(Ce passage s’est révélé prophétique pour un membre dans l’œuvre dans les semaines suivantes).
Je continue avec ma vision. Et, soudain, j’ai vu le visage de cet homme assis sur un trône, sur une petite estrade. C’est une image du diable bien sûr, c’est une image de l’Antichrist qui vient, c’est sûr. C’est une image de tous les antichrists qui sont déjà venus sur la terre. Il y en a eu tant des faux messies, Hitler, etc. Et puis j’ai vu que cet homme commençait à organiser un contrôle terrible de toute l’humanité ; et je me suis vu, bien que je refuse cela pour ma part au nom de Jésus, et j’ai vu tous les hommes qui commençaient à être revêtus d’espèces de pièces de métal qui couvraient les bras, et puis les avant-bras, et puis d’autres pièces qui couvraient le thorax, et puis les jambes, et puis le cerveau. Et toutes ces pièces étaient équipées de moyens électroniques absolument phénoménaux. Et le but était le suivant : contrôler jusqu’à vos pensées ! C’est-à-dire que ces appareils détectaient le moindre sentiment, la moindre impulsion de l’âme, la moindre pensée qui ne serait pas la pensée qui convient à cet homme assis sur le trône.
Mes amis, nous sommes confinés ; c’est sûr qu’il le faut ; c’est bien, mais on peut se poser déjà la question maintenant : quand est-ce que ce confinement va cesser ? Et est-ce qu’il va cesser ? Est-ce qu’il ne va pas déboucher sur autre chose ?
Je ne suis pas conspirationniste, mais je ne suis pas idiot non plus, et je me pose des questions. Quand je vois dans les rues de presque toutes les nations européennes (et c’est curieux que tout cela apparaisse partout en même temps chaque fois, vous avez remarqué ?) le confinement apparaître, et en même temps des drones qui circulent dans les rues, avec des caméras et des voix qui se mettent au-dessus des gens : ¾ Rentrez dans vos maisons, etc., je me dis que nous ne sommes pas loin du livre de George Orwell : 1984, avec le contrôle de tout.
Alors, qu’est-ce qu’on est en train, pendant que nous sommes isolés – je ne veux pas soupçonner le mal – mais qu’est-ce qu’on est en train de tirer comme leçons de tout ceci, de toute cette situation de confinement à laquelle tout le monde est obligé de se soumettre ? Qu’est-ce qu’on n’est pas en train de retirer comme leçons pour, peut-être, nous « proposer », quand ce confinement cessera, un confinement bien pire que celui-là, où nous serons tout simplement connectés par toutes sortes de méthodes à un cerveau central qui décidera ce que nous devons penser, croire, etc., ou bien nous serons détruits ?
Je vous laisse avec cette pensée, mais aussi avec cette vision. Je crois que c’est quelque chose qui vient, et je ne veux pas vous faire peur du tout ; si vous êtes innocents, il y a quelque chose qu’aucune machine, même la plus sophistiquée au monde, ne pourra toucher, ne pourra détecter, c’est votre cœur d’enfant, parce que ça D.ieu le protègera. Mais si vous n’avez pas ce cœur d’enfant, vous passerez automatiquement dans la catégorie de ceux qui vont être soumis à l’Antichrist. »
La crainte de D.ieu qui a disparu par pans entiers dans l’Église infantilisée des temps de la fin nous permettra-t-elle de connaître le but réel, final de D.ieu dans cette affaire du Covid-19 et surtout d’en accepter dans l’humilité la plus complète des leçons à tirer ?
La plupart de nos lieux de culte fermés, des salles immenses et moins grandes désormais vides, n’est-ce pas un discours fort et sonore (le bruit étrange du silence là où durant tant d’années cela bruissait de tant de sons supposés être adoration et prière adressées au D.ieu vivant) ? Car, déjà, la pratique de leur foi chez tant de chrétiens confinés débouche sur un réveil au travers de mille contacts de parents, amis, jusque-là insouciants et aujourd’hui passant subitement des nuits entières à lire une bible, comme un des nombreux témoignages de “réveil” m’est donné en ce moment par nos membres confinés.
Le réveil tant prêché par apôtres et pasteurs, annoncé par tant de prophètes, recherché par des œuvres libres d’agir avec leurs moyens religieux hier et avec si peu de réveil, regardons les choses en face, ce réveil est en train de se vivre là sous nos yeux et au travers de ce jugement de D.ieu accompli sur nos plateformes et œuvres ambitieuses fermées.
