L’ancien haut-commissaire aux réfugiés et ex-Premier ministre portugais Antonio Guterres a été élu au poste de Secrétaire général des Nations Unies le premier janvier 2017.
Dans son article, publié sur le Guardian, intitulé “La migration peut bénéficier au monde et voici comment nous à l’ONU planifions notre aide à l’immigration », il fait l’éloge de l’immigration et la promotion du Pacte mondial pour des immigrations sûres, ordonnées et régulières.
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Il insiste sur l’importance de bâtir des frontières sensibles au besoin de protection des personnes et de partager le fardeau de la crise migratoire. Il faut convaincre que la migration est inévitable et que les sociétés multiethniques, multiculturelles, multi-religieuses qui se construisent sont une richesse.
Selon Antonio Guterres, la migration n’est pas le problème, mais la solution. L’immigration de masse renforce la croissance économique, réduit les inégalités et rapproche les différentes communautés.
Ce Pacte sera le premier accord global international de ce type, mais il n’imposera aucune obligation contraignante aux Nations. Il représentera une opportunité sans précédent pour les dirigeants de contrer les mythes pernicieux sur les migrants.
Cet enthousiasme rassurant du Secrétaire général de l’ONU n’a pas convaincu l’Administration Trump, qui a rejeté ce Pacte, car incompatible avec la souveraineté américaine.
Les USA se sont retirés du Pacte mondial de l’ONU pour la gouvernance globale de l’immigration et la politique des réfugiés, auquel avait adhéré l’Administration Obama.
Je leur ai dit : non seulement nous ne voulons pas d’un pays sans frontières, mais nous voulons les frontières les plus fortes que vous n’ayez jamais vues. L’Amérique est un pays souverain. Nous fixons nos propres règles de l’immigration. Nous n’écoutons pas les bureaucrates étrangers. (Paroles de Sage)
Selon Antonio Guterres, il était crucial de reconnaître et de renforcer les bienfaits de la migration… Les migrants apportent d’énormes contributions à la fois à leurs pays hôtes et à leurs pays d’origine.
(Si c’était vrai avec les migrations précédentes intra-européennes, et celles d’origine chinoise, vietnamienne, cambodgienne et quelques autres, ce n’est malheureusement plus le cas aujourd’hui avec les migrations de masse africaines et arabo-musulmanes. Guterres fait l’impasse sur certaines caractéristiques de la vague de réfugiés qui déferle actuellement sur l’Europe, et que ne présentaient pas les précédentes. Souffrirait-il d’un quelconque daltonisme culturel qui l’empêche de voir la différence entre les immigrés d’hier, qui contribuèrent à la richesse de nos pays et ceux qui affluent en masse de nos jours ? En outre, le contexte était différent : il y avait du travail et les migrants économiques arrivaient munis d’un contrat de travail et respectueux des lois du pays d’accueil.)
Et de citer les arguments-chocs :
Les migrants acceptent les jobs que les travailleurs du pays refusent de prendre et cela booste l’économie. Nombreux parmi eux sont des innovateurs et des entrepreneurs. Ils apportent aussi une contribution majeure au développement international en envoyant de l’argent vers leurs pays d’origine.
(Majoritairement, pensions et allocations sociales diverses payées par les contribuables occidentaux.)
Le Secrétaire général actuel de l’ONU n’est pas le premier à exalter les supposés apports bénéfiques de l’immigration de masse. L’institution intergouvernementale en a fait la promotion pendant un certain temps, comme un phénomène inévitable, nécessaire et souhaitable via son hashtag : #ForMigration campaign
En 2012, Peter Sutherlandl se rendit tristement célèbre en déclarant que l’UE devrait faire son possible pour miner l’homogénéité nationale et promouvoir des nations multiculturelles via l’immigration de masse !
Une déclaration en harmonie parfaite avec la politique de destruction massive des nations européennes, si chère aux dirigeants de l’UE et à leurs maîtres à penser… de la nouvelle gouvernance mondiale.
Renforcer la coopération internationale en matière migratoire et la gouvernance des migrations en vue de l’adoption d’un Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. (Global Compact for Safe, Orderly and Regular Migration) en 2018 est l’objectif que s’est fixé la communauté internationale lors du Sommet de New York sur les réfugiés et les migrants le 19 septembre 2016.
Ce plan sera accepté sans hésitation par tous ceux qui ont du sable dans les neurones et ne parviennent pas à comprendre la différence entre l’immigration responsable et la politique d’immigration irréfléchie. S’opposer à une politique de portes ouvertes à tous, notamment à ceux qui profèrent ouvertement des menaces d’attaques djihadistes, clament fièrement leur refus de s’intégrer, prônent avec arrogance la charia et l’islamisation de nos pays, n’est ni raciste, ni xénophobe, ni fasciste, mais une question de survie dans son propre pays. Il n’est pas irrationnel d’exiger un contrôle des frontières et des migrants, qui déferlent sur nos pays. L’Europe est déjà sur une pente glissante, grâce à un agenda mondialiste, qui déstabilise nos Sociétés et met en danger nos libertés et l’état de droit.
