ATTENTION, CECI EST UNE VERSION AMPLIFIEE DU PREMIER TEXTE DIFFUSE HIER 17 JANVIER 2014.
Haïm Goël / Un point de vue sur Genèse 3 verset 16b : « Et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » REPRODUCTION AUTORISEE AVEC MENTION DE LA SOURCE.
Jérusalem, 18 janvier 2014
Chers amis : regardant cet après-midi une émission sur le thème « prophètes et prophéties » sur une TV chrétienne évangélique, je fus désolé de réaliser combien subjectivité et défense de « son expérience propre » faisait de façon lancinante et récurrente priorité, malgré un fond relatif, au final peu et mal exprimée, de connaissance biblique sur le sujet. Tous semblaient venir de leur horizon personnel, subjectif en bien des points pour débattre de sujets sans plate-forme biblique vraiment univoque et unificatrice, unie, EHAD, au sens le plus biblique du terme, c’est-à-dire d’une unité « organique » irréfutable, mature, divine. Par exemple de toute évidence ces personnes, serviteurs connus en milieux charismatiques et pentecôtistes, éprouvaient de réelles difficultés à ne pas confondre prophéties et paroles de connaissance ou éprouvaient de vraies difficultés à enchaîner dans leur esprit divers dons spirituels pour définir telle ou telle œuvre du Saint-Esprit, rattachant dès lors telle oeuvre de l’Esprit à tel don plutôt qu’à un autre alors qu’il aurait fallu discerner deux dons spirituels s’enchaînant. Il planait sur le débat l’ombre d’une connaissance biblique sans cesse réorientée vers une forme de subjectivité et donc de confusion au final.
En rédigeant le texte ci-dessous, en réponse à un cher pasteur canadien courageux et confronté à la violence de la montée féministe en églises évangéliques canadiennes, j’ai soudain écrit quelques mots sur le calendrier solaire des nations opposé au calendrier soli-lunaire (luni-solaire en fait) d’Israël et sur la possibilité mentale de l’errance et de la confusion découlant d’un calendrier solaire seul (donc qui exclut la lune). Une façon de se mouvoir mentalement dans l’espace et le temps de manière étrange et handicapée. Et j’ai songé alors à ce verset disant : « Ainsi parle l’Eternel des armées : En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un Juif par le pan de son vêtement et diront : Nous irons avec vous, car nous avons appris que D.ieu est avec vous. » Et le temps est là pour l’application de ce verset. Beaucoup le ressentent et le vivent parmi les nations en nos jours si spéciaux… Bien entendu, on songera aussi au fameux verset déclarant que « le salut vient des Juifs ». Et pour conforter les coeurs craintifs face à la réforme de ce temps qui remet Israël face à l’Eglise et son histoire, son identité défaillante, j’ajouterai vite que je ne prête pas nécessairement foi à tout ce qui provient d’Israël, car le vieux pharisaïsme, qui fit d’ailleurs bien des petits en institutions chrétiennes au cours de l’Histoire avec un grand H, existe toujours. J’espère que ce propos émanant d’un israélien pourra rassurer ceux qui doivent l’être.
Bien, avançons.
Soleil et lune dans le calendrier et le mental juif sont éminemment complémentaires et ce qui est vrai, là, l’est aussi pour l’homme et la femme. La confusion latente et frustrante que l’on rencontre partout en Occident chrétien qui étudie et commente la Bible trouve déjà là une première piste de réponse à ses affres parmi bien d’autres du domaine.
Et dans le droit fil de la philosophie de ce site, en obéissance à D.ieu, le retour aux racines juives est une prophylaxie intellectuelle, morale et spirituelle que nous encourageons peu à peu, comme D.ieu nous commande de le faire : étape par étape.
Meilleur Shalom,
Haïm Goël
Voici donc le verset biblique sur lequel mon correspondant canadien me demande de m’exprimer, alors qu’il rédige un livre face à la montée du féminisme agressif en églises au Canada:
Genèse 3 verset 16b : « …Et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. »
Cher frère,
Tu me demandes mon avis sur ce passage de Genèse 3 verset 16b.