Qui aurait imaginé que D.ieu ne voudrait pas d’un réveil qui n’aurait comme conséquence que d’agrandir nos églises d’hommes, que D.ieu mettrait nos assemblées et leurs moyens “au chômage” pour prendre ce réveil, le susciter LUI, au travers de nous tous, isolés, privés d’assemblée, confinés pour devenir disponibles pour les perdus que nous rêvions il y a peu encore d’amener dans “nos églises” et non aux pieds du Seigneur ?
Et D.ieu nous renvoie la balle en nous disant :
« Bien plus pour vous, ces œuvres ambitieuses, que pour Moi ! Alors laissez-Moi reprendre la main et Je la reprends ! Que pourriez-vous contre cela ? Rien, sinon vous asseoir enfin, du fait de vos confinements, en Me laissant agir désormais. »
Combien de temps cela durera-t-il ?
Le temps qu’il faudra afin que ce que Je dois sonder dans vos cœurs soit COMPLÈTEMENT sondé et curé, A FOND, avec tout ce que cela implique comme abandons même douloureux d’outils, moyens techniques, pratiques de ministère mondaines (le marketing, la justice de clan et non la Justice de D.ieu en soumission scrupuleuse aux Écritures, le statut de vos “leaders”, visions, etc. Tant de choses qui flattent subtilement et parfois grossièrement vos egos et entretiennent l’infantilisme de vos troupeaux !).
L’Esprit saint ne peut plus tolérer que l’on nomme un homme de D.ieu GENERAL parmi ses frères, ni que l’on nomme un outil, aussi fameux soit-il pour le regard humain, un PHARE pour l’Église.
Yeshoua, Christ, est le seul général ; et bien plus encore. Et Christ Seul est un phare.
Remontons dans le temps avec cette prophétie significative et solennelle donnée le 20 août 2015 lors du camp d’été de l’œuvre au Refuge :
Les premiers mots de la prophétie donnée à voix très grave et basse, comme dans un souffle n’ont pas, malheureusement, été enregistrés du fait d’une défaillance technique.
…/… jugement, Ma colère. Et si Je trouve des ronces et des épines chez vous, Je viendrai pour les détruire. Soyez saints comme Je suis Saint, dit le Seigneur. Ma présence est dans la nuée, une nuée sombre, une nuée qui fait que d’un bout de l’horizon à l’autre Je vais, Je roule comme un tonnerre, comme une force. Je me suis approché de la terre et Je vais la juger. Plaidez votre cause, plaidez votre cause à Mes yeux, plaidez-la tant qu’il est temps, plaidez votre cause.
Appelez Mon secours, criez à Moi, Je suis tout-puissant et Je peux encore vous aider. Mais le temps vient où il n’y aura pas de place, si ce n’est pour Ma colère qui vient sur le monde, dit le Seigneur. Et tant qu’il est temps, plaidez votre cause et soyez saints comme Je suis Saint.
Le temps vient où Ma patience n’aura plus de place, et Je viens pour juger ce monde ; et cette angoisse que certains ressentent vient de Moi. C’est l’angoisse de voir venir un temps inéluctable où ce qui est en route ne sera jamais arrêté, parce que le comble est en train d’être mis, le comble, et Je ne peux pas le tolérer au-delà d’un certain point.
Soyez saints comme je suis Saint ; plaidez votre cause tant qu’il en est temps. Questionnez-Moi, questionnez-Moi, et là où vous êtes faibles ou vous êtes pécheurs, plaidez votre cause, car j’ai envoyé Mon cher Fils Yeshoua, voici déjà bientôt deux mille ans afin qu’Il soit votre avocat devant Ma face, mais si vous ne voulez pas profiter de cette immense possibilité, si vous ne pouvez avouer et crier vers Moi pour obtenir le secours, alors vous resterez avec vos fautes et vous subirez Ma colère. Ce n’est pas le monde seul qui va subir Ma colère, c’est Israël et c’est Mon peuple ; l’Église aussi va subir Ma colère. Ma colère n’épargnera rien, ni personne. Plaidez votre cause tant qu’il est temps, plaidez votre cause tant qu’il est temps !
Ce camp (camp d’été de l’œuvre rassemblant frères et sœurs) est le dernier camp avant que Ma colère ne vienne. Plaidez votre cause tant qu’il est temps, soyez sages, soyez sages, Mes enfants, dit le Seigneur. Soyez avisés, ne soyez pas légers, ne soyez pas superficiels, n’allez pas vers les choses parce qu’elles vous plaisent, mais parce qu’elles vous coûtent. Le temps vient où celui qui ne fera pas Ma volonté lorsque cela coûte ne jouira pas de Ma protection, ne jouira pas de Mes bienfaits.
Comme tu M’as ignoré, Je t’ignorerai. Comme tu as contourné Ma Personne lorsqu’Elle se présentait à toi avec des exigences, Je te contournerai aussi ; Je ne te rejetterai pas complètement, mais Je te contournerai. Je te ferai connaître ce qu’a été ton indifférence, ta légèreté. Plaide ta cause tant qu’il est temps, dit le Seigneur.
