Barcelone, comme tu t’es surpassé ! Dans une démonstration d’une originalité sans précédent, un artiste a pris l’initiative de représenter de manière blasphématoire le modèle du commercialisme de la restauration rapide, Ronald McDonald, sur un crucifix du Musée d’art interdit de la ville. Et quel meilleur cadre pour ce « magnum opus » qu’un musée qui se délecte du controversé ?
Pour le monde qui déteste Dieu, cela pourrait ressembler à une simple expression artistique d’avant-garde. Mais pour ceux qui ont un œil perspicace, il s’agit d’une page directement extraite du scénario de l’histoire humaine – une manifestation flagrante de la doctrine de la dépravation totale.
Mais est-ce vraiment surprenant ? Nous vivons dans un monde où le ridicule est présenté comme profond et l’irrévérencieux salué comme ingénieux. De telles manoeuvres blasphématoires ne font que confirmer ce que l’Écriture proclame depuis longtemps à propos de la propension du cœur humain à l’égarement.
Dans ce défilé magistral de la disgrâce de l’humanité, le crucifié Ronald McDonald ne constitue pas une erreur de jugement isolée, mais un testament. Cela nous rappelle notre prédilection innée pour la rébellion, notre talent pour la distorsion et notre soif insatiable pour le mal.
Peut-être devrions-nous offrir à contrecœur un signe d’appréciation à l’esprit audacieux derrière ce « chef-d’œuvre ». Car, dans leur tentative de choquer et d’impressionner, ils ont involontairement fourni une toile qui capture parfaitement l’essence du défaut inhérent à la nature humaine.
Ainsi, tandis que le monde applaudit avec admiration devant de telles révélations « innovantes », les perspicaces les voient pour ce qu’elles sont réellement : une confirmation involontaire mais infaillible de la descente intrinsèque de l’humanité dans la folie. Bravo, monde, bravo ! Vous avez réussi à illustrer ce que les théologiens affirment depuis des lustres, le tout sous couvert d’art moderne.
Qui savait?
Je n’ai pas de mots pour exprimer combien je suis choquée à la vue de cette statue blasphématoire de Celui qui a souffert à l’extrême, en mourrant sur la croix pour le pardon de nos péchés. Pardon Seigneur pour la folie des hommes et pour le mépris qu’ils te portent en faisant de telles abominations.
C’est une abomination, comment peut-on laisser faire ça ! Après, quand vient le jugement de D.ieu, les gens disent « Si D.ieu existait… » ! Il va encore y avoir des pleurs et des grincements de dents ! Le monde court à sa perte dans sa folie, il n’y a plus aucune crainte de D.ieu !
Quelle décadence ! Cette descente intrinsèque de l’humanité dans la folie est aussi sa descente vers l’enfer. Prions que les évènements actuels, et plus encore ceux à venir, fassent prendre conscience à cette humanité si dépravée qu’il est temps de se tourner vers la seule issue possible, celle du salut offert par Yeshoua à la croix. L’ennemi a aveuglé le monde, mais aussi les chrétiens qui le sont de plus en plus de nom mais pas de cœur. Quelle tristesse devant le constat de ce gouffre abyssal entre la parole de D.ieu et la réalité de la chrétienté. Si nous n’avons pas à cœur le sort d’Israël, alors nous ne sommes pas chrétiens… Merci Haïm de nous partager ces infos malgré ce que vous vivez en Israël. Sois béni.