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Second mandat de Trump : Mike Pence et les Républicains du Congrès vont devoir accorder leurs violons

By 1 janvier 2021Le mot du jour
PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 1 JANVIER 2021

Le Sénateur du Missouri, Josh Hawley a déclaré qu’il allait contester le décompte des votes en faveur de Biden du Collège électoral. La liste des législateurs républicains qui prévoient de s’opposer au décompte des voix du Collège électoral ne cesse de s’allonger avec le Représentant Jeff Duncan qui a accepté de contester le vote aux côtés de Mo Brooks, et les nouvellement élus Barry Moore Représentant de l’Alabama et Marjorie Taylor Greene, Représentante de la Géorgie.

Pendant ce temps, l’échéance du 5 janvier (second tour sénatorial en Géorgie) demeure importante car le GOP a besoin de conserver le contrôle du Sénat afin d’empêcher les Démocrates de bloquer les décisions du Président Trump ou de favoriser le programme gauchiste du tandem Biden/Harris qui démolirait tout ce que le Président Trump a réalisé.

Par la suite, quel que soit le résultat en Géorgie, Mike Pence et les Républicains des deux Chambres vont devoir ajuster leurs violons.

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La question des objections

Le 6 janvier aura lieu la séance conjointe des deux Chambres du Congrès, lors de laquelle le Vice-président Pence devra ouvrir les certificats des États par ordre alphabétique et procédera au comptage des votes des Grands électeurs.

Le 16 décembre, Mitch McConnell a demandé aux Républicains de ne pas s’opposer à la certification des électeurs le 6 janvier.

Il se pourrait que ses raisons de demander cela ne soient pas si mal avisées qu’on pourrait le croire.

En effet, si au moins un Représentant appuyé par au moins un sénateur fait objection à une certification d’un État donné, les deux Chambres devront séparément en discuter et voter afin d’accepter ou de rejeter la certification.

Ce vote est à majorité simple. Étant donné que les Démocrates sont majoritaires dans la Chambre des Représentants, ils pourront aisément battre toutes les objections des Républicains. Au Sénat, les objections pourraient être retenues, mais sans l’accord de la Chambre des Représentants, c’est le certificat authentifié par le gouverneur de l’État en question qui serait retenu. Ce qui favoriserait Joe Biden.

L’application du 12e Amendement

C’est seulement dans le cas où « un nombre suffisant de votes électoraux sont éliminés pour empêcher l’un ou l’autre des candidats d’obtenir la majorité que s’appliquerait, la disposition du 12e amendement relative aux « élections contingentes », laissant à la Chambre des Représentants le soin de choisir le président (…) Chaque délégation d’État obtiendrait une voix, et comme les Républicains contrôlent 26 des 50 délégations d’État, un tel scénario entraînerait probablement la réélection de M. Trump. »*

Conclusion

Il y a plus simple que de laisser la décision entre les mains de la Chambre des Représentants: permettre au VP Mike Pence de refuser de compter les listes des États où la fraude électorale est évidente.

Selon Edward Davis, collaborateur d‘American Thinker (30 décembre) :

« Il lui suffit d’interpréter les « votes » comme des votes d’États non contestés, et de les compter en conséquence.

Mike Pence pourrait déclarer :

« Je ne compterai pas les électeurs de Biden, ou les listes concurrentes des électeurs de Trump, dans les États contestés où il y a des preuves crédibles de fraude systémique ». Ainsi, il rendrait sa victoire électorale au Président Trump, à qui elle a été audacieusement volée.

M. Pence devrait refuser de compter les votes des États contestés, et oser quelqu’un pour le poursuivre en justice. Alors la Cour Suprême des États-Unis (SCOTUS) peut simplement inscrire cela au registre pour le 21 janvier 2021. Si la SCOTUS ne peut pas empêcher les États de voler les élections, elle n’a pas non plus le pouvoir d’empêcher le VP Mike Pence de compter les votes comme il le souhaite.

Le Vice-président est confronté à une décision « difficile » qui n’est pas vraiment difficile : Va-t-il refuser de certifier des listes électorales produites par ce que le monde entier sait être une tricherie systémique ? Refusera-t-il de légitimer un coup d’État traître, et donc de sauver à lui seul la République et de changer le cours de l’histoire ? »

Donc les Républicains vont devoir s’entendre sur qui va faire quoi sinon la situation pourrait se révéler chaotique et mal finir pour Donald Trump !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Sources :

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