Passant par des temps intenses, productifs mais difficiles, je n’ai pas voulu te répondre à la légère. J’ai donc pris un peu de temps.
Commentaire : Il est évident qu’avec une lecture juive (ou chrétienne approfondie et vraiment vivifiée par le Saint-Esprit), il y a là bien des niveaux de lecture à laisser venir en lumière dans cette Ecriture. Et cela d’autant plus que ce verset est un carrefour de destinée dans l’histoire des relations hommes et femmes, mais aussi de la relation critique de D.ieu avec une création bafouée dans ses principes lors de la chute.
Sur une conviction reçue, je vais donc te donner mon niveau premier de lecture. Je ne dis pas qu’il est le moins profond puisque premier. Je le pense d’une grande « violence », autorité spirituelle incontournable car nécessaire.
En fait, au moment de la chute, Eve séduite par Lucifer (c.à.d. le porteur de lumière, de LA lumière) devenu Satan adopte son état d’esprit. Car Lucifer a voulu s’emparer du trône de D.ieu alors que, créature, il lui revenait de faire ce pourquoi il avait été créé, c’est-à-dire louer, chanter, psalmodier de façon cosmique et avec des moyens inouïs, instruments, chœurs d’anges, etc. Louer D.ieu dont il bénéficiait d’une révélation glorieuse unique, au sommet, si j’ose dire, bien qu’il n’y ait pas de sommet à la gloire de D.ieu.
Sa faute fut de vouloir s’approprier cette gloire pour lui-même.
Et la ruse de Satan, Lucifer déchu, fut d’amener un maximum de monde dans « son nouveau camp » en initiant exactement un scénario parallèle pour et dans le couple créé A L’IMAGE DE D.IEU. Rappel : avant l’apparition d’Eve, elle faisait partie, EHAD (Un absolu d’unité), d’ADAM. Donc si Adam fut créé à l’image de D.ieu, c’est l’Homme et la Femme qui le furent ensemble mais Ehad (Un) dans l’homme. Ce qui inclut une relation face à face qui était celle de D.ieu avec l’homme avant la chute.
Et effectivement, comme Paul le confirme en parallèle à Genèse en Ephésiens 5 (donc rien n’a changé par rapport à l’A.T.), le rapport entre l’homme et la femme donnée par D.ieu est à concevoir comme « à l’image de D.ieu » (Christ-D.ieu et l’Eglise comme l’homme est à la femme et vice versa) pour être, comme le dit l’Ecriture hébraïque : « contre » l’homme (« face à », nous dirons « les yeux dans les yeux », « os de mes os, chair de ma chair » dira Adam). (Genèse 2 : 18 : kenegdo, en hébreu, ne signifie pas « semblable à lui » comme c’est si souvent mal traduit en français, mais « contre lui »), face à l’autre, et non à côté de lui et donc semblable vague réplique. Immense différence à considérer avec attention (peu réalisent ce que signifie vraiment « face », « contre » et non « à côté », réplique de « moi » dans le couple).
En monde juif religieux la femme est le plus souvent vécue en « face à » et non… « à côté », « réplique », « en regardant ensemble devant », …et « allons-y marchons, agissons, etc. ». Le couple biblique est d’abord un champ clos où l’on se regarde face à face en profondeur avant toute action et non une équipe moderniste où l’on va en agissant dans un égalitarisme aussi superficiel que « moderniste ». Alors qu’en monde goy et chrétien la majorité des couples vivent mentalement à côté l’un de l’autre et au mieux ( même cela est de plus en plus rare) regardent devant vers un avenir « idéal ». Vieil héritage entretenu par le catholicisme où le couple de type « face à face » est confisqué (par exemple par culpabilisation de la sexualité durant des siècles en milieu catholique. Sexualité interdite ou subtilement prohibée comme lieu intime du face à face) et où l’homme et la femme se retrouvent côte à côte avec seulement l’institution religieuse ou païenne comme partenaire face à face, « kenegdo ». UN MENSONGE ABSOLU ET REDOUTABLE qui détourne le couple brisé dans son face à face « kenegdo », base de relation harmonieuse, vraie, complète, identifiée, vers la situation initiale de la chute d’être en face de Satan « hypnotique ». C’est à découvrir car mentalement cela est d’autant plus puissant en termes d’effets que c’est subtil.
Je reviens à la ruse de Satan : il lui fallait, mais subtilement, amener une brisure dans le relationnel face à face « kenegdo » suffisant et univoque, homme et femme, en amenant aussi une rébellion, très subtilement initiée, en parlant face à face en « kenegdo » usurpé non avec Adam mais avec Eve. Avec Eve sur ce que D.ieu avait « vraiment dit » (donc en parlant d’un univers principiel confié à Adam avant même la naissance d’Eve et dont Eve n’avait les clés que sous forme de reflet comme la lune reflète le soleil). La faute tragique d’Eve fut sa présomption de femme séduite, « isolée », EN REPONDANT A LA PLACE D’ADAM, FONDAMENTALEMENT ET LOGIQUEMENT MIEUX ARME POUR EN PARLER. DONT LE DEVOIR ETAIT D’EN PARLER (ce qui, je m’empresse de le dire, ne fait pas de la femme une espèce d’être inférieur car toute sa richesse est ailleurs, j’en parle dans mes livres et en parlerai plus abondamment dans le futur. Mon épouse en parle aussi dans ses ouvrages).
La suite, on l’a connaît, et Adam adopta un profil lâche et démissionnaire. Profil qu’il dut même à mon avis adopter dans le même temps que celle qui était son face à face se détournait de lui pour faire face au serpent.
C’est le schéma auquel viennent toujours les hommes et les femmes non restaurés en tant qu’hommes ou femmes complets, en « face à face ». Ils trouveront toujours un représentant de « D.ieu » vrai ou non auquel il donneront comme dans le catholicisme un statut de face à face « kenegdo »qu’ils ne vivent pas dans le couple. Ils chercheront à vivre une admiration fascinée pour un ministère, par exemple. Tant qu’ils trouveront sur leur route des bergers humbles, le danger sera écarté, mais s’ils trouvent un faux berger, vrai loup…
C’est le phénomène de la mise en statut du gourou qui émerge ici. Gourou qui existe parfois parce que le gourou le recherche (ceux-là sont les pires). Mais d’autres gourous le sont souvent malgré eux. En effet, les hommes et femmes qui ne vivent pas bibliquement face à face mais regardent « l’avenir » – et parfois avec les atours d’un idéalisme aussi béat qu’inutile – l’un à côté de l’autre, n’accomplissant jamais leur véritable destinée de couple, chercheront (habités en creux, de solitude, de désert, de frustrations diverses inavouées, car incompréhensibles par eux-mêmes le plus souvent) une forme d’absolutisme et fanatisme spirituel compensatoire : il s’agit de quelque chose de l’ordre de ce que je ne trouve pas « en face » et que je cherche désespérément un peu partout sans savoir que cela m’est disponible pourtant, là, tout près de moi, soit homme, soit femme. Je connais des centaines et des centaines de chrétiens de cette sorte et là débute souvent le monde de toutes les confusions, les excès, les désordres et au final, la stérilité, la défaite dans les vacarmes loin du repos en Yeshoua.
Excès, qu’ils soient charismatiques, dénominationnels farouches, sectaires ou autres, et couples qui ne se connaissent pas en face à face fécond et pacifique, dans une osmose mystérieuse autant que dynamique et féconde ( je parle spirituellement), vont souvent de pair.
