Les musulmans recommencent encore une fois en humiliant « l’autre » méprisé en les forçant à s’agenouiller et à leur embrasser les pieds.
Une vidéo du 17 août 2023 en provenance de Belgique montre une foule de « jeunes migrants » entourant un garçon belge tremblant. Ils le forcent à se mettre à genoux et lui font embrasser les pieds tout en le frappant à la tête. Le message ajoute : « À Bruxelles, la capitale du pays, les musulmans représentent déjà 25 % de la population. »
Quelques jours plus tard, en Finlande, le 20 août 2023, une autre vidéo montre un autre gang musulman forçant une malheureuse Finlandaise à se mettre à genoux pour « s’excuser » auprès d’eux (pour ce qui n’est pas clair).
Ces deux incidents consécutifs ne constituent guère une aberration. Le 1er décembre 2022, deux adolescents palestiniens ont abordé, menacé et ordonné à un homme juif (Haredi) de lui baiser les pieds dans la vieille ville de Jérusalem. Ils ont filmé et posté l’ incident sur l’audio d’un rappeur arabe qui, entre autres vulgarités, emploie la célèbre insulte arabe kuss umak (« le vagin de ta maman »), qui était vraisemblablement dirigée contre le Juif en question, alors qu’il lui embrassait la main et pied d’un des musulmans.
Ce n’était pas non plus le premier incident de ce type en Terre Sainte. Selon un rapport ultérieur sur cet incident survenu fin 2022,
Le phénomène des Palestiniens se filmant en train d’agresser ou d’humilier des résidents ultra-orthodoxes a suscité l’indignation et des affrontements l’année dernière, conduisant à plusieurs arrestations. Dans une vidéo particulièrement virale, un Palestinien a été filmé en train de verser du café chaud sur un homme orthodoxe, ce qui lui a valu une peine de deux ans de prison.
Ensuite, il y a eu ce rapport de 2019 en provenance d’Australie :
Un étudiant juif de 12 ans a été forcé de s’agenouiller et d’embrasser les chaussures d’un camarade de classe musulman, tandis qu’un garçon de cinq ans aurait été traité de « cafard juif » et traqué à plusieurs reprises dans les toilettes de l’école par ses jeunes camarades de classe. … L’acte du garçon plus âgé consistant à embrasser les chaussures d’un autre élève, sous la menace d’être envahi par plusieurs autres garçons, a été filmé, photographié et partagé sur les réseaux sociaux [image ci-dessous] …. L’un des garçons qui regardaient a ensuite été suspendu pendant cinq jours pour avoir agressé un élève juif dans les vestiaires de l’école.
Certains pourraient affirmer que les « griefs » musulmans, dans les cas ci-dessus, le conflit israélo-arabe, sont la force motrice qui pousse les musulmans à tenter de dégrader et d’humilier les Juifs. En réalité, cependant, cette forme d’« obéissance » abjecte a toujours été attendue des non-musulmans – comme le montrent les exemples belges et finlandais les plus récents – et ce, simplement pour un « grief », celui d’être des non-musulmans – des infidèles .
Par exemple, dans Les Aventures de Thomas Pellow , un Anglais (mort en 1747) qui a écrit sur ses expériences d’esclave enlevé au Maroc, les références aux esclaves européens obligés d’embrasser les pieds de leur maître musulman ne sont pas rares.
Le sultan Muley Ismail – qui appliquait la charia et priait régulièrement – est allé plus loin, selon Pellow : les Européens enlevés devaient « retirer leurs chaussures, revêtir un habit particulier, ils doivent désigner un esclave, et lorsqu’ils s’approchent de lui, ils tombent ». et embrasse le sol aux pieds de son cheval. Ceux qui ne se conformaient pas à un comportement aussi abject – les « chanceux » – perdirent instantanément la tête. Les autres ont été lentement torturés d’une manière qui dépasse l’entendement.
C’est peut-être la seule « bonne nouvelle » concernant la récente vague de baisers de pieds. Aussi ignobles qu’ils puissent être, ils contribuent à souligner un fait important : peu de choses sont aussi cohérentes que le comportement musulman – en particulier celui dont on nous assure régulièrement qu’il n’a « rien à voir avec l’Islam ». Sinon, pourquoi continue-t-on à constater le même comportement « inquiétant » dans des régions très différentes à la fois dans le temps et dans l’espace, comme l’Israël, l’Australie, la Belgique et la Finlande contemporaines – et le Maroc prémoderne ?
Par ailleurs, et comme autre parallèle, Pellow et d’autres esclaves européens en Afrique étaient régulièrement et systématiquement appelés « chiens chrétiens », y compris avant d’être décapités par des cimeterres. Cette caractérisation des infidèles sous-humains comme des animaux reste d’actualité aujourd’hui, et pour la même raison. Par exemple, un autre élève juif persécuté, âgé de 5 ans, dans la même école australienne susmentionnée, a été traité de « cafard juif ».
C’est là une grande ironie : même dans les moindres détails, que ce soit en paroles ou en actes, le comportement négatif dont font preuve les musulmans aujourd’hui a une longue et inébranlable trace écrite, qui traverse les siècles et les continents. La seule différence – la seule discontinuité – entre aujourd’hui et cette époque réside dans la manière dont l’Occident réagit.
Dans tous les incidents récents, les autorités refusent d’admettre qu’un facteur idéologique – le suprémacisme islamique – ait motivé les « jeunes migrants » à forcer les « infidèles » à se mettre à genoux pour baiser les pieds des musulmans.
La déconnexion est évidente d’une autre manière, particulièrement ignoble : alors que les musulmans ont longtemps forcé les non-musulmans sous leur pouvoir à leur baiser les pieds, au sens figuré comme au sens propre, aujourd’hui l’homme qui occupe une fonction qui a parrainé pendant des siècles la résistance acharnée de l’Occident à l’ Islam – le pape catholique se prosterne avec enthousiasme devant les musulmans et embrasse littéralement les pieds des musulmans, renforçant ainsi cette relation abjecte avec les musulmans qui ne comprennent pas les actes d’humilité.
En bref, les musulmans exigeant que les petits infidèles leur baisent les pieds sont normatifs. La seule chose qui doit changer est la façon dont l’Occident réagit – en un mot, la capitulation.