À cinq mois des midterms du 8 novembre, les Démocrates ne savent plus quoi inventer pour affoler les Américains et promouvoir le (frauduleux) vote par correspondance qui leur a si bien réussi en 2020. Le Dr Fauci s’est donc chargé de la tâche de faire paniquer le peuple avec un nouveau virus, la variole du singe. De plus, le président Biden a récemment déclaré que la variole du singe « est quelque chose dont tout le monde devrait s’inquiéter ». Tout ça pour amener les Américains à accepter de garder leurs distances, de porter des masques, et de subir une autre saison de confinements et de vaccins obligatoires. Les Démocrates essaieront probablement de les persuader de ne pas voter en personne le 8 novembre afin d’éviter le risque de contagion…
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Matt Dean, paru sur le site d’American Thinker, le 8 juin.
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La variole du singe n’est pas le prochain coronavirus
Après que les Américains aient survécu à 30 mois de vies bouleversées par des restrictions injustes et imprévisibles en cas de pandémie, nous devrions être sceptiques lorsque la variole du singe ( le «monkeypox») est présenté de manière irresponsable comme étant le « nouveau coronavirus » par les médias et certains membres du complexe médico-industriel, dirigé par le Dr Anthony Fauci.
Dans une récente interview avec Major Garrett sur CNN, le Dr Fauci a d’abord assuré que la variole du singe était moins transmissible que le coronavirus, puis il s’est rapidement inquiété d’un virus qu’il a choisi de décrire comme étant « caractérisé par des pustules ».
Le Doc Fauci a ensuite évoqué les stocks de vaccins antivarioliques et de médicaments antiviraux pour traiter une éventuelle épidémie nationale de cette variole du singe.
Ajoutant de l’huile sur le feu, le président Biden a récemment déclaré que la variole du singe « est quelque chose dont tout le monde devrait s’inquiéter » (le 22 mai).
Le New York Times (du 26 mai) a mis en garde contre deux groupes à haut risque en ce qui concerne la variole du singe :
« L’un comprend les nourrissons de moins de six mois » et l’autre, « de nombreux adultes plus âgés, le groupe le plus susceptible de succomber au virus de la variole du singe, sont quelque peu protégés par des vaccinations antivarioliques vieilles de plusieurs décennies. »
L’auteur ajoute la troublante mise en garde du Doc Fauci : « Nous ne pouvons pas garantir qu’une personne qui a été vaccinée contre la variole sera toujours protégée contre la variole du singe ».
Un virus qui se propage, qui est mortel pour les personnes âgées et les nourrissons vulnérables, nécessitant un vaccin qui pourrait ne pas durer, ressemble beaucoup au coronavirus. Mais ce n’est pas le cas.
La variole du singe est un virus zoonotique, identifié pour la première fois en 1958. Elle est rare et extrêmement difficile à attraper, et le pronostic de guérison complète est excellent, avec un taux de mortalité de 1 % en Afrique et pratiquement nul dans les pays développés.
L’Organisation mondiale de la santé et le CDC se sont montrés rassurants au sujet de la variole du singe.
Le Dr David Heymann, ancien chef du département des urgences de l’OMS, a déclaré dans une interview accordée à l’Associated Press que la propagation était très probablement liée à des contacts étroits et intimes entre hommes lors de deux Rave Parties organisées en Espagne et en Belgique et qu’il était « peu probable que l’épidémie déclenche une transmission généralisée ».
Tous les cas recensés aux États-Unis concernent des hommes ayant voyagé à l’extérieur du pays. Le Dr Gregory Poland, de la Clinique Mayo, conclut : « La personne moyenne ne devrait avoir aucune inquiétude. »
Serait-il tellement difficile pour le Doc Fauci de dire simplement la vérité au lieu d’alimenter les peurs d’Américains terrifiés à juste titre par son charabia ?
Une modélisation horriblement imprécise a inutilement entraîné la fermeture d’hôpitaux pendant les premiers jours de la pandémie du coronavirus. À ceci, s’est ajouté l’incapacité des vaccins à empêcher les gens de l’attraper, ce qui a laissé en suspend la crédibilité du Doc Fauci au printemps 2022 avec seulement 31 % des Américains capables de dire qu’ils avaient confiance en lui.
Les politiques ratées de la pandémie ont placé les patients vulnérables à la contagion du coronavirus dans des maisons de retraite, où 200 000 Américains ont perdu la vie, tout en enfermant, vaccinant et masquant des jeunes gens en bonne santé et pratiquement immunisés.
Ces décisions ont peut-être contribué à créer une épidémie de santé mentale qui a fait 107 000 victimes par overdose rien qu’en 2021.
L’Administration actuelle ou toute autre administration future devra regagner la confiance du public avant de demander les sacrifices nécessaires pour relever le défi de la prochaine pandémie. Heureusement, ce n’est pas le cas avec la variole du singe.
M. Fauci, aujourd’hui âgé de 81 ans, a servi sous sept présidents depuis qu’il a été embauché à son poste actuel, il y a trente-huit ans. Le moment est peut-être venu de donner un nouveau souffle au poste de principal conseiller médical de la nation.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Americanthinker
Merci Haïm, espérons que cela n’ira pas plus loin dans la surenchère !
J’ai des doutes…Ma vision de l’ange noir en 2019 n’était certainement pas pour un seul coup d’essai….