En reparlant de sexualité confisquée, ce que j’évoquais plus haut en milieu traditionnel catholique où l’Eglise préconisait l’abstinence sexuelle en jetant sur la sexualité un voile d’impureté, tout en encourageant les grandes familles (de quoi devenir schizophrène), as-tu remarqué combien dans les sectes les gourous confisquent la sexualité des couples en multipliant pour eux seuls les partenaires ? On trouve cela en milieu d’églises aussi. Un chrétien du Nord de l’Europe m’avoua que les deux premières églises auxquelles il adhéra après que, jeune drogué, il accepta le Seigneur, étaient dirigées (oh, l’expression non biblique!) par des pasteurs entretenant des relations sexuelles avec plusieurs femmes de leur assemblée. En fait, l’apparition de cette confiscation de la sexualité du couple est venue dans l’Eglise catholique et aujourd’hui en certains lieux protestants et évangéliques, du fait de Constantin, adorateur du soleil et faux chrétien. Le soleil adoré, culte symbolisé par l’obélisque, image d’un phallus, ignorée par beaucoup. Cela nous renvoie sans difficulté à Nimrod fondateur de Babylone , à Caïn et à Satan lors de la chute lorsqu’il détourna Eve de son rapport face à face avec Adam et les deux de leur face à face avec D.ieu, leur créateur.
Retour sur : « …Et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. »
En réalité ceci est un acte disciplinaire d’une formidable autorité de la part de D.ieu car à ce stade de la chute le problème de D.ieu était surtout de freiner l’éloignement, une évolution catastrophique hors de ses principes (et ceci recouvre un univers de mécanismes dans la création et même d’ordre cosmique qui vont bien au-delà de l’homme et de la femme). C’était la création entière qui était en jeu lorsque la couronne de la création, l’humain, était devenu falsifiée.
Les désirs de la femme qui se portent vers l’homme c’est aussi l’annonce de la procréation et donc d’une humanité qui risque de perpétuer, en ADN spirituel déchu, l’expérience tragique des parents (boulevard d’influence pour Satan). Et c’est ce que D.ieu voulait, veut toujours, freiner tout au long de l’histoire humaine, stopper. Ce fut vaincu à Golgotha mais Satan n’a pas désarmé et on pouvait s’attendre qu’à quelques secondes (à l’échelle de D.ieu) du retour triomphant du Mashia’h Yeshoua il redouble d’efforts avec ses plus vieilles stratégies. Il est clair d’ailleurs, lorsqu’on lit attentivement la suite en Genèse 4 : 25 à Genèse 5 : 3, que cette louable discipline de D.ieu va faire réfléchir Adam et Eve et permettre la restauration de certains principes divins après repentance. Avec en-tête le don de donner identité, père en tête. Principes divins qui permettront à la race d’Abel, restaurée en Seth, de prendre son essor jusqu’au Messie Yeshoua.
Question: qu’en est-il en nos jours de la disposition à accepter la louable correction protectrice de D.ieu?
Donc, D.ieu discipline Eve avec une relation nouvelle plus sévère à l’homme, relation de soumission (l’homme dominera sur toi) et d’humilité dans le souvenir cuisant (nécessaire) de sa faute. Et tout autant, D.ieu discipline l’homme en l’obligeant de façon humiliante (nécessaire) à considérer cette lâcheté paresseuse et à reprendre sa place abandonnée au moment de la chute tout en le forçant à rappeler à Eve et devant D.ieu sa (ses) responsabilité(s) fondamentale(s). Là, nous sommes loin du dialogue confiant qui devait exister dans « l’innocence » entre l’homme et la femme AVANT la chute.
Ma conviction d’homme marié et que mon épouse partage et vit depuis toujours (oui, je suis un homme béni de ce point de vue) est qu’une femme doit vivre fondamentalement cette position consécutive à la chute avec humilité si elle veut donner à sa vie la moindre chance de réussite (position d’ailleurs rappelée en Ephésiens 5). Et pour ceux qui veulent comprendre, on a ici le départ pour une compréhension intelligente des choses. Je le sais, ce chemin-là est quotidiennement contesté par des milliers de femmes chrétiennes (et d’hommes efféminés au sens biblique du terme) en nos jours.
Mon frère, tu peux bien entendu à partir de là concevoir aisément et sur base des Ecritures la question du voile et du ministère féminin comme des barrières de protection. Si je retourne à cette comparaison déjà donnée, à savoir que la femme est comme le reflet lunaire du soleil dans le domaine des principes, il m’est aisé de t’affirmer que fatalement toute femme finira toujours à l’un ou l’autre moment par gérer des choses du domaine des principes (l’enseignement par exemple) en le gérant avec des sentiments, ce qui est toujours catastrophique.
J’en ai gardé un souvenir très pénible et qui me coûta très cher lorsque je fus invité comme apôtre à secourir une assemblée qui avait été plantée de façon toute sentimentale par une « évangéliste » à l’américaine dans le sud de la France. Tout y était « amour-amour, amour-amor (à mort) et complaisance à tous les étages » et l’Achab de « pasteur » me remit son assemblée (avec l’accord et à la demande de celle-ci) pour la sauver, découragé par le témoignage problématique de sa femme établie pasteur elle aussi par l’évangéliste (l’épouse fugueuse était éminemment troublée, et de façon occulte, en ses pensées sexuelles. Un hasard?). Cette demande de secourir son assemblée en perdition, il me la fit pourtant ensuite payer très cher au travers d’une effroyable campagne de calomnie car son « joujou d’amour », ludique avant tout, lui avait échappé.
CECI POSE, LA LUNE CE N’EST PAS RIEN PUISQUE, DE FACON BIEN MYSTERIEUSE, lorsque le soleil n’éclaire pas, la lune le reflète et donc MAGNIFIE la lumière solaire. Parlant lune et soleil ou soleil et lune, il est remarquable qu’en monde juif on considère le calendrier, le défilement des jours, à partir d’un calendrier soli-lunaire et non uniquement solaire comme partout ailleurs dans le monde païen (en général). Crois-tu que cela soit un hasard ? Belle piste de réflexion ! Mon épouse et moi vivons une formidable « lune de miel » (et le miel, c’est solaire, donc nous vivons une « lune dans le miel, une lune dans le soleil », une magnification de notre couple… depuis que nous vivons en Israël et que peu à peu se renouvellent bien des choses en nous au contact plein du monde exclusivement juif).
Plus fort et très fort même, et je te laisse l’explorer : le pourquoi des solennités bibliques autour des nouvelles lunes en Israël ? Il y a là, entre autres, la piste d’un parcours achevé dans la compréhension de la destinée féminine parfaitement accomplie selon le désir divin. Tout un parcours pour un livre entier.
Il y a là un puits de science à explorer pour la femme (et l’homme) intelligente mais elle n’y aura jamais accès tant qu’elle se veut soleil alors qu’elle est lune. Je me fais comprendre ? Ma conviction est aussi que l’homme doit honnêtement assumer sa position de responsable car fait pour défendre dans le couple, la famille, la société, l’univers des principes de D.ieu, s’il veut donner à sa vie la moindre allure de sens et de vraie réussite élémentaire, basique. Rien « d’extraordinaire » en somme mais un ordinaire extra. Si le soleil dort, la terre meurt et la lune devient folle !
Il est un fait aujourd’hui, et ce phénomène galope, que les hommes disparaissent littéralement de la scène et que les femmes l’envahissent en maints lieux. Ce phénomène ira croissant car c’est une très ancienne guerre satanique qui doit aller au comble de l’iniquité, contre l’humanité et D.ieu en personne. Non, mon constat n’est pas fataliste mais ma finale est que plus que jamais chacun doit choisir son camp dans une société toujours plus entièrement et subtilement bâtie pour le contraire de ce qui est biblique. Sors de Babylone mon peuple, le soleil n’y est pas, la lune en folie y règne et Jézabel et certaines féministes de plus en plus agressives aussi : ténèbres assurées et puis ténèbres éternelles. Voir aussi la fin terrible de la Jézabel épouse d’un roi Achab super « roi fainéant » avec le cortège des vices et convoitises qui accompagnent toujours dans ces cas-là, en relation proportionnelle à la déchéance ACCEPTEE et donc coupable.
Pour aller un peu plus profond et ailleurs concernant « kenegdo » je te recommande l’article que j’ai rédigé sur notre site dans la rubrique DOCTRINE et qui s’intitule : Téshouva signifie repentance, retour… et quoi de plus profond encore
Voilà, j’espère que ceci t’apportera quelque chose.
Shalom,
Haïm Goël