Donald Trump a prononcé mercredi 2 décembre un discours important sur les élections de 2020. Il a énuméré de manière précise les multiples fraudes et autres actes criminels qui ont accompagné celles-ci.
Il a dit qu’il était impensable qu’un Président des Etats-Unis puisse arriver au pouvoir sur la base de fraudes massives et au terme d’une élection volée aux électeurs américains, et qu’il ne l’admettrait pas. Il a raison. Il a rappelé qu’il était garant des institutions et qu’il entendait faire son devoir. Il a raison encore.
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Les grands médias américains, qui participent activement à la tentative de coup d’Etat en cours, n’ont pas dit un mot du discours, et persistent à dire qu’il n’y a eu aucune fraude et que les accusations énoncées par Donald Trump sont sans fondement. Aucun propagandiste travaillant pour les grands médias américains n’a examiné une seule seconde les témoignages sous serment décrivant les fraudes et divers autres crimes commis par les démocrates au cours des élections : c’est logique, entre criminels, on se soutient.
Il reste encore quelques médias dignes de ce nom aux Etats-Unis (deux chaines de télévision, Newsmax, OANN, divers webmagazines et programmes de talk radio) et ces médias, eux, décrivent les fraudes, donnent la parole aux témoins, rappellent les principes élémentaires du droit.
Il y a aussi des avocats qui font leur travail et qui ont courage et droiture éthique. Et ils méritent d’être salués. Rudy Giuliani, ancien maire de New York et ancien procureur fédéral, fait un travail remarquable. Des auditions de témoins sont organisées par lui dans les Etats en litige, et ces auditions ont lieu devant les législatures d’Etat. Or ce sont les législatures d’Etat qui doivent ratifier les votes en dernière instance et désigner les grands électeurs qui sont censés se réunir le 14 décembre prochain. Les principaux avocats qui l’accompagnent dans cette tache doivent être cités : Jenna Ellis, Joe di Genova, Victoria Toensing. Deux autres avocats font eux aussi un travail remarquable et se sont dissociés de l’équipe Giuliani parce que leur mission est plus vaste et incrimine des Républicains corrompus : Sidney Powell et Lin Wood.
Ceux qui témoignent sont eux-mêmes imprégnés de courage et de droiture éthique. Nombre d’entre eux ne sont pas Républicains, et parlent simplement parce qu’ils refusent de se faire complices de crimes. Ils permettent de garder confiance dans les valeurs qui imprègnent encore une large part du peuple américain, malgré les assauts menés par la gauche contre ces valeurs. Ils montrent que tout n’est pas perdu.
Les journalistes des grands médias américains se situent, eux, à l’inverse de ces valeurs. Ils représentent la lie de la société américaine. Ce sont des exécuteurs de basses œuvres qui se placent entièrement au service d’un parti politique devenu cloacal. Il y a davantage de sens de l’honneur chez les truands que chez les politiciens démocrates. Et oui : il serait impensable qu’un Président des Etats-Unis puisse arriver au pouvoir sur la base de fraudes massives et au terme d’une élection volée aux électeurs américains. Oui, Donald Trump est garant des institutions et fait son devoir.
Que ce soit lui qui se trouve trainé dans la boue et insulté alors qu’il n’a cessé de respecter le serment qu’il a prêté en devenant Président en Janvier 2017 et qu’il a accompli tant pour son pays et pour le monde, et qu’à l’inverse, Joe Biden, corrompu, chef d’une famille criminelle, complice actif des fraudes massives et organisées que j’ai décrites comme élément central d’un coup d’Etat destiné à détruire les institutions américaines, soit porté aux nues et décrit comme ce qu’il n’est pas, montre que nous sommes dans une époque absolument nauséabonde.
Il reste des médias dignes de ce nom aux Etats-Unis, disais-je. Il n’en reste guère en France. Et il reste peu de journalistes qui ne soient devenus d’infects propagandistes. J’ai vu qu’Éric Zemmour s’était efforcé de dire la vérité sur ce qui se passe aux Etats-Unis, et je dis qu’il a fait preuve de courage et de droiture éthique lui aussi. Ivan Rioufol a écrit une chronique remarquable sur Trump, Gilles-William Goldnadel aussi, Charles Gave a pu parler de manière pertinente au micro de l’excellent André Bercoff. Edouard Husson a fait une très bonne vidéo. Marc Amblard écrit de très bons billets sur Boulevard Voltaire. C’est à peu près tout à ma connaissance. C’est infiniment peu.
Ce qui est en jeu n’est pas la réélection de Donald Trump. C’est la survie de la démocratie aux Etats-Unis et la survie de la liberté sur terre. Et je le dis une fois de plus : si les Etats-Unis tombent, le monde libre appartiendra vite au révolu.
Des dirigeant chinois se réjouissent ouvertement en ce moment à l’idée que Joe Biden pourrait accéder à la Maison Blanche, et disent que cela accélèrera leur avancée vers une hégémonie mondiale. Les dirigeants iraniens se réjouissent eux aussi parce qu’ils savent que si Joe Biden arrive au pouvoir, ils pourront avancer à nouveau vers l’hégémonie régionale.
Par son discours de mercredi, Donald Trump a montré qu’il n’entendait pas accepter. Par son action, Rudy Giuliani montre qu’il n’entend pas accepter lui non plus, et on peut dire la même chose de ceux qui travaillent avec lui.
Sidney Powell et Lin Wood, en appellent à l’esprit de la Déclaration d’indépendance, de la Constitution et du Bill of Rights. Lin Wood a créé un mouvement : Fight Back. Je soutiens résolument ce mouvement. Dire que j’ai de l’aversion pour les Démocrates, pour les journalistes des grands médias américains et pour l’essentiel des journalistes français est bien peu dire.
Une phrase de Tom Paine, l’un des révolutionnaires américains de 1776 est souvent dans ma tête : “Il est des moments qui éprouvent l’âme. Le soldat des beaux jours, le patriote du ciel ensoleillé, va dans ce moment critique flancher et manquer à son pays, mais celui qui fait face maintenant méritera l’amour et la reconnaissance de l’humanité. La tyrannie, comme l’enfer, n’est pas vaincue facilement, mais nous avons cette consolation : Plus dur est l’affrontement plus glorieux sera le triomphe !”
Donald Trump a été réélu le 3 novembre 2020. Quiconque dit le contraire, et quiconque s’accommoderait d’un coup d’Etat aux Etats-Unis, trahit toutes les valeurs qui ont fait la civilisation occidentale.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.