7 – Comprendre notre comportement actuel :
- Il faut d’abord examiner quel était notre comportement dans l’enfance, que notre enfance ait été chrétienne ou pas.
Il faut se poser des questions :
Etions-nous rebelles ? indépendantes ? jalouses ? provocatrices ? menteuses ? hyper actives ? paresseuses ? prêtes à tout pour être aimées ? toujours prêtes à donner, mais incapables de recevoir ? fuyantes devant la correction ? lâches ? calculatrices ? craintives ? hyper sentimentales, … ? La liste peut être encore beaucoup plus longue !
Nous devons renoncer à tous ces points dans la repentance, en nous mettant simplement devant D.ieu. Il n’est pas nécessaire d’aller trouver un serviteur de D.ieu pour cela. C’est une affaire entre D.ieu et vous. Quand on prend vraiment conscience de ce que l’on a été dans le passé, on peut avoir la victoire sur ces choses ; sinon elles nous poursuivent. Bien sûr, on peut toujours chercher la responsabilité chez autrui : « mes parents étaient trop sévères, ou bien ils se disputaient toujours, etc… » Dans ma famille, la situation était dramatique à un moment donné – je ne vais pas vous raconter mon histoire ici – mais ma petite sœur n’a pas réagi comme moi, ma deuxième sœur non plus. Nous avons eu toutes les trois des réactions différentes.
Occupons-nous de nous-mêmes et voyons en quoi nous pouvons travailler sur le passé et nettoyer tout cela avec l’aide de D.ieu.
- Sachons ensuite analyser le comportement de notre mère :
Même si nous ressemblons au niveau caractère à notre père, nous reproduisons souvent le type de comportements de notre mère. C’est typique : la fille va ressembler à sa mère dans son comportement, et le garçon à son père. On peut aussi penser à sa grand-mère, parce que parfois cela saute une génération. Là aussi, il faut renoncer, dans une prise de conscience réelle et dans la repentance. Il faut être honnête avec D.ieu, ne pas vouloir lui cacher les choses, et ne pas se les cacher à soi-même non plus.
- Prenons ensuite conscience de la nature déchue d’Eve en nous :
Comme nous venons de parler d’indépendance, c’est bien de penser à Eve.
Ø Pensons à notre indépendance,
Ø notre rébellion,
Ø le rejet de la responsabilité de nos actes sur d’autres,
Ø le refus de voir notre péché en face,
Ø faire de la maternité une affaire personnelle où le mari n’a rien à voir (comme Eve qui lorsqu’elle a eu son premier fils l’a appelé « Caïn » qui a la même racine que « Ani caniti » = « j’ai acquis ». Elle le voulait pour elle, Adam n’avait rien à voir dans l’histoire.) Il y a là la domination de l’enfant qui est créé pour moi, donc je le domine,
Ø la soumission à l’esprit de la Reine du Ciel, ( = l’esprit de contrôle, influencé par l’esprit d’illusion),
Ø la soumission à l’esprit de Jézabel,
Ø la rupture de relation avec l’époux – comme Eve a rompu sa relation avec son époux à partir du moment où elle a accepté de discuter avec le serpent ; elle n’a pas demandé l’avis de son mari,
Ø le besoin d’un jardin secret,
Ø la tendance à céder facilement aux tentations – comme Eve qui a cédé très facilement et qui n’avait pas la protection de son mari à cause de son indépendance. Nous aussi, nous pouvons parfois agir ainsi et céder à n’importe quelle tentation, parce que nous ne restons pas sous la protection de notre mari. Je prendrai un simple exemple : je n’irais pas en ville m’acheter des vêtements sans demander son avis à mon mari. Il est concerné, et je dépends de lui, donc je vais lui demander ce qu’il en pense. C’est la moindre des choses ;
Ø mêler le spirituel et le psychique : c’est une attitude très fréquente chez les femmes, et très dangereuse. S’il n’y a pas de couverture spirituelle d’un mari ou d’un ministère, à cause de la tendance naturelle de la femme à la sentimentalité, on va tout de suite dévier dans le psychique. Le spirituel doit être régi par les lois de D.ieu.
