Dans sa présentation, lors de l’audition au Sénat de Géorgie jeudi, le 3 décembre, l’équipe juridique du Président Trump a montré des images de sécurité de la State Farm Arena d’Atlanta où l’on voit le dépouillement des bulletins de vote qui a eu lieu tard dans la nuit du scrutin et tôt le lendemain matin. On peut voir dans la vidéo, les employés électoraux sortir des caisses de bulletins de vote après le départ des observateurs républicains, et les tabuler dans les machines de vote (Voir: (https://www.dreuz.info/2020/11/29/elections-americaines-en-temps-reel/2/). Les Démocrates ont tenté d’expliquer que ce qui se passe sur la vidéo n’a strictement rien à voir avec de la fraude électorale !
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 5 décembre.
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Les justifications des Démocrates concernant la vidéo montrant un fraude électorale en Géorgie ne tiennent pas la route
Immédiatement après l’annonce de la vidéo montrant les travailleurs de la State Farm Arena d’Atlanta en train de comptabiliser les bulletins de vote après que les observateurs du scrutin aient apparemment été priés de partir, un prétendu site d’information est entré en action pour faire un « fact checking » (une vérification des faits) du reportage.
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Alors que la soi disant « vérification des faits » devait permettre aux agents démocrates de couvrir leurs arrières, leur récit anti-fraude n’était pas crédible.
De plus, de nouvelles preuves concernant les pics de votes et le comportement suspect de deux des compteurs de votes ont donné encore plus de crédit à la position des Républicains en rapport avec cette vidéo de surveillance.
La vidéo qui a galvanisé tant de gens montre une grande salle dans laquelle les observateurs du scrutin étaient complètement isolés de toute observation significative.
Peu avant 22 heures, un des membres du personnel électoral – une femme noire aux longues tresses blondes – s’est approché des observateurs et, peu de temps après, les observateurs ont quitté la salle un peu avant 23 heures, apparemment à contrecœur.
À 23 heures, alors que la salle était apparemment fermée et que les observateurs étaient partis, les travailleurs électoraux restants se sont soudainement mis à l’œuvre, traînant des valises à roulettes sous une table.
Ils ont sorti des bulletins de vote de ces valises et ont passé les deux heures suivantes à les scanner, à raison d’environ 3 000 bulletins par heure et par scanner.
Dès vendredi, un site appelé Lead Stories avait préparé sa vérification des faits, niant les allégations. Voici ses affirmations :
- Personne n’a dit aux observateurs de partir ; ils ont suivi volontairement les travailleurs et auraient pu revenir quand ils le voulaient.
- Ce que les Républicains appelaient des «valises» étaient en fait des « conteneurs de bulletins de vote ordinaires » vides, placés sous la table pour économiser de l’espace au sol.
- Les bulletins de vote qui se trouvaient dans les boîtes avaient déjà été retirés de leurs enveloppes et traités en présence d’observateurs.
Le seul point qui tient la route est l’affirmation selon laquelle les bulletins étaient dans des « boîtes de bulletins » et non dans des valises. Tout le reste est faux, que ce soit sur le plan des faits ou de la logique.
Premièrement, les observateurs qui sont partis ont déclaré que les travailleurs leur avaient dit de partir, et, en effet, on peut voir la femme aux tresses blondes leur parler. Il est logique que les observateurs ne soient pas partis sans qu’on leur dise que tout était en train de s’arrêter. Les partisans de Donald Trump étaient profondément méfiants à l’égard des événements et n’auraient jamais mis fin à leur surveillance.
Deuxièmement, même en supposant que les gens aient regardé les bulletins de vote être retirés de leurs enveloppes, ce n’est pas une raison pour qu’ils se désintéressent de la supervision du comptage des votes. Par exemple, s’ils étaient restés, ils auraient pu voir la femme en chemise violette passer à plusieurs reprises le même lot de bulletins dans la tabulatrice.
Troisièmement, la mise en scène de la fermeture n’a aucun sens. Si le dépouillement se déroulait comme auparavant, pourquoi se lancer dans cette mise en scène, chasser les observateurs du scrutin, pour ensuite se lancer dans une action frénétique et totalement non supervisée pendant les deux heures suivantes? Tandis même que ces scrutateurs étaient occupés à scanner les bulletins de vote sans surveillance, Biden a reçu un pic « mathématiquement impossible » dans le décompte des votes.
Quatrièmement, selon Bernard Kerik, un ancien commissaire de police de New York, ce pic est une impossibilité mathématique – une affirmation qui prend tout son sens rien qu’en regardant ce graphique :
Il n’est pas surprenant que la soi-disant «vérification des faits» soit considérée comme étant de la frime.
Lead Stories est un site démocrate partisan « dont le personnel est presque entièrement composé de donateurs démocrates, dont la moitié a travaillé pour CNN dans le passé». C’est aussi l’un des prétendus « vérificateurs de faits non partisans » de Facebook – et ils fonctionnent, comme beaucoup l’ont remarqué, sur une base totalement partisane.
Il y a une autre vidéo montrant deux des femmes du comptage secret des votes – la fille en chemise violette et celle avec les tresses blondes – et il semble que celle en chemise violette passe secrètement quelque chose à celle aux tresses blondes. Beaucoup de gens ont spéculé que ce qui lui est transmis est une clé USB.
Les faits sont clairs : les observateurs du scrutin ont déclaré avoir été délibérément écartés, et les travailleurs, dont deux qui s’étaient comportés de manière suspecte auparavant, ont scanné les bulletins de vote frénétiquement, ce scannage coïncidant avec un pic de comptage incroyablement élevé qui a favorisé Joe Biden.
Pas étonnant que le Gouverneur Kemp ait soudainement demandé une vérification des signatures. Même lui savait que personne ne croirait les prétendues vérifications des faits «expliquant» la vidéo.
Malheureusement, malgré toutes ces preuves de comportement illégal, le comté de Fulton a quand même certifié ses résultats.
C’est ce qui arrive quand c’est le renard qui est chargé de certifier le poulailler.
Conclusion
Ce qui s’est réellement passé est simple à comprendre.
Dans le comté de Fulton, en Géorgie, les personnes qui avaient prévu d’ajouter de faux bulletins au décompte des voix de Biden le soir de l’élection avaient un bon plan d’ensemble.
D’abord, annoncer qu’un tuyau avait éclaté et que tout le monde devait quitter le bâtiment jusqu’au matin et, ensuite, compter les faux votes. Mais les planificateurs ont omis deux détails. Ils ont oublié de s’assurer que les documents du gouvernement allaient confirmer l’histoire de l’«éclatement du tuyau». Des textos ont été envoyés qui montraient que rien n’avait éclaté. Au lieu de cela, il y a eu une fuite lente, rapidement contenue qui n’a même pas donné lieu à une demande de service.
Ensuite, ils ont oublié que la State Farm Arena, où le comptage a eu lieu, est couverte de caméras de surveillance.
Mercredi, des volontaires intrépides ont obtenu les vidéos des caméras de surveillance de la salle où le comptage a eu lieu et, ce faisant, ont découvert le pot aux roses de la fraude électorale.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :