Victoire ! La Cour suprême confirme: Trump a le droit de protéger son pays avec son décret migratoire
PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 27 JUIN 2018
Les marginaux, qu’on appelle encore « élites », ou « journalistes », et qui militent pour un monde sans frontière contraire à la nature humaine, ont perdu.
Le droit naturel défendu par le président Trump, a gagné : la Cour suprême confirme que le président est en droit d’interdire l’entrée à des ressortissants de pays où le risque d’infiltrer des terroristes ne peut pas être solidement évité.
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Le décret présidentiel interdisait l’entrée aux ressortissants de six pays à risque, parce que leurs gouvernements, inexistants ou dysfonctionnels, ne sont pas en mesure de garantir l’authenticité de leurs documents officiels ou de permettre aux agents d’immigration de se fier aux archives policières pour savoir si les visiteurs ont un passé terroriste ou criminel, s’ils sont des individus à risque.
Les opposants de Trump, avec l’aide complice des médias, ont réussi à faire à croire que le décret de Trump visait les musulmans. Alors que seulement 7 des 54 pays musulmans étaient concernés, l’argument ne tenait que sur les plateaux de télévision où personne n’est invité pour corriger la propagande de haine anti-Trump. La Cour suprême a fait son travail. Elle a examiné les faits et non les déclarations politiques, et a donné raison au président américain.
C’est une victoire importante pour Donald Trump, car son décret migratoire a été fortement critiqué par les tenants du politiquement correct, du fait qu’il visait des pays musulmans. L’ensemble des médias, rappelons-le car il serait erroné de se couper de la réalité, s’accordent pour blanchir l’islam de ses crimes et innocenter en bloc le monde musulman. Rappelons également que les attentats terroristes, ils ne sont pas commis par des catholiques. Ni par des Juifs.
La réalité qui n’est pas dite est que l’islam est coupable de la quasi-totalité des violents conflits et perturbations qui perturbent le monde actuellement. Rien que pendant le mois réputé saint de Ramadan, un mois de recueillement dans l’islam, plus de 3500 musulmans ont été massacrés par leurs coreligionnaires dans presque tous les pays musulmans – ce qui montre, par l’ampleur du phénomène, que c’est bien l’islam qui est en cause, que les criminels sont bien des musulmans qui pratiquent leur religion, qu’il s’agit de tout sauf d’une religion de paix, et question “mois saint”, les musulmans ont des progrès à faire.
À cinq voix pour et quatre contre – exactement selon leur ligne politique – les juges de la Cour suprême ont définitivement entériné le décret, qui interdit aux ressortissants de six pays d’entrer sur le territoire américain. Sont concernés le Yémen, la Syrie, la Libye, l’Iran, la Somalie, la Corée du Nord, et certains responsables gouvernementaux du Venezuela – des dangereux communistes (pardonnez le pléonasme mais on ne doit jamais oublier qu’un communiste est un individu dangereux).
Un denier mot concernant les défenseurs d’un monde sans frontière dont les médias amplifient l’importance comme s’ils représentaient la majorité, la norme, la logique, et les autres seraient de sales identitaires, des lépreux.
La terre compte 197 pays. Toute l’humanité, l’ensemble des êtres humains, avec pourtant leurs immenses différences culturelles et historiques, ont choisi de s’organiser en pays, et un pays n’existe que s’il a des frontières. Ceux qui militent contre les frontières sont non seulement en opposition avec l’ensemble de l’humanité, mais en opposition avec les valeurs partagées par l’Homme, cela doit être rappelé.
Le Président Trump est résolument dans le camp de 7,6 milliards d’hommes et femmes, moins les quelques dizaines de milliers d’activistes et de journalistes qui capturent le temps de parole publique pour faire croire qu’ils sont la voix de la majorité.
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