Rappelons-nous que tout doit être soumis à la Parole de D.ieu. Si nous vivons des choses dans l’esprit, nous devons toujours nous poser la question : est-ce biblique ? Sinon, c’est qu’on dévie dans le psychique, et c’est alors la porte ouverte à toutes sortes de choses très dangereuses.
8 – Quelques exemples de femmes dans la Bible :
Les filles de Lot :
Genèse 19 v. 30 à 38 :
« Lot quitta Tsoar pour la hauteur, et se fixa sur la montagne, avec ses deux filles, car il craignait de rester à Tsoar. Il habita dans une caverne, lui et ses deux filles. L’aînée dit à la plus jeune : Notre père est vieux ; et il n’y a point d’homme dans la contrée, pour venir vers nous, selon l’usage de tous les pays. Viens, faisons boire du vin à notre père, et couchons avec lui, afin que nous conservions la race de notre père. Elles firent donc boire du vin à leur père cette nuit-là ; et l’aînée alla coucher avec son père : il ne s’aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. Le lendemain, l’aînée dit à la plus jeune : Voici, j’ai couché la nuit dernière avec mon père ; faisons-lui boire du vin encore cette nuit, et va coucher avec lui, afin que nous conservions la race de notre père. Elles firent boire du vin à leur père encore cette nuit-là ; et la cadette alla coucher avec lui : il ne s’aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. Les deux filles de Lot devinrent enceintes de leur père. L’aînée enfanta un fils, qu’elle appela du nom de Moab : c’est le père des Moabites, jusqu’à ce jour. La plus jeune enfanta aussi un fils, qu’elle appela du nom de Ben-Ami : c’est la père des Ammonites, jusqu’à ce jour. »
C’est inscrit dans notre conscience. Nous savons que nous ne devons pas agir ainsi. C’est une vision charnelle qui donne le vertige. Mais il faut à certaines femmes une descendance à tout prix. Donc, on va manipuler, par des moyens occultes, mauvais, comme faire boire son père par exemple pour avoir une descendance. C’est soi-disant pour un bon motif, mais voyez les conséquences : ils ont été des ennemis acharnés d’Israël. Faisons bien attention à toute transgression et à toute manipulation de la loi du Seigneur. Ca peut aller très vite. On en voit des exemples effrayants à notre époque : le nombre de femmes désirant des enfants à tout prix, y compris par des moyens qui défient les lois essentielles de l’éthique, augmente sans cesse (phénomène des mères porteuses, en cas de stérilité de la femme ; mères célibataires se faisant « inséminer » par éprouvettes ou par un homme de passage ; mères de soixante ans, comme récemment en Hongrie : une femme non mariée, désirant depuis toujours un enfant, et ayant « grâce » à la science pu donner le jour à une petite fille,…). Et nul ne se pose plutôt la question de savoir pourquoi il n’y a pas d’enfant, ou pourquoi il n’y a pas de mariage, ou quelle est en fait la volonté de D.ieu…
Jézabel :
1 Rois 21 v. 1 à 16 : (veuillez lire ce passage dans votre bible).
L’exemple des filles de Lot et de Jézabel ne sont pas des exemples très brillants, mais on peut en tirer des leçons.
Jézabel : la méchanceté, la transgression de l’ordre et la manipulation parce qu’elle a utilisé le nom d’Achab pour faire un décret en vue de faire tuer Naboth. Et il faut bien reconnaître que c’est là l’expression du désir à tout prix : elle veut absolument obtenir ce qu’elle veut. Elle va utiliser tous les moyens pour y arriver, y compris le meurtre.
