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GB : Le « Daily Telegraph » alarmiste sur les facultés mentales de Joe Biden

By 15 mars 2021U.S.A

Le très sérieux quotidien britannique « Daily Telegraph » a publié un article retentissant sous la signature de Dominic Green, rédacteur en chef de la version américaine de l’hebdomadaire britannique The Spectator. Le titre de l’article est non moins tonitruant : « Le président Biden est en train de s’effondrer devant nous », ainsi que le sous-titre : « Quiconque est familier avec ce processus aura constaté des signes avant-coureurs d’une démence chez Joe Biden ».

L’article se réfère à des cas de plus en plus en nombreux d’interruptions, d’embarras, d’hésitations et d’oublis de la part du président américain lors de ses interventions. Dominic Green est très sévère avec le Parti démocrate et les médias américains : « La présidence de Joe Bident est en train de devenir un véritable théâtre de cruauté qui ne peut s’achever que d’une seule manière. Tôt ou tard, Joe Biden se trouvera sous les projecteurs. Les Démocrates, qui ont poussé en avant un leader qui ne convient pas au poste le plus élevé des Etats-Unis, et les médias qui l’ont protégé se dévoileront un jour comme ayant trahi leur responsabilité envers le peuple américain. La confiance des citoyens dans leurs institutions démocratiques s’écroulera encore davantage et nous tous ferons partie de l’humiliation publique de Joe Biden ».

La tribune publiée par Dominic Green ne lance pas des affirmations en l’air mais énumère les situations dans lesquelles le nouveau président américain semble perdu, le regard hagard et perdu, cherchant ses mots, balbutiant, se trompant lorsqu’il n’oublie pas carrément ce qu’il doit dire.

Le journaliste note également que jamais un président américain n’est resté durant cinquante jours sans accorder la moindre conférence de presse depuis son entrée en fonction, ni ne pas prononcer le discours présidentiel traditionnel au Congrès au mois de février.

Il en conclut que le staff de Joe Biden ne lui fait plus confiance pour tenir son rôle de président de la première puissance mondiale et que ce n’est plus lui qui prend les décisions finales dans la politique américaine. Au point que sa colistière, la vice-présidente Kamal Harris s’est déjà entretenue avec au moins six dirigeants étrangers, phénomène exceptionnel.

Dominic Green conclut avec ce constat : ce qui se passe aujourd’hui à la Maison-Blanche est observé avec « intérêt » dans des capitales telles que Pékin, Moscou, Pyong Yang mais aussi Téhéran…

Et le plus grave dans tout cela, est que tout le monde était au courant durant la campagne, mais la haine anti-Trump a mis ce fait sous l’éteignoir.

Photo Gili Yaari / Flash 90

 

 

 

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