Ne cherche plus la facilité, accepte ce que Je mets devant toi qui est parfois désagréable pour ta chair, mais c’est Moi qui le veux, c’est Mon école, dit le Seigneur ; ce n’est pas l’école que tu cherches, mais c’est Mon école. Je me suis permis de dire à Pierre : « Arrière de moi, Satan », Je ne t’ai pas encore dit cela. Pierre cherchait un raccourci facile, il cherchait la facilité. Toi aussi tu cherches la facilité, et tu le sais au fond de toi-même, et cela fait longtemps que Je t’interpelle, que Je t’appelle pour que tu me sois utile.
Tu as contourné l’obstacle, tu M’as contourné, parce que l’obstacle c’était Moi dans ta vie, dit l’Éternel, c’était Moi, le Seigneur.
Mes bien-aimés vont Me voir dans les temps difficiles, peut-être pas avec les yeux de la chair, mais ils Me verront. Mais ceux qui M’ont contourné en contournant les difficultés, en Me contournant moi, ne Me verront pas, et Je le permettrai afin que leur angoisse soit grande et qu’ils reviennent à Moi, avec cris, avec force. Alors Je reviendrai vers eux aussi. Plaide ta cause tant qu’il est temps.
Amen !
Voici encore une prophétie qui date de 2001, il y a donc 19 ans
Haïm Goël s’adressant à la communauté de Ballaigues en Suisse : A PHOTOCOPIER ET DISTRIBUER LIBREMENT AUTOUR DE VOUS ( NB : ceci est une note de l’époque).
En prière, j’ai reçu le message prophétique suivant. Voulez-vous le diffuser autour de vous en l’adressant à des responsables d’assemblées ou autres ministères ? (Ne vous arrêtez pas aux réactions.)
« J’invite, dit le Seigneur, chaque serviteur de Dieu à descendre de son piédestal là où cela est nécessaire, à délaisser les structures qui le portent quand elles n’amènent pas Mon (Mes) message(s) essentiel(s) à chacun (nourriture authentique et substantielle au corps, message du salut aux perdus).
Je demande une fois encore à chacun de Me laisser dans une entière honnêteté sonder les motivations, les cœurs ! Vous connaissez Mon message en ce qu’il a de plus essentiel. Dois-je le rappeler ? L’avez-vous oublié ?
Si vous considérez ce message et si vous Me considérez, Moi, Jésus, lorsque j’étais le Fils de l’homme sur cette terre, si vous considérez Ma manière de faire et d’être alors, vous prendrez en aversion bien des choses inutiles dans vos structures et vos agissements. Je vous ai laissé la communion des saints, autour de la Sainte Cène. Tout un message qui à lui seul résume déjà tout dans une extrême simplicité et humilité…
Aucune Unité ne peut se construire si elle ne peut se vivre là. Que vous ai-Je laissé d’autre ? Mes paroles, Ma Parole, Mes dons, Ma puissance et un ordre de mission : « Allez et faites des nations des disciples. » Communiquez Ma Parole, priez, et vous serez équipés pour tout. Il n’en faut pas plus.
J’invite chaque serviteur de Dieu, chaque chrétien, à un solennel et profond examen de conscience afin que chacun rejoigne avec humilité Mon corps là où il vit aujourd’hui en tant que corps.
Les cellules de prière en sont une expression particulière et voulue de Moi pour ce temps en France et pour ces temps de la fin. J’attire en ce moment un peuple qui M’appartient dans ce mouvement de prière. M’appartenez-vous ?
En ce qui concerne cette nouvelle stratégie pour le corps de Christ en France, n’essayez pas d’en « faire quelque chose », d’appliquer charnellement « une nouvelle recette ». Cette tendance superficielle à vouloir provoquer artificiellement ce « qui marche » ailleurs révèle de la superficialité et un fond inconscient de superstition, d’idolâtrie et de vanité. Cela a fait déjà par le passé bien des ravages parmi vous.
J’ai envoyé plusieurs fois depuis l’étranger certains de Mes plus fervents serviteurs parmi vous. Ils étaient porteurs, au-delà de leur message, de leur témoignage, d’une puissante interpellation que vous n’avez pas voulu entendre.
Il aurait fallu prendre le sac et la cendre eu égard à votre situation, mais vous avez continué à festoyer dans une insouciance orgueilleuse. Vous avez pensé qu’en « imitant » ces grands témoins de Ma grâce et de Ma puissance, « il se passerait quelque chose ». Mais avez-vous mesuré le prix payé dans leur contexte par Mes envoyés ?