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Après avoir ouvert les bras aux musulmans et critiqué Trump, Merkel appelle l’UE à défendre ses frontières

By 25 janvier 2018Monde
PUBLIÉ PAR FTOUH SOUHAIL LE 25 JANVIER 2018

Ce mercredi 24 janvier 2018, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré au Forum économique mondial de Davos (Suisse) que les Européens devraient défendre leurs frontières.

S’exprimant à la grand-messe annuelle de l’élite planétaire des milliardaires de Davos qui expliquent au millionnaires comment les classes moyennes doivent penser, la chancelière allemande a insisté sur la nécessité pour l’Union européenne de prendre des mesures nécessaires face à l’afflux de migrants qu’elle a provoqué.

Autrement dit, comme toujours, les dirigeants politiques offrent des solutions aux problèmes qu’ils créent. Ou dit encore autrement, ils créent des problèmes afin de rendre leur existence indispensable pour les régler.

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Car l’Allemagne, premier pays d’accueil en Europe, n’a cessé de souligner par la voix de cette même chancelière que les pays de l’UE, très réticents à accueillir toujours plus de migrants, avaient un « devoir moral » (quel devoir moral ? Personne ne le sait car personne n’ose l’aborder honnêtement) envers les réfugiés fuyant la guerre ou la répression (et aucun devoir moral envers ses propres citoyens ?)

1.9 million de migrants sont arrivés en Allemagne depuis 2015, selon le quotidien allemand Sächsische Zeitung (SZ). Ce chiffre a de quoi donner le tournis d’autant que ce ne sont pas des migrants culturellement compatibles avec les valeurs occidentales. Et lorsqu’on sait qu’une minime différence de valeurs peut déclencher des conflits mortels, voire l’Irlande catholique et protestante ou l’ETA et le nationalisme basque, on peut imaginer les futurs conflits en Europe.

Cinq cent mille nouveaux migrants pourraient arriver chaque année d’ici à la fin de cette décennie. Ils s’ajouteront au 2 millions déjà entrés depuis 2015. Ces estimations gouvernementales révélées par le quotidien munichois ne devraient pas rassurer ses voisins, qui sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter de cet afflux massif.

L’intégration des migrants va également coûter très cher aux finances publiques de la République fédérale. Les Allemands sont nombreux à s’alarmer des conséquences de ce phénomène qui atteint des proportions inégalées depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Berlin a donc fini par durcir par petites touches le traitement des dossiers des nouveaux arrivants pour tenter de réduire l’afflux, sans que les groupes et partis politiques de soutien aux migrants ne bougent le petit doigt ou se scandalisent, vous l’aurez sans doute remarqué. Soumise à de fortes pressions, notamment dans son propre camp conservateur, Angela Merkel s’est engagée à faire réduire ce nombre, mais dans le cadre d’une solution de contingents négociés au niveau européen et en liaison avec la Turquie, par laquelle passent la plupart des réfugiés.

Merkel se permet de critiquer… indirectement de Donald Trump

Dans une autre partie de son discours au Forum économique mondial de Davos, Mme Angela Merkel a rejeté le protectionnisme économique et l’unilatéralisme politique selon les médias allemands.

Un jour avant le discours du président des Etats-Unis Donald Trump, à Davos, la chancelière allemande a défendu le multilatéralisme en soulignant que «le protectionnisme n’est pas la bonne solution» pour résoudre les problèmes économiques au niveau mondial – alors que l’économie américaine s’envole sous l’impulsion du président américain, et que le monde entier va profiter de ce coup d’accélérateur.

Mme Merkel a proposé que les pays du monde trouvent des solutions multilatérales à leurs problèmes. Elle a estimé que la poursuite des solutions nationales pourrait créer de nouveaux problèmes et rendre impossible la coopération parmi les pays.

Quant au Brexit, la chancelière allemande a déclaré que malgré la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne, elle souhaiterait que Londres et l’Union européenne conservent de bonnes relations. Elle a souligné toutefois que lors des négociations sur le Brexit avec les autorités et les institutions britanniques, les Européens devraient rester fermes sur leur position et défendre les principes de l’Union européenne.

