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QU’ELLE DEMEURE DANS LE SILENCE d’Elishéva Goël / Extrait N° 8 : « Et cela continue plus loin ainsi et de façon inouïe : « Tout comme Je suis la source de toute vie, Je t’ai rendue semblable à moi, J’ai fait de toi l’extension de ma matrice : oui Je t’ai confié le sort de l’humanité. »

By 9 mai 2021juillet 7th, 2021Elishéva Goël, LECTURE QUOTIDIENNE

Et cela continue plus loin ainsi et de façon inouïe :
« Tout comme Je suis la source de toute vie, Je t’ai rendue semblable à moi,
J’ai fait de toi l’extension de ma matrice : oui Je t’ai confié le sort de
l’humanité.
Où sommes-nous là, si ce n’est dans le concept tout proche de Marie, Reine
du Ciel et rédemptrice ? Pour ne pas dire sur-rédemptrice par rapport à
Jésus. Marie élevée en divinité (Reine du Ciel) par l’Eglise apostate de Rome.
Plus loin encore : « Oui Je t’ai faite identique à moi-même » .
Ah bon ! Rien que cela ?
Faut-il commenter ? N’est-ce pas l’homme (homme/femme d’avant la côte)
qui fut fait à l’image de D.ieu ?
Et encore : « pour que Je sois parfaitement en toi et que tu sois parfaitement
en moi et pour qu’ensemble nous ne fassions qu’un »
Une étrange copie des paroles de Jésus en Jean 17 : 21 sauf que cette
parfaite unité avec D.ieu notre Père est un attribut de Yeshoua auquel nous
tendons par le pont représenté par ce même Yeshoua entre nous, humanité
déchue, et un D.ieu parfait MAIS QUI N’EST PAS ACQUIS D’OFFICE A LA
FEMME, PAS PLUS QU’A L’HOMME D’AILLEURS, LORSQUE D.IEU LES
CREE ET QU’IL SONT CONCUS PAR L’HOMME DANS LE PECHE.
Ici l’intention blasphématoire qui idéalise, « divinise » la femme, est encore
une fois évidente. Je m’arrête là, mais la suite du livre n’est pas exempte
d’exemples similaires.
Je termine sur une courte phrase que l’on trouve en quasi fin du livre. Elle est
significative, révélatrice des sources théologiques (catholiques) de Faty
Eriollah. Elle est blasphématoire pour la personne unique de Yeshoua le
Sauveur. La voici :
« Nous savons que Jésus, le deuxième Adam a restauré l’homme et la
femme dans leur identité et leur position initiale (1 Tim 2 : 13 à 15 et Gal 3 :
26 à 28), Dieu ayant accompli la promesse qu’Il avait faite à Eve de lui
susciter une postérité qui écraserait la tête du serpent. Cette promesse s’est
accomplie via Marie qui fait figure de « deuxième Eve ». Comme toujours
l’ennemi sait habilement mélanger vérité et la pincée de levain mensonger qui
corrompt le tout. Car si j’entends bien ce que nous dit subtilement Eriollah,
Jésus a juste restauré le couple de façon à y remettre de l’ordre et Marie, sa
mère, est celle qui a au fond écrasé la tête du serpent. Une saine théologie
ne nous dit-elle pas que c’est la postérité de la femme, EN CHRIST, par
Christ, qui écrasa la tête du serpent ? Eriollah écrit cela certes, mais elle
ajoute trois mots de levain subtil car en attribuant à Marie, même au sens
figuré, le titre de deuxième Eve on l’élève au rang d’égalité avec Jésus, seul
nommé par la Bible comme deuxième Adam (1 Cor. 15 : 45 : « Le premier
homme, Adam, a été fait une âme vivante ; mais le dernier Adam est un
Esprit vivifiant. » – version Ostervald).
Si Marie est égale à Jésus, il reste juste un pas à franchir pour l’aider à
prendre la place de Reine du Ciel supérieure à Jésus. Les catholiques ont
franchi ce pas allègrement depuis des siècles et les sociétés occultes à la
base de tant de civilisations rebelles à D.ieu aussi, avec le mythe de la femme
primordiale. Voire Sémiramis et consort…
Dans sa préface, Michelle d’Astier de la Vigerie dit :
« FATY ENTEND BATTRE LE COEUR DU PERE ET IL EMANE DE CET
ECRIT UN SOUFFLE PROPHETIQUE PUISSANT. » Rien de moins ! NB :
remarquons la coïncidence du féminisme chrétien en phase d’abomination
avec la mention d’un « SOUFFLE PROPHETIQUE PUISSANT ». Il est clair
que l’émergence du féminisme chrétien et de Jézabel sont en osmose avec
l’apparition du faux prophétisme des temps de la fin. Lorsque nous lisons plus
haut : « J’ai fait de toi l’extension de ma matrice « , Nous devinons
aisément ce que cette nouvelle et ancienne à la fois matrice spirituelle va
mettre bas ! Nous ne sommes guère loin de la vision de la femme en
Apocalypse 17 v 1 à 6 (« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes
vint, et il m’adressa la parole en disant : Viens, je te montrerai le jugement de
la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que
les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité, et c’est du vin de son
impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. Et il me transporta en
esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate,
pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme
était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de
perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et
des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère :
Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.
Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de
Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement. »)
Et plus loin : « C’est une pure merveille et c’est de la dynamite. »
Le moins que l’on puisse dire, hélas, est que cette dame éditrice manque
singulièrement de discernement et qu’emportée par son âme et non l’Esprit-
Saint, et sans doute bien des blessures non digérées, elle s’égare, s’emporte
avec Faty Eriollah en territoires très dangereux pour elles mais plus encore
pour autrui.
Un fait étrange a suivi la rédaction de ces commentaires bouclés à passé
minuit hier. J’ai été visité dans mon sommeil par de bien étranges rêves
impurs où j’étais censé commettre des actes irréparables sur le plan sexuel
en présence d’une enfant de 6 ou 7 ans que je priais dans mon rêve de sortir
afin que j’assouvisse une passion infâme. Fort heureusement le Seigneur m’a
éveillé à temps et j’ai pris conscience que ce rêve ne me correspondait en
rien mais que j’avais été visité (ayant, très, très fatigué, omis de prier avant
de m’endormir, il est vrai). J’ai repris mes esprits et chassé cette horrible
chose qui m’était totalement étrangère. Il m’est apparu évident que d’avoir été
au contact d’écrits pour le moins douteux sur le plan théologique et impurs
dans leurs sources car au fond, tout au fond expression de la révolte de la
femme bien plus que plaidoyer honnête pour son statut biblique, cela m’avait
entraîné en étranges territoires de corruption.
Je crois aussi qu’au travers de ce rêve D.ieu a surtout voulu me parler sur des
arrière-plans, troubles, impurs de ces écrits… Que cela puisse choquer, j’en
conviens.
Mais cela est néanmoins fidèle à la vérité !
On peut s’étonner que trois diffuseurs évangéliques connus se portent
garants de cet ouvrage à proscrire de toute évidence. Sauf à penser, et je le
pense, que nombre d’éditeurs évangéliques sont très avancés sur le chemin
qui (re)conduit à Rome. Ils ne sont pas seuls en terre évangélique, hélas.
Faty Eriollah née en contexte catholique et « venue à Christ » est la
fondatrice de « Mission Femmes Prophétiques », mouvement qui vise, je
cite, à restaurer les femmes et à les aider à entrer dans leur destinée. C’est
donc un mouvement féministe chrétien car aucune femme ne peut entrer
dans sa destinée seule, coupée de l’homme. Nous sommes là dans le
domaine du Mythe de type « Ani Caniti » quand Eve élimina l’homme pour
établir une connexion avec la divinité sans l’homme créé par D.ieu.
La question à se poser au risque de s’attirer des foudres terribles, (je connais
et assume), est à présent :
Qui sont Faty Eriollah et Michelle d’Astier de la Vigerie qui d’ailleurs,
selon mes sources, travaillent volontiers ensemble, s’épaulant dans des
réunions de femmes ?

