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Les musulmans de France on-t-ils encore le temps pour sauver ce qui reste de leur honneur ?

By 30 mars 2018mai 13th, 2020Monde
PUBLIÉ PAR FTOUH SOUHAIL LE 29 MARS 2018

Les musulmans de France ne semblent pas choqué ou bouleversé par cette violence monstrueuse au nom de leur religion. Pourtant ils sont en première ligne lorsqu’il s’agit de défendre une activiste palestinienne antisémite, comme Ahed Al-Tamimi, qui porte toujours le keffieh palestinien.

Le décès lors d’un incendie criminel d’une femme juive de 85 ans dans son appartement du 11ème arrondissement vendredi dernier n’a pas encore fait réagir les musulmans de France. Une rescapée de la rafle du Vel’d’Hiv en juillet 1942,a été assassinée par un BARBARE musulman par plusieurs coups de couteau et brûlée.

Madame Mireille Knoll a été assassinée, chez elle, le vendredi 23 mars 2018, le jour même de l’attentat de Trèbes où l’une des victimes, le colonel Arnaud Beltrame a été lui aussi égorgé par un autre musulman, offrant sa vie pour sauver une autre.

Le corps de madame Knoll, poignardé à de multiples reprises, a été retrouvé en partie carbonisé. Le caractère criminel de l’incendie est établi par l’enquête avec les traces de cinq départs de feu. Une première autopsie aurait montré des traces de coups de couteaux sur la vieille dame qui vivait seule. Je vous laisse imaginer l’atrocité du crime.

Madame Knoll n’a pas connu Auschwitz. Âgée de six ans en 1939, elle a échappé aux Rafles de Juifs conduites par les nazis et par leurs collabos. Elle a vécu à l’abri des nazis. En 2018, elle est assassinée parce qu’elle était juive. Né en 1932 à Paris, Mireille Knoll avait échappé dix ans plus tard de justesse à la rafle des Juifs du Vel d’Hiv’ de juillet 1942 en s’enfuyant de Paris avec sa mère.

Noa Goldfarb, qui vit en Israël depuis 20 ans, a écrit que sa grand-mère paternelle avait été assassinée par un voisin musulman.

« Il y a vingt ans, j’ai quitté Paris en sachant que ni mon avenir ni celui du peuple juif ne s’y trouvent », a écrit en hébreu Noa Goldfarb, qui vit à Herzliya, à 10 km de Tel Aviv, sur Facebook, dans un post qui a été partagé à près de 1 200 reprises.

« Mais qui aurait cru que je laissais mes proches là où le terrorisme et la cruauté mèneraient à une telle tragédie ? Grand-mère a été poignardée à mort 11 fois par un voisin musulman qu’elle connaissait bien, qui a veillé à mettre le feu à sa maison et ne nous a laissé aucun objet, une lettre, une photo, pour se souvenir d’elle. Tout ce que nous avons, ce sont nos larmes et les uns les autres. »

Le parquet de Paris a retenu le caractère antisémite dans l’enquête sur le meurtre d’une octogénaire à Paris, qui suscite de nouveau une forte émotion de la communauté juive un an après celui de Sarah Halimi.

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Réactions en France et en Israël

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué lundi aux côtés du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian actuellement en visite en Israël et dans les Territoires palestiniens,  la « position des gouvernements et présidents français successifs, dont Emmanuel Macron », face à l’antisémitisme. « Elle est courageuse, claire et juste », a-t-il dit.

En visite à Jérusalem, Le Drian a fait part de son « émotion ».

« Mireille Knoll, 85 ans, rescapée de la rafle du Vel d’Hiv, est morte vendredi à Paris, poignardée à onze reprises, avant que son appartement ne soit incendié. Toute la lumière doit être faite sur ce crime odieux », a twitté le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.

« S’attaquer à un juif, c’est s’attaquer à la France et aux valeurs qui constituent le fondement même de la Nation », a déclaré dans un communiqué le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, dénonçant un « acte de barbarie ».

Le président des Républicains, Laurent Wauquiez, a lui dénoncé un « assassinat ignoble », espérant que « chacun ouvre enfin les yeux sur le nouvel antisémitisme qui se développe dans notre pays ».

Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Francis Kalifat, a exprimé sur Twitter son « soulagement » que ce motif antisémite ait été retenu, mais aussi sa « colère » et son « inquiétude face à une telle barbarie ».

Le président du Consistoire israélite, Joël Mergui, a salué auprès de l’AFP la « réactivité »des enquêteurs et du parquet après que le mobile antisémite ait été retenu.

Le Crif et plusieurs autres organisations ont appelé à participer à une « marche blanche » en hommage à la victime ce mercredi, 28 mars 2018, à Paris.