La dangereuse vérité c’est que l’ONU est un pilier et un partenaire de l’OCI, qui a abandonné depuis longtemps la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour la Déclaration des Droits humains du Caire, conforme à la charia.
L’OCI réaffirme le rôle civilisateur et historique de l’Oumma islamique dont Allah a fait la meilleure nation qui ait été donnée à l’humanité, une civilisation universelle et bien équilibrée dans laquelle l’harmonie s’établit entre cette vie et l’au-delà et la connaissance est fusionnée avec la foi. Le rôle de cette Oumma devrait être celui d’un guide pour une humanité troublée par des tendances et des idéologies concurrentes et lui apporter des solutions aux problèmes chroniques de cette civilisation matérialiste.
Ou tout l’art merveilleux de l’affabulation, dans lequel excellent les membres de l’harmonieuse et équilibrée Oumma.
Vers la mi-décembre, l’OCI jeta tout son poids dans la défense de l’immigration musulmane de masse en Europe en la justifiant par le fait que notre pauvre continent avait un besoin crucial de migrants musulmans pour payer ses pensions… Mais que ferions-nous donc sans l’apport des masses musulmanes et de l’islam ? Je n’ose l’imaginer ! A force de raconter un mensonge, il finit par devenir une réalité dans l’esprit ouvert et inclusif de certains disciples du multiculturalisme à tout prix.
La réalité est tout autre. Ce sont les Occidentaux, qui travaillent pour financer les diverses aides sociales, le logement, les soins médicaux, etc. dont bénéficient les chers invités de Mutti Merkel et qui voient l’âge de leur retraite reportée à 67 ans, bientôt à 70 ans et si cela continue ainsi, jusqu’à leur mort… conformément aux règles de la dhimmitude du Pacte d’Omar.
Sur les 1,2 million de migrants qui ont envahi l’Allemagne en 2016, seulement 34 000 personnes ou 2,8 % ont trouvé un travail. En Suède, un tiers d’un pour cent a un travail. En Grande-Bretagne, les migrants ont drainé un coût situé entre 115 et 160 milliards de livres sterling. En dépit de cela, la marionnette socialiste de l’OCI au sein de l’ONU et ses acolytes essayent de convaincre que la migration est bénéfique à l’Europe et au reste du monde.
. William Lacy Swing, Directeur général de l’OIM (Organisation Internationale pour la Migration) :
» Le Pacte mondial représente une occasion historique de réaliser l’objectif d’un monde où les migrants se déplacent par choix plutôt que par nécessité, un monde de possibilités de migration par des voies sûres, ordonnées et régulières, et un monde dans lequel la migration est bien gérée et représente une force positive pour les individus, les sociétés et les Etats.
L’OIM imagine un Pacte mondial qui mettra les besoins, les capacités et les contributions des migrants au cœur de sa mission, en vue de garantir leur sécurité, leur dignité et leurs droits fondamentaux ».
. Louise Arbour, Représentante spéciale du Secrétaire général pour les migrations internationales (SRSG) :
» La communauté internationale avait désormais « la grande responsabilité d’œuvrer pour une migration sûre, ordonnée et régulière, de manière raisonnée et réaliste, en vue d’améliorer la vie de millions de personnes migrantes, de ceux qu’elles laissent derrière elles et de ceux qui les accueilleront en chemin et à leur destination finale. » « Il nous appartient à tous ici d’accepter pleinement la mobilité humaine et de reconnaître qu’une bonne gouvernance des migrations nécessite un engagement dans une réelle coopération. »
. Ahmed Hussen, ministre canadien de l’immigration, des réfugiés et de la citoyenneté :
» Nous devons reconnaître les contributions de migrants qui migrent régulièrement. Ils comblent ainsi les lacunes en matière de main-d’œuvre, renforcent l’économie, créent des emplois à travers l’entrepreneuriat, apportent une jeunesse dans les pays où les taux de natalité sont faibles et partagent leur culture avec les habitants de leur pays d’adoption ».
. Luigi Maria Vignalli, Directeur général pour les politiques migratoires du Ministère italien des Affaires étrangères :
» La stratégie que nous avons prévue est globale : elle tient compte de l’attitude émergente de l’opinion publique, liée au sentiment d’insécurité de nos citoyens, et appelle à mieux gérer les frontières. Elle tient aussi compte de la nécessité de changer le discours sur la migration, en mettant en avant ses aspects positifs et la contribution des migrants à une société multiculturelle et prospère. »
Nous voilà rassurés du bien-fondé de ce Pacte Mondial destiné à garantir une migration continue en toute sécurité en provenance des pays du Tiers monde. L’avenir de l’Occident décadent, moribond, sans harmonie ni foi repose désormais entre les mains salvatrices de l’immigration de masse musulmane. L’OCI, l’ONU et l’UE l’ont ainsi décrété.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources :
“New United Nations Boss Unveils Plan to Promote Global Mass Migration” (Breitbart)
“Migration can benefit the world. This is how we at the UN plan to help” Antonio Guterres (The Guardian)