a pas eu le courage de le faire. Il a laissé organiser ce référendum soutenu par toutes les gauches européennes dont notamment le service public audiovisuel français. Encore une fois les contribuables français doivent s’acquitter de la taxe audiovisuelle sans avoir leur mot à dire sur l’absence de pluralité criarde de ce service public.
A l’issue de ce référendum catalan auquel n’ont participé que les gauchistes qui sont les dignes héritiers des républicains qui déclenchèrent la guerre civile espagnole en 1936, Manuel Rajoy s’est trouvé forcément humilié par ce vote qu’il a perturbé par l’envoi de policiers dans quelques bureaux de vote sous l’œil gourmand des caméras.
Rajoy qui n’a pas l’étoffe du général Franco a accordé un généreux délai aux indépendantistes pour clarifier leur position et leur éviter ainsi d’aller en prison. Leur chef Carles Puigdemont, un pleutre affublé d’une perruque grotesque, a profité de cette aubaine pour s’enfuir à Bruxelles et demander l’asile politique à deux pas du Berlaymont qui abrite la commission européenne. Belle opération politique pour l’intéressé. Mariano Rajoy a dissous le parlement catalan mais il a encore commis l’erreur de demander la tenue de nouvelles élections, dans la foulée, qui ont porté forcément une nouvelle majorité d’indépendantistes. Nouveau camouflet pour le pouvoir central espagnol ! Il aurait dû mettre sous tutelle la Catalogne jusqu’à la tenue des élections régionales du pays afin de vider ce vivier de gauchistes et de terroristes islamistes. Il aurait dû demander le conseil de Beata Szlydo qui, elle, a fait un gros ménage dans son pays.
La Pologne attaquée par la commission européenne
Beata Szydlo, premier ministre polonais, et opposante farouche de la politique migratoire de Merkel
Le président de la commission européenne Jean-Claude Juncker a demandé au vice-président socialiste hollandais Frans Timmermans d’enclencher contre la Pologne la procédure de sanctions prévue à l’article 7 du traité sur l’Union européenne. Sous le prétexte que ce pays ne respecte pas l’état de droit (épuration de la magistrature polonaise de ses éléments progressistes par le gouvernement ultra-conservateur), Juncker, le caniche de Merkel, s’attaque à la Pologne parce qu’elle résiste à sa folie de quotas de migrants. Si les Allemands acceptent le suicide que leur impose leur chancelière réélue pour la troisième fois, ce n’est pas le cas des Polonais. L’histoire tragique de cette nation prise en tenaille par ses deux puissants voisins, qui a disparu et qui a été dépecée à maintes reprises, a inoculé chez ce peuple un très fort système immunitaire. Les Polonais ont flairé bien avant les autres Européens le danger mortel que représente l’Islam pour notre civilisation judéo-chrétienne. Les Polonais sont coupables aux yeux de la commission européenne de ne pas accepter le suicide collectif que leur a promis l’organisation Open Society, fondée par le milliardaire américano-hongrois George Soros, avec les invasions programmées de migrants africains et musulmans à bord de bateaux de fortune qui sont vite remorqués par des militants gauchistes allemands sur les côtes italiennes.
L’idiot utile du Vatican
Dans cette tragédie européenne, le pape islamo-gauchiste joue un rôle déterminant en culpabilisant les chrétiens qui rechignent à accepter davantage de migrants au nom d’une solidarité fallacieuse. Son double langage s’exprime sans détour. D’un côté, il prend la défense de la minorité rohingya birmane et des migrants musulmans, et de l’autre, il est silencieux sur l’extermination des chrétiens d’Orient.
A la suite de l’abdication surprenante de son prédécesseur (Benoit XVI est le premier pape à renoncer à son pontificat depuis Grégoire XII en 1415), l’élection de l’archevêque de Buenos Aires relève d’un complot international ourdi par le milliardaire George Soros, le président Barack Hussein Obama, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton et son éminence grise John Podesta. Aux yeux de ce dernier, Joseph Aloisius Ratzinger donnait une image moyenâgeuse de la papauté en complet décalage avec la société progressiste imposée par Soros. Des cardinaux américains lucides ont déposé un recours au président Donald Trump le jour même de son inauguration. Affaire à suivre. (1)
Les Français et les Américains ont chacun le président qu’ils méritent
Les veaux français ont voté sans sourciller pour le candidat de la république en marche soutenu financièrement par le subversif milliardaire George Soros. Les juges et les journalistes français n’ont jamais questionné le financement de la campagne de Macron. Ils ont littéralement torpillé la candidature du candidat Fillon jugé à la fois trop libéral (économique) et trop conservateur (social). C’était lui accorder trop d’honneur car il a été un caniche parfait pendant tout le quinquennat de Sarkozy. (2007-2012) Au pays des aveugles, les borgnes sont rois.
Malgré l’immixtion des dirigeants du FBI et du Département de la Justice pour faire perdre le candidat anti-establishment (dossier Fusion) et faire gagner la candidate démocrate Hillary Clinton malgré les crimes fédéraux qu’elle a commis qui lui vaudraient la prison à vie, Donald Trump a été élu président parce que les red-necks ont tout simplement le cuir beaucoup plus épais que les veaux français. Ils n’ont pas cédé à la propagande de mainstream media, et ils ont voté pour le candidat visant à rétablir les frontières de leur pays.
Le sursaut de l’Amérique et le réveil de la Mitteleuropa peuvent-ils éviter le suicide de notre civilisation judéo-chrétienne ?
Malgré la propagande en faveur d’un monde sans frontières, quelques nations européennes ne veulent pas mourir. Après l’élection ratée du candidat nationaliste Norbert Hofer à l’élection présidentielle, les Autrichiens se sont rattrapés avec l’élection du jeune chancelier Sebastian Kurz pour tenir la dragée à la perfide chancelière allemande.
Après avoir été rayée de la carte par la volonté de l’anticlérical premier ministre français Georges Clémenceau lors du traité de Trianon du 4 juin 1920, la Mitteleuropa est en train de renaître de ses cendres. C’est une excellente nouvelle pour l’Europe. L’Autriche catholique va rejoindre le groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, Slovaquie, Tchéquie) et faire ainsi un barrage vital à l’hégémonie nihiliste allemande. Après avoir déclenché deux guerres mondiales, l’empire allemand voudrait entraîner ses partenaires dans un suicide collectif dont ils ne veulent pas.
Au sein de l’empire allemand, une lueur d’espoir a jailli avec la percée du parti Alternative für Deutschland qui a gagné 94 sièges au Bundestag lors des élections d’octobre. La paralysie de la perfide chancelière qui n’a pu former un gouvernement de coalition est aussi une très bonne nouvelle pour l’Europe.
Il ne reste plus que Macron, le caniche de Merkel, et le pape islamo-gauchiste, le caniche d’Obama, pour jouer les idiots utiles en faveur du projet de société ouverte défendue âprement par le vieux milliardaire de 87 ans. Le jour où le pape Benoît XVI annonça sa démission, le 11 février 2013, la foudre frappa, à plusieurs reprises, le faîte de la basilique Saint-Pierre car Dieu était très en colère ce jour là ! (2)
Le miracle de la reconnaissance de Jérusalem comme la capitale d’Israël
La décision courageuse du président Donald Trump est un message d’espoir non seulement pour Israël mais aussi pour toute la communauté chrétienne. Qu’on le veuille ou non, le christianisme n’est qu’un schisme du judaïsme. Le christianisme n’est pas une création ex-nihilo; il s’appuie sur l’Ancien Testament. Jésus de Nazareth fut crucifié sur la croix avec l’inscription « roi des juifs ». Cette inscription était un message fort des Romains adressé aux juifs : « Voyez ce qu’il en coûte de braver l’autorité de Rome ! »
Enfin, nous avons avec Donald Trump un chef charismatique qui tient tête à toute la communauté musulmane qui a noyauté l’organisation des Nations unies et l’UNESCO.
Depuis l’an 2000, les fêtes de Martin Luther King et de President’s Day (Lincoln et Washington) ont été remplacées par deux fêtes religieuses musulmanes à l’ONU à New York. Je fus le seul à la mission française à protester contre cette dhimmitude en lançant une pétition qui ne recueillit que deux signatures d’agents subalternes : celle d’un secrétaire et la mienne. Carrière oblige, tous les énarques acquiescèrent sans broncher. On peut leur faire avaler n’importe quelle couleuvre car les Français sont des veaux.
Le décompte des voix de la résolution condamnant la reconnaissance par le président américain de Jérusalem comme capitale d’Israël montre la veulerie des Européens munichois qui ont pactisé depuis 1973 avec les Arabes en échange d’un pétrole bon marché.
Comme l’a dit clairement l’ambassadrice américaine à l’ONU Nikki Haley, les sanctions financières vont tomber à l’encontre des pays qui se permettent de cracher sur les États-Unis et d’encaisser leur chèque pour boucler leur fin de mois difficile. L’Égypte et le Yémen sont les deux auteurs de la résolution. Qu’un tiers des résolutions votées depuis la création du machin soit consacré à punir l’état hébreu en dit long sur sa dérive.
Le gros bâton marque le retour à la présidence énergique de Théodore Roosevelt (1902-1909) à qui j’ai consacré une biographie en trois volumes. (3) Il était temps qu’un président américain reprenne son gros bâton pour remettre de l’ordre dans le concert des nations.
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© Bernard Martoia pour Dreuz.info.
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