Faisons attention, parce que cela déplaît terriblement au Seigneur, et c’est toujours criminel. Nous ne devons pas manipuler, ni avoir cette prise d’autorité pour imposer nos vues. Quand nous sommes avec notre époux ou avec d’autres personnes, n’essayons pas d’imposer nos vues par la force et par la violence. Repentons-nous devant D.ieu pour cela. Apprenons à être humbles et soumises. N’oublions pas que D.ieu fait grâce aux humbles, mais qu’il résiste aux orgueilleux. D.ieu nous accorde ce qui est bon. Si nous avons un souhait ou si nous prions pour quoi que ce soit qui nous semble justifié, D.ieu nous l’accordera ; ce n’est pas à nous à forcer les choses par la violence. C’est quelque chose de terrible, cet esprit de Jézabel qui va jusqu’à manipuler des pasteurs. La Bible nous dit bien que Jézabel peut être dans l’Eglise, on le voit dans Apocalypse 2 v. 20, et nous avons le devoir de ne pas la laisser prêcher. Il ne faut pas tolérer Jézabel dans l’Eglise. C’est un esprit meurtrier.
Dans 2 Rois 9 v. 30 (« Jéhu entra dans Jizreel. Jézabel, l’ayant appris, mit du fard à ses yeux, se para la tête, et regarda par la fenêtre. »), nous voyons le moment ou Jéhu vient pour accomplir le jugement de D.ieu sur Jézabel. Et que fait Jézabel quand elle apprend que Jéhu arrive ? Elle commence par se farder. C’est une tentative de séduction, c’est du mensonge pour essayer de détourner le jugement ou la correction. Faisons attention à cela. Acceptons tout simplement que nous avons besoin de nous repentir si nous avons péché. Ne cherchons pas à séduire notre mari si nous sommes en faute, pour détourner notre jugement. Demandons pardon à D.ieu si nous le faisons.
Mikhal :
2 Samuel 6 v. 16 :
« Comme l’arche de l’Eternel entrait dans la cité de David, Mikhal, fille de Saül, regardait par la fenêtre ; elle vit le roi David se démener et danser devant l’Eternel. Alors, elle le méprisa dans son cœur. »
Mikhal a été vexée parce que David, son mari, dansait devant l’Eternel et devant ses servantes et ses serviteurs. Elle l’a méprisé. Notre propre justice, notre orgueil, notre conception des choses, l’idée que nous avons de nous-mêmes ou de ce que notre mari ou notre pasteur devraient être, peuvent faire que nous voyons les actes de nos maris ou des autres comme inappropriés et nous les jugeons. Outre le fait que nous blessons l’autre profondément, nous n’aimons pas lorsque nous agissons ainsi. Nous brisons la relation. C’est une forme de divorce. Mais, en dehors de cela, il y a une conséquence qui est le rejet, et nous verrons que Mikhal sera stérile jusqu’à sa mort. Nous attirons le rejet et la stérilité sur notre vie lorsque nous méprisons notre conjoint pour un acte qu’il a commis et qui nous semble inapproprié, ou si nous méprisons l’autre. Tâchons de ne pas avoir ce type de comportement orgueilleux et repentons-nous si nous l’avons.
Rebecca :
Vous connaissez l’histoire de Rebecca décrite dans Genèse 24 : le serviteur d’Abraham est allé la chercher pour la ramener et être l’épouse d’Isaac, et nous voyons le splendide caractère de Rebecca. Le serviteur d’Abraham qui est un type du Saint-Esprit, envoyé, va obtenir toutes les réponses qu’il a demandées au Seigneur parce qu’il cherche une jeune fille soumise, une vraie servante de l’Eternel. C’est cela que nous devons être : des servantes. Acceptons d’être comme Rebecca. C’est un merveilleux exemple. Elle fait confiance au serviteur, elle le suit. Elle ne sait pas où elle va aller, mais elle obéit. Soyons obéissantes et soumises.
Une chose m’a émerveillée dans cette histoire : lorsqu’elle arrive avec le serviteur, Isaac est dans les champs, elle l’aperçoit de loin. Et la première chose qu’elle fait c’est de se couvrir la tête, ce qui est un signe de soumission. Elle va prendre tout de suite sa place. Nous sommes très loin de ce qui se passe dans le monde aujourd’hui ! Les jeunes filles regardent tous les garçons autour d’elles dans le but d’en séduire un ou de se faire remarquer, et les garçons ne vont pas chercher à savoir s’il s’agit de jeunes filles courageuses et obéissantes.