La chancelière allemande a soutenu enfin la position du président français, Emmanuel Macron, en estimant que ce dernier avait réussi à redonner du dynamisme à l’Union européenne. Sans doute voit-elle des choses que nous, simples mortels, sommes trop stupides pour voir…

L’Allemagne de Mme Merkel est incapable de protéger les juifs sur son sol

Avec l’invasion de migrants, l’antisémitisme musulman se développe à grande vitesse en Allemagne. Le nombre d’actes de violences physiques antisémites a augmenté, ainsi que les incitations à la violence antisémite. Il s’agit d’une honte pour un pays comme l’Allemagne, d’autant plus que le nombre de juifs dans ce pays est maintenant minime par rapport au reste de la population. Il y a aujourd’hui seulement deux cent mille juifs pour une population de près de 83 millions d’habitants, soit environ 0,25% ! Mais 0,25%, pour des antisémites, c’est insoutenable, c’est infiniment trop.

Des drapeaux israéliens ont été brûlés ces derniers jours en signe de protestation contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par le président américain. Derrière ces gestes figurent les immigrés musulmans de fraîche date. Des réfugiés qui ne parlent même pas la langue du pays. Et ils ont scandé des paroles antisémites aux cris de «mort à Israël» ou «Israël, assassin d’enfants» ou «Hamas, Hamas ! Les juifs au gaz !»

Ces manifestations anti-israéliennes, mais en réalité anti-juives, sont le fait d’un mélange des éléments islamistes allemands, des sympathisants du Hamas, de la milice libanaise Hezbollah, des fascistes turcs, des soutiens du parti AKP du président turc Erdogan, du Fatah palestinien et du Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP).

Les images de jeunes fanatiques turcs ou arabes encagoulés, drapés du foulard palestinien et brandissant des drapeaux turcs ou palestiniens ont choqué les Allemands. Une avalanche de réactions politiques a suivi dans le pays, le mois dernier, à fond perdu. Face à ces débordements, la communauté juive avait réclamé un durcissement de l’arsenal juridique. Mais historiquement, chaque fois que la communauté juive alerte les Autorités du danger antisémite, celles-ci ne prennent pas les décisions qui permettent de régler le problème.

Les réfugiés du «rêve allemand» qui sont accueillis viennent souvent de pays où on leur a inculqué l’antisémitisme dès le berceau. Pire encore, l’Allemagne de Mme Merkel est devenue un théâtre d’opérations pour les services iraniens des renseignements extérieurs qui sont sous l’autorité directe du guide suprême.

Ces derniers jours, on apprend notamment par le Spiegel online que le Dr Daniel Rouach (Professeur ESCP Europe) et Reinhold Robbe (ex-député allemand) ont été suivis à Berlin par une équipe d’espions payés par l’Iran et qui avait pour objectif final des assassinats ciblés.

L’espion chiite iranien, Mustufa Haidar Syed-Naqfi, d’origine pakistanaise, voulait assassiner Daniel Rouach, universitaire franco-israélien, auteur de livres économiques et président de la Chambre de Commerce et Industrie Israël –France (CCIIF) à Tel-Aviv. Il visait aussi l’ancien député social-démocrate et ex-président de la Société germano-israélienne (DIG) Reinhold Robbe. Ce dernier est expert dans un domaine technologique très complexe et spécialiste des transferts de technologie.

L’espionnage de personnes et d’institutions ayant des liens spéciaux avec l’État d’Israël sur le sol allemand est rendu possible grâce au laxisme de Mme Merkel, qui estimait qu’il y avait un devoir moral d’accueillir ces réfugiés musulmans.

Mais Goethe, le plus éminent poète allemand, adorait l’Islam.

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«Aussi chaque fois que nous le lisons, dès le commencement, il (le Coran) nous rebute. Ce livre continuera d’exercer une profonde influence sur les temps à venir» J.W. Goethe, cité dans «Dictionary of Islam» de T.P. Hughes, p. 526

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Ftouh Souhail pour Dreuz.info.

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