Samedi 28 mai devait être une journée de rayonnement pour la France. Le Stade de France à Saint Denis, un département proche de Paris, allait être le lieu de la finale de la coupe d’Europe des clubs champions, la coupe de l’UEFA.
Emmanuel Macron qui connait l’importance du football pour la popularité des hommes politiques s’était impliqué personnellement pour que la France récupère l’organisation de cette finale. Initialement, cet évènement sportif de dimension internationale devait être organisé en Russie. Mais en raison de la guerre en Ukraine, l’UEFA, institution organisatrice de la compétition avait choisi de boycotter Moscou au profit de Paris.
La finale de la coupe UEFA aurait dû être un lieu d’apothéose pour le football, pour la France. Paris aurait dû être un lieu de ralliement pour des dizaines de milliers de fans de football et un lieu de communion médiatique pour des dizaines de millions de téléspectateurs fans de football. Elle est devenue un fiasco politique, sociétal et organisationnel. Des dizaines de millions de téléspectateurs ont assisté, éberlués, à des violences qu’ils n’auraient jamais cru possible … dans un pays civilisé et hautement organisé.
Tout d’abord, le match qui devait opposer l’équipe de Liverpool a celle du Real Madrid a commencé avec une demi-heure de retard. Les téléspectateurs du monde entier ont pu lire que « en raison du retard des fans britanniques, le match allait être retardé ». Du quasi jamais vu. On a appris par la suite que des milliers de supporters britanniques munis de billets avaient été bloqués par la police à l’entrée du stade et n’avaient pu accéder à leurs places. Des dizaines de vidéo amateur circulant sur les réseaux sociaux ont montré ensuite que la police française avait brutalisé sans raisons les spectateurs britanniques titulaires de vrais billets qui protestaient contre les lenteurs d’accès au stade. Les mêmes vidéos ont montré que des milliers de resquilleurs sans billets ont sauté par dessus les grilles du stade pour accéder illégalement au match. Les images ont montré que ces resquilleurs étaient pour l’essentiel des dizaines de « jeunes » français issus de l’immigration et vivant à proximité du Stade de France, en Seine Saint Denis. De nombreux témoignages sur Twitter ont fait savoir que ces mêmes « jeunes » issus de l’immigration ont attaqué les supporters britanniques et les ont dépouillés de leurs téléphones portables et de leur argent. Il est aussi apparu que la police a été débordée par des violences, qu’elle ne comprenait pas ce qui se jouait et qu’elle a réprimé un peu au hasard.
Encore aujourd’hui, la situation demeure confuse. Dans un premier temps, le ministre de l’intérieur français a mis en cause les « trente à quarante mille » spectateurs britanniques sans billets, qui auraient tenté de voir le match sans payer. Puis, outre les fans britanniques, le même ministre de l’intérieur a accusé les supporters Britanniques d’être porteurs de dizaines de milliers de « faux billets » lesquels ont bloqué le bon fonctionnement des portillons automatiques du Stade de France. La réalité s’impose aujourd’hui que les « jeunes » français issus de l’immigration ont été les responsables de la fabrication des faux billets qu’ils ont tenté de vendre à des supporters britanniques sans billets. « Il y a dû avoir quelques centaines à peine de billets qui ont été fabriqués par les jeunes de cité qui les ont revendus à des Anglais » affirme dans le Figaro, Daniel Riolo, analyste du sport et éditorialiste à la télévision et à la radio.
L’opposition politique ne s’est pas gênée pour mettre en cause le ministre de l’Intérieur qui « préfère risquer un incident diplomatique avec la Grande-Bretagne plutôt qu’avec la Seine-Saint-Denis ».Dans le Figaro, le même Daniel Riolo, a mis en cause « l’organisation (…) défaillante sur plusieurs aspects » et notamment la défaillance des « stadiers ». Les stadiers sont ces personnes qui dans l’enceinte du stade, accueillent les spectateurs, les aident à trouver leur chemin et savent détecter les fraudeurs. Or, ce qu’ont montré toutes les vidéos, c’est que les « stadiers (étaient) mal formés, incompétents, recrutés une semaine avant la rencontre par l’intermédiaire de Facebook ; (…) C’étaient des jeunes des cités, qui étaient amis avec les agresseurs ». Gilbert Collard, ex-député du Rassemblement National, a mis en cause lui aussi les « voyous, la racaille des cités qui a pris d’assaut le Stade de France. Il faut être lucide ».
Daniel Riolo poursuit : « Ce qui s’est vraiment passé, c’est une histoire semblable à une attaque de diligence par des Indiens: environ 300 ou 400 «riverains» comme les a gentiment appelés Le Parisien ce matin, alors qu’il s’agissait essentiellement de bandes de cités. Ça a donné au moins 1000 voleurs, détrousseurs, bandits, qui ont agressé des familles, qui ont jeté des gens au sol, qui leur ont tout pris, laissant les gens dehors, ne pouvant assister au match. Il y a aussi beaucoup de gens qui avaient des vrais billets et qui n’ont pas pu rentrer du tout. On nous a dit qu’ils n’étaient pas arrivés à temps, etc. Mais tout cela est faux. Les supporters anglais étaient là deux ou trois heures avant, ils se sont comportés de manière remarquable ; il n’y a pas eu d’incident entre les supporters. Les Espagnols ont été moins agressés parce qu’ils étaient de l’autre côté mais ils n’ont pas été mieux traités, petit à petit les témoignages vont venir. Les gens qui ont l’habitude de fréquenter les stades, notamment les journalistes anglais, disent qu’ils n’ont jamais vu ça depuis 20 ou 30 ans: c’est un fiasco monumental. »
Martin Varsavsky, a tech entrepreneur, qui a tenté d’assister au match a tweeté : « N’allez jamais à un match de football à Paris. Terrible expérience ce soir avec des bandes de voleurs qui s’emparent des téléphones portables, des sacs, des tickets. Nous étions horrifiés et aussi nos enfants. C’était la loi de la jungle… »
Le magazine Valeurs Actuelles a récupéré les identités des personnes placées en garde à vue après les violences au Stade de France. « Pas un Anglais et pas un Espagnol mais une majorité d’Algériens (18), Tunisiens (2), et Marocains (2). “9 français dont 7 dont le nom est maghrébin ou africain” confie une source policière à @Valeurs. Les motifs d’interpellation ne sont pas neutres : « Les motifs des interpellations sont les suivants : vol avec arme, vol avec violence, recel, violences sur PDAP (personnes dépositaires de l’autorité publique), violences en réunion, dégradations, tentative d’intrusion dans le stade, vol à la roulotte” confie une source policière
Invitée du Grand Jury LCI/RTL/Le Figaro ce dimanche, Marine Le Pen a de son côté exigé une « enquête parlementaire », accusant le ministre de l’Intérieur de « mensonges » et mettant en cause « les traditionnels voyous de banlieues qui ont tenté d’entrer sans billet ».