Anne :
Dans 1 Samuel 1, Anne pleure devant l’Eternel pour obtenir un fils, mais elle le consacre à l’Eternel ! Ce n’est pas un enfant pour elle-même, pour son bonheur personnel, qu’elle va mettre au monde, c’est un enfant pour D.ieu. Cela peut être pareil pour tout ce qu’on désire obtenir : la conversion d’un mari, d’un enfant, etc. Son attitude est à l’inverse de celle d’Eve. Eve réclame un enfant pour elle, et dit : « J’ai fait un enfant avec D.ieu ! » Tandis qu’Anne dépend de D.ieu dans l’humilité pour obtenir un fils, et elle le Lui consacre. On peut transposer : si nous voulons voir nos enfants venir au Seigneur, dépendants du Seigneur, ne cherchons pas à nous en mêler et discernons bien quelles sont nos réelles motivations : est-ce vraiment pour D.ieu que nous souhaitons la conversion de nôtres, ou pour nous-mêmes ? tendons à rejoindre le modèle parfait de la soumission à D.ieu et de la foi qui nous est proposé au travers d’Anne. Ce sera le meilleur témoignage que nous puissions avoir envers nos enfants, parce que ce que nous voulons, ce sont des enfants nés de nouveau : cela veut dire qu’on n’a plus la même vie, le même comportement ; on est investi par Christ, habité par Christ, et si nous donnons cet exemple, nos enfants auront envie de cela à un moment donné. Si on est régénéré par l’Esprit, si on est un vrai modèle, ils auront aussi envie de cela, et ils vivront par la foi. Et nous aussi, nous devons vivre par la foi, nous ne devons pas vivre selon nos propres forces, selon nos propres pensées. « Mes pensées ne sont pas vos pensées, mes voies ne sont pas vos voies » dit le Seigneur dans Esaïe 55 v. 8. Il y a aussi dans Lamentations de Jérémie 3 un verset qui dit: « Il est bon d’attendre en silence le secours de l’Eternel », donc ne forçons aucune porte, comptons sur D.ieu. Contentons-nous de prier et d’être un bon exemple pour nos enfants.
Et c’est la même chose pour un mari. On peut lire 1 Pierre 3 v 1 à 6 (« Femmes, soyez de même soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, en voyant votre manière de vivre chaste et réservée. Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant D.ieu. Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en D.ieu, soumises à leurs maris, comme Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur. C’est d’elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte. ») qui nous montre la position que la femme doit adopter en vue de la conversion de son mari. Elle ne doit pas lui taper sur la tête à coups de bible, elle ne doit pas lui faire la morale sans arrêt. C’est par son comportement, sa sobriété qu’elle doit être un modèle, et automatiquement son mari va se convertir au bout d’un temps. Mais il nous faut la foi, la patience, la confiance en D.ieu.
Un autre verset est important : 1 Timothée 5 v 2 : « Que les femmes âgées enseignent les plus jeunes. » Je ne vois pas l’intérêt pour nous les femmes de prêcher à tout prix si D.ieu ne nous demande pas de le faire ; parce qu’il a un projet, un plan, parce qu’Il veut de toute façon nous utiliser, Il le fera. Nous n’avons pas à revendiquer quoi que se soit. Mais ce que nous pouvons faire dans le cadre de l’Eglise et qui est important quand c’est dans l’unité avec l’Eglise, quand c’est désiré par les anciens, quand le Seigneur le montre, c’est en tant que femmes plus âgées d’enseigner les plus jeunes. Nous avons beaucoup à communiquer aux jeunes filles, aux jeunes femmes. C’est aussi collaborer avec nos époux dans l’éducation de nos enfants (voyons les Proverbes qui en parlent largement) ou dans le conseil spirituel et la prière à apporter aux sœurs dans l’assemblée si nous sommes dans le ministère en tant que couple, ou responsables d’un groupe de prière, ou si nous sommes épouses d’anciens, et cela toujours avec nos maris, en accord avec eux.