A ses 85 ans, le nouveau visage du nazisme islamique, toléré par les musulmans de France, s’est introduit jusqu’à chez elle, dans l’indifférence à peine gênée, comme lorsqu’il s’était introduit chez Sarah Halimi, assassinée chez elle aussi à l’age de 65 ans. Ce jour-là, le 4 avril 2017, les musulmans de France étaient comme absents.

On n’a plus de mots pour exprimer notre profonde indignation de ces musulmans et pour décrire la lâcheté d’une partie de la classe politique et de tous ces éditocrates, « journalistes » ou soi-disant « experts », à la solde de l’islam.

L’heure est grave. En France, le nouveau visage du nazisme s’octroie le droit de tuer Mireille et Sarah parce qu’elles étaient juives. D’égorger le Père Hamel parce qu’il était chrétien. De poignarder au cou le colonel Beltrame parce qu’il était dépositaire de l’autorité publique. De tirer sur des journalistes parce qu’ils célébraient la liberté d’expression. D’égorger dans la rue deux jeunes filles parce qu’elles étaient trop libres, trop joyeuses aux yeux des musulmans, d’assassiner des spectateurs parce qu’ils aimaient la musique et les belles rencontres. De foncer sur des foules rassemblées un soir de fête nationale pour semer la terreur partout, l’étape juste avant d’imposer la soumission devant l’islam comme seule option à un peuple français qui se croit (encore) libre. Pendant ce temps-là, on peine à avoir une volonté politique de faire le grand ménage.

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Les musulmans de France, en première ligne pour défendre Ahed Al-Tamimi.

De nombreux cortèges se sont succédé dans les rues de Paris, en janvier 2018, pour exiger la libération de cette activiste palestinienne antisémite, Ahed Al-Tamimi, emprisonnée pour avoir giflé un soldat. Pour la majorité des musulmans de France cette fille à la grande chevelure blonde et bouclée est devenue une icône de la lutte contre les juifs tout comme Salah Amouri.

En janvier dernier les musulmans de France se sont mobilisés contre Le Festival international des programmes audiovisuels (Fipa), qui s’est tenu à Biarritz, dans le sud-ouest de la France, du 23 au 28 janvier 2018 et qui avait choisi de faire un «Focus sur Israël». Ils se sont indignés que la direction du festival ait fait le choix de s’associer avec le gouvernement israélien. Pour eux il était très choquant que la Fipa fasse la promotion de l’État d’Israël, alors que l’État juif s’apprête à commémorer cette année les 70 ans de son indépendance nationale.

Tandis que les crimes antisémites sont totalement occultés, le focus sur Israël au Fipa est selon eux plus important. Au moment même où des musulmans en France se livrent à une barbarie gratuite sur le territoire français, leur préoccupation est ce partenariat officiel avec Israël.

Ils ont même mobilisé des cinéastes internationaux et des professionnels de l’audiovisuel pour adresser une lettre ouverte à la direction du festival pour protester contre le choix du Fipa de s’associer avec le gouvernement israélien. Ils ont demandé aux organisateurs du Fipa de reconsidérer leur relation avec le gouvernement d’Israël et de retirer son partenariat avec le ministère israélien des Affaires étrangères et l’ambassade d’Israël en France.

L’attitude violente d’Ahed Tamimi envers les soldats israéliens est intrinsèquement liée à cet violence musulmane contre les agents de l’ordre en France. Sinon comment expliquer que ce marocain ait égorgé le colonel Beltrame ?

Jusqu’au bout, les médias français à la solde des musulmans auront cherché à mentir aux Français. Ils voulaient absolument cacher la barbarie de ce criminel musulman, qui a égorgé selon le rituel des siens. Les égorgements et les décapitations font partie de l’histoire de l’islam.

On ne peut que constater que lors de la Fête de l’Aid, les musulmans égorgent les moutons comme les djihadistes égorgent les infidèles. Et c’est normal puisque dans les textes sacrés du coran, les infidèles sont comparés à des animaux, alors que les musulmans sont considérés comme la meilleure des communautés.

Quel message signifie de défendre Ahed Al-Tamimi, qui avec sa mère, avait elle aussi tenté d’égorgé un soldat juif ?

Quel message signifie que les musulmans de France choisissent de faire un focus sur Al-Tamimi et occultent le sort tragique de Madame Mireille Knoll assassinée, chez elle, par son voisin musulman?

Les musulmans préparent leurs enfants dès le plus jeune âge à l’égorgement. Dans des écoles du Moyen-Orient (surtout chez les palestiniens), ils leur apprennent à trancher des gorges et ne pas craindre les flots de sang qui leur baignent alors les pieds.

Ahed Al-Tamimi, a été éduquée dans cette culture où les enfants regardent avec fascination les malheureuses bêtes se vider de leur sang. Les guerriers d’Allah sur tout le territoire français ne se contenteront pas seulement d’agneaux.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Ftouh Souhail pour Dreuz.info.

 

 

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