Chaque fois que je crois avoir assisté au paroxysme du sacrilège, je suis confronté à une nouvelle abomination qui me brûle l’âme. En tant que personne rachetée par le sang du Christ, continuellement sanctifiée malgré mon propre péché, l’ampleur de la haine de l’humanité envers notre Créateur dépasse l’entendement. Pourtant, cette haine pour Dieu n’est pas une anomalie, c’est une normalité tragique, enracinée dans notre nature pécheresse depuis la naissance, se manifestant d’innombrables façons parmi les non régénérés.
Cependant, il existe une forme de blasphème si odieuse, si absolument répugnante, qu’elle constitue un témoignage brutal d’une vérité profonde déclarée dans Romains 1 : leur haine envers Dieu est si profonde qu’Il les a abandonnés à leurs désirs avilis…