Le vendredi 13 porte chance
La preuve, en 2023, six jours après l’agression du Hamas contre les civils israéliens, le conseil municipal de Nantes a attribué une subvention de 2 000 € à l’Association France Palestine Solidarité 44 (AFPS44).
Le lendemain du déclenchement du pogrom, le Bureau national de la susdite avait publié un communiqué :
« Il est d’abord important de qualifier cette opération pour ce qu’elle est : une opération militaire du faible contre le fort, en rappelant que l’armée israélienne est l’une des plus fortes et des mieux équipées du monde. Nous déplorons que des civils aient été tués des deux côtés, et mettons en garde contre l’utilisation du terme de “terroriste” qui a été utilisé de tous temps contre les mouvements de résistance (JDD).»
C’est bien connu, la résistance française décapitait des bébés en suivant le mode d’emploi fourni par son chef et distribué à chaque commando…
Malgré les mises en garde de deux élus, une LR, Laurence Garnier et un membre du groupe Démocrates et Progressistes, Erwan Huchet, la subvention a bien été votée.
« Soit c’est du cynisme, soit de la naïveté (le Figaro)», a regretté avec diplomatie Mme Garnier, avant de quitter la séance avec son groupe et celui de son collègue.
Barbarie, mode d’emploi
Des documents saisis sur le corps de plusieurs terroristes après l’attaque du Hamas ont révélé que les membres de la branche militaire de l’organisation ont reçu des instructions claires pour massacrer les civils. Dans le document, défini comme « top secret », on peut voir que les instructions sont précises et détaillées : comment infiltrer les villages, en se concentrant particulièrement sur les zones où les civils se rassemblent, et plus particulièrement sur les endroits fréquentés par les enfants, précisant qu’il est impératif de
« cibler des écoles primaires et un centre de jeunesse, afin de « tuer autant de personnes que possible », de prendre des otages et de les transférer rapidement dans la bande de Gaza. Une page portant la mention « Top Secret » décrit un plan d’attaque, indiquant que « l’unité de combat 1 » est chargée de « contenir la nouvelle école Da’at », tandis que « l’unité de combat 2 » doit « collecter des otages », « fouiller le centre de jeunesse Bnei Akiva » et « fouiller l’ancienne école Da’at » (NBCNews).
Les responsables israéliens ont déclaré que l’ensemble des documents montre que le Hamas a systématiquement recueilli des renseignements sur chaque kibboutz bordant la bande de Gaza et qu’il a élaboré des plans d’attaque spécifiques pour chacun, en ciblant intentionnellement les femmes et les enfants : au cabinet dentaire, au supermarché, au réfectoire…
« Le niveau de spécificité des informations et de la planification laisserait bouche bée n’importe quel membre des services de renseignement » a admis un responsable israélien.
Le plan de coordination des attaques prouve que non seulement le Hamas ment quand il prétend n’avoir pas tué d’enfants, mais qu’il a choisi de commencer par eux.
« J’ai vu des bébés assassinés. J’ai vu des enfants assassinés. J’ai vu des mères et des enfants assassinés ensemble »,a déclaré Yossi Landau, commandant de ZAKA, une organisation israélienne de secouristes(NBCNews). »
Lire l’article sur : https://mabatim.info/2023/10/18/hamas-barbarie-mode-demploi/#more-27187
Réponse disproportionnellement humaine
Israël a répondu qu’il ne ferait pas de quartiers. Il s’est aussitôt contredit en mettant en place une stratégie qui protègerait les civils : il a demandé au Hamas et à l’ONU d’organiser les transfert d’un million de civils du nord vers le sud de Gaza. Il a aussi lancé un appel sur les réseaux sociaux arabes et par des canaux gazaouis : tracts, radio, téléphone…
Les deux organisations ont évidemment refusé.
L’ONU, qui est constituée de plus de dictatures islamistes que de démocraties, ne veut surtout pas apparaître comme obéissant à l’ennemi sioniste. Les dictatures en question connaissent la barbarie de l’intérieur. Elles ne veulent donc pas être responsables de l’échec de cette protection des civils ni des victimes que l’assaut israélien produira.
Le Hamas est plus franc : il a besoin de ses boucliers humains et il espère de belles photos d’enfants morts pour sa propagande. C’est pourquoi il a interdit aux civils de partir et les en a empêchés tant qu’il a pu.
Quand les Israéliens ont parachuté des milliers de tracts sur Gaza, malgré l’opposition du Hamas, des milliers de civils ont réussi à échapper à leur garde-chiourmes et ont pris le chemin du sud. Pendant ce temps, les terroristes du Hamas se cachaient dans et sous les immeubles résidentiels, a expliqué le porte-parole de l’armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari, aux médias (WorldIsrael).
Petit rappel historique pour les étourdis et les Je-ne-veux-pas-savoir
En 2005, les Israéliens ont quitté la Bande de Gaza sans contrepartie. Les 8000 civils et les soldats qui les protégeaient ont été évacués. N’en déplaise aux associations pro-palestiniennes de Nantes et d’ailleurs, ces soldats n’étaient pas là pour faire la nique aux « colonisés », mais pour protéger la vie des Juifs, qui ne tenait qu’au fil de cette protection. Pour mémoire, à cette époque, comme aujourd’hui, 20 % de la population israélienne est constituée d’Arabes, qui n’ont besoin d’aucune protection contre leurs voisins.
Au départ des Juifs, la Bande est passée sous le contrôle de l’Autorité palestinienne, dirigée par Mahmoud Abbas, élu six mois plus tôt. Il est à la moitié de sa dix-neuvième année de son mandat de cinq ans. Les Juifs avaient laissé toutes leurs habitations, leurs infrastructures agricoles et leur matériel industriel et commercial qui auraient pu permettre à Gaza de devenir un Singapour arabe. Tout ce matériel et ces infrastructures ont été détruits dans les heures qui ont suivi le départ des Israéliens.
En mars 2006, le Hamas a commis un attentat à Tel Aviv : sa façon de montrer qu’il « résistait » avant tout à toute initiative de paix. Deux mois plus tard, ses « combattants » ont pénétré à l’intérieur des lignes israéliennes pour tuer plusieurs soldats et kidnapper Gilad Shalit, un appelé franco-israélien, qui a été libéré après cinq ans au secret, en échange de plus de 1000 détenus palestiniens, dont beaucoup avaient du sang juif sur les mains.
En juin 2007, le Hamas a fait un coup d’État contre son frère de l’Autorité palestinienne : les opposants ont été tués, les résistants défenestrés (the Guardian). De nombreux civils palestiniens ont fui vers Israël pour demander de l’aide aux FDI. Le blocus israélien de Gaza date de cet épisode, celui du côté égyptien également, après des attentats perpétrés contre des soldats égyptiens (Britannica).
Si la population gazaouie est resté misérable, malgré les milliards de dollars déversés par l’Union européenne, les États-Unis, le Qatar et l’Iran, il n’en va pas de même de ses dirigeants (Algeneiner) et de ses arsenaux (le Monde).
Le Hamas est le troisième plus riche mouvement terroriste après le Hezbollah et les Talibans, avec un chiffre d’affaires de 700 millions de dollars annuel(Forbes).
Il a de quoi réjouir encore les banlieues françaises et les campus américains pendant quelques semaines. LM♦