1 Timothée 2 v. 12 nous dit que la femme n’enseigne pas, qu’elle ne prenne pas autorité sur l’homme. Je me vois mal en tant que femme de serviteur de D.ieu commencer à faire ce que j’ai vu récemment à Jérusalem dans une réunion, dans un endroit pourtant internationalement connu et recommandé… Nous sommes tombés sur quelque chose d’épouvantable ! C’était à pleurer, mais beaucoup riaient ! Il y avait essentiellement des femmes dans l’assemblée et le couple responsable de la maison revenait d’un voyage missionnaire en Afrique. La femme du couple nous a menés dans la louange, une louange très dynamique, puis ensuite le mari était sensé faire le rapport de ce qu’ils ont vécu en Afrique. Il a voulu le faire, mais il n’a pas pu, parce qu’elle lui arrachait le micro toutes les dix secondes. A la fin, il lui tendait lui-même le micro, et les sœurs riaient et trouvaient cela très drôle. Je vous assure que cet homme était méprisable, parce qu’il n’a pas pris autorité sur sa femme. Quant à elle… Je n’avais qu’une envie, c’était de sortir. Nous n’avons rien appris, c’était seulement comme une espèce de show où on se met en valeur ; de telles personnes sont des caricatures pour moi, et je demande pardon au Seigneur que cela puisse exister dans l’Eglise, c’est vraiment terrible. Et aujourd’hui, c’est hélas fréquent.
Il existe des Débora ! Gloire à D.ieu, Il sait se saisir de femmes de foi et d’audace, prêtes à suivre le Seigneur partout et à accomplir Ses voies. Débora était juge en Israël et elle devait certainement être remplie d’humilité et de respect pour exercer une telle fonction. Mais n’oublions pas une chose, il n’utilisera de telles femmes que lorsque les hommes font défaut, lorsqu’il y a URGENCE et DANGER et que les hommes alentour ont démissionné de leurs responsabilités. Je ne vais pas revenir sur ce sujet que j’ai évoqué plus haut, mais je suis intimement persuadée que D.ieu ayant créé l’homme en premier et l’ayant rendu responsable de la création, Il l’utilisera toujours en priorité pour intervenir dans une situation d’importance.
D.ieu peut par contre utiliser des femmes en tant que prophétesses, nous en voyons des exemples dans la Bible, dans l’Ancien et le Nouveau Testament. Si nous avons cet appel confirmé et éprouvé par l’Eglise, si nous avons été ointes par les anciens pour cela, alors servons le Seigneur dans notre ministère, en restant toujours sous la couverture des apôtres et de l’Eglise. Pour notre protection et pour celle de l’Eglise.
Il utilisera également des femmes comme Lydie pour ouvrir leur maison pour des réunions de prière. Des femmes soumises également aux anciens et prêtes à obéir, conscientes du fait qu’il leur faut à tout prix être soumises à l’Esprit du Seigneur et refuser toute sorte de manipulation des personnes qu’elles reçoivent sous leur toit. Des femmes remplies de l’Esprit qui manifesteront les dons spirituels tels que la parole de connaissance ou de sagesse, toujours sous la couverture des anciens.
Et soyons des femmes de prière ! C’est quelque chose de caché aux yeux des hommes mais que D.ieu aime, oh combien ! Et comme cela est puissant !
Merci pour ce texte qui amène beaucoup à la réflexion, et je vais
le relire pour méditer sur des sujets importants concernant notre
nature profonde. Merci Élishéva.
Merci Haïm pour la pour la publication journalière de ce livre
Merci Elishéva car ce livre nous permet de voir où nous en sommes vraiment dans notre nature et permet de se mettre devant Dieu pour renoncer à cela