Join the discussion 3 Comments

  • Samuel dit :

    Cher Haïm,
    Ce que dit cette femme est vraiment malsain. C’est de la pure rébellion face à ce que D.ieu a établi. Ce n’est qu’une série de pures inventions charnelles et cela fait froid dans le dos.
    Ce que tu nous a enseigné au sujet de la juste place de l’homme et de la femme est tellement profond et juste, contrairement à cet exposé fait par cette dame.
    Je prie le Seigneur que peu de femmes soient polluées par ces écrits.

    • Haïm Goël dit :

      Oui, ce que tu dis est tellement vrai et si cet écrit est abominable, sa parution est aussi révélatrice d’une montée en force de la revendication non biblique du « ministère féminin », ce qui est vrai de l’auteur et de la femme qui recommande cet invraisemblable travail à fond tout à fait antichristique. La lumière dans les ténèbres, ou plutôt les ténèbres dans la lumière sont évidents et criards ici. Mais observe, la « houtzpa » (culot en hébreu) utilisée au travers de tels écrits aura un effet sur des chrétien(nes) avides de repères, de caractères forts, au lieu de rejeter écrits et le reste…L’authentique service du Seigneur libère, à l’inverse, les faux oints…Prions fin que D.ieu nous délivre, délivre son église.

  • Brigitte Pelletier dit :

    Propos choquants, les paroles de ce livre. Cet esprit féministe est
    de plus en plus présent chez la femme.
    Beaucoup enseignent que le verset qui parle de la femme de ne pas
    porter de vêtement d’homme et pour l’homme de ne pas porter de
    vêtement de femme est un verset qui s’adresse aux travestis.
    Moi, je peux dire que personnellement, je me sens mal à l’aise,
    maintenant, dans un pantalon et je remercie le Seigneur.
    Merci Élishéva pour nous éclairer sur ces ministères féminins.

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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