Éric Zemmour, leader de Reconquête, estime pour sa part que «le problème n’est ni les supporters anglais, ni les policiers, le problème c’est que la Seine-Saint-Denis est devenue largement une enclave étrangère ». Il ajoute que ce sont «les racailles qui font la loi» dans ce département limitrophe de Paris où se trouve le Stade de France.
Jean Luc Mélenchon, leader du parti islamo gauchiste « La France Insoumise » a bien sur accusé la police d’être à l’origine de toutes les violences. Et le gouvernement français a, quant à lui a accusé les Anglais.
Mais le vrai désastre est que l’Europe entière est en train de prendre conscience que le Stade de France est situé dans une no-go-zone dangereuse pour toute personne qui aime le football. La presse britannique s’est littéralement déchaînée. The Sun a titré en Une sur «Stade de Farce» et Marvin Matip, le frère de Joël Matip, défenseur des Reds de Liverpool, « a raconté avoir dû se réfugier dans un restaurant avec sa femme enceinte pour échapper aux lacrymogènes dispersés dans leur direction ».
Le Daily Telegraph a publié le récit accablant de Jason Burt, le chef de la rubrique football du journal. « J’étais devant la porte Y quand j’ai été pris dans les gaz lacrymogènes utilisés sans discernement par la police anti-émeute française au Stade de France (…)Je n’arrivais pas à y croire. […] C’était absolument honteux.»
Dans un communiqué publié samedi en fin de soirée, le club de football de Liverpool s’est dit « extrêmement déçu des problèmes d’entrée dans le stade et de la rupture du périmètre de sécurité ».
Le journal espagnol El Tiempo a parlé de « chaos » et a évoqué « de nombreux jeunes supporters (qui) ont tenté de sauter les clôtures du stade pour tenter de forcer l’entrée. Cela a généré de brefs affrontements avec les forces de l’ordre. »
La France a démontré au monde entier que même avec 6800 policiers mobilisés, elle n’a pas été capable d’organiser sereinement un évènement sportif international quand cet évènement se situe en Seine Saint Denis.
El Tiempo n’a pas manqué de rappeler « que Paris doit accueillir les Jeux Olympiques en 2024 et que le Stade de France, à Saint-Denis, est l’un de ses principaux sites. »
Le journal espagnol Semana a cité Ronan Evain, directeur de Football Supporters Europe qui affirme « que cette affaire « pose des questions sur la capacité de la France à organiser de tels événements ».
El Pais s’est lui aussi inquiété du fait « que Paris doit accueillir les Jeux Olympiques en 2024 notamment au Stade de France. »
A l’occasion de la finale d’une coupe internationale de football, le monde entier a ainsi découvert que la France est aux prises avec une immigration musulmane pour partie très violente, que l’Etat est incapable (ou n’a pas la volonté) de faire respecter la loi et l’ordre et qu’il est à la merci de bandes de « jeunes » toujours prêts à en découdre. Pour la première fois le monde entier découvre ce que les Français qui vivent en France savent parfaitement à savoir que le sport est souvent le vecteur de cette violence islamique. Rappelons seulement que le 11 décembre 2021, après « les quart de finale de la « Coupe arabe »(comme dit Le Figaro) entre le Maroc et l’Algérie, 200 supporters Algériens et Marocains » ont provoqué une émeute sur les Champs Elysées à Paris. « Sur une vidéo du journaliste Clément Lanot, on peut voir plusieurs dizaines d’individus sur la chaussée, au milieu des voitures et au son des klaxons, avec des drapeaux algériens et marocains. Un supporter de l’Algérie s’assoit même sur un véhicule des militaires de l’opération Sentinelle. «Zemmour, Zemmour on t’encule. N*que ta mère», hurlent quant à eux plusieurs «supporters» ».
En 2019, quand l’Algérie s’est qualifiée au Caire (Egypte) pour la CAN (Coupe d’Afrique des Nations), es émeutes ont éclaté en France lesquelles se sont traduites par « 282 interpellations en France, 33 policiers blessés à Lyon ». Des émeutes identiques se produiront dans d’autres villes de France.
Le pouvoir politique va-t-il sortir du déni qui est le sien ? Va-t-il se confronter avec les no-go-zones, l’islamisme, l’immigration islamique violente ? Telle est la question que le monde entier pose aujourd’hui au gouvernement d’Emmanuel Macron.
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Ces immigrants ont pris d’assaut le stade, pour l’agression et le vol,.
Triste de voir des événements de la sorte.