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Elections 2024 : bouchez vous le nez

By 2 juillet 2024FRANCE

 

PUBLIÉ PAR ÉVELYNE JOSLAIN LE 1 JUILLET 2024

Les élections européennes n’ont pas chassé Ursula von der Leyen de son poste. L’UE n’est pas remise en cause et on ne compte toujours que trois pays-membres dirigés par la droite : Italie, Hongrie, Pays-Bas.

En France, un Macron désavoué parie sur des élections législatives. Toute personne sensée sera donc allée voter contre l’infâme collectif écolo-palestino-communiste de Mélenchon/Hollande mais, mais quel que soit le résultat, rien dans la Constitution n’oblige à la cohabitation qu’on nous annonce. Ce procédé résulte d’un amendement de facto, jamais soumis aux élus donc jamais voté, hérité de Mitterrand, avec les conséquences que l’on sait : le socialisme à perpétuité.

Aujourd’hui, la “droite” en lice est qualifiée d’extrême et de populiste ce qui est faux puisque ses divers éléments obéissent à l’UE étatiste, sont tous eux-mêmes étatistes et veulent redistribuer plus “aux classes modestes” alors que l’urgence serait de baisser les impôts et de supprimer les fraudes sociales qui nous plombent. Si cette Union des (pseudo) Droites gagne et décroche Matignon et quelques postes ministériels, le populiste d’extrême-gauche Mélenchon prévoit des émeutes et une agitation sociale permanente, comme il a vu faire aux Etats-Unis durant l’été 2020.

Donc, de véritables réformes point, ni en France ni dans l’UE.

Au Royaume-Uni, le PM Sunak qui n’a jamais été élu, sentant sans doute son manque de légitimité peser vraiment trop lourd devant le mécontentement général, a lui aussi fait le pari d’élections législatives anticipées. L’effroyable Corbyn (ultra-gauchiste, antisémite et anti-anglais) étant parti, Sir Keir Starmer à la tête du Labour Party fait beaucoup moins peur et des milliers d’électeurs conservateurs s’estimant trahis par les mondialistes au pouvoir (Brexit saboté, économie du Net Zéro, impôts élevés, immigration intensive et encore soumise aux lois européennes), ils ne voient pas pourquoi ils se déplaceraient le 4 juillet et semblent résignés à ce que Labour l’emporte et continue, même si c’est encore pire, la politique de faillite menée par les faux conservateurs et là-bas il n’y a qu’un tour.

Nigel Farage, Mr. Brexit, haï et méprisé par les Conservateurs au pouvoir, ne renouvèle pas cette fois-ci la faveur qu’il avait faite à ces ingrats en 2019 en retirant ses 317 candidats Reform Party, désormais le seul parti vraiment conservateur. Il se présente avec un but à moyen terme : être la première force d’opposition au Labour en 2029, devant le parti conservateur. La défection massive de l’électorat Tory et de plusieurs gros donateurs en sa faveur semble avaliser ce pari. Du reste, de nombreux élus conservateurs l’ont déjà rejoint aussi. Car, contrairement à nous, nos amis anglais ont un vivier de talents politiques de réserve. Donc purgatoire politique pour le Royaume-Uni et espoir de renouveau.

Mais bien sûr, l’élection qui compte en 2024, très loin devant toutes les autres parce que d’elle notre sort en tant qu’Occidentaux et Européens dépend aussi, c’est la présidentielle américaine.

Trump a accepté de se soumettre au débat télévisé du 27 juin, organisé par CNN, avec des modérateurs de CNN, aux conditions imposées par CNN, dans les bureaux d’Atlanta, le fief de CNN, donc tout pour favoriser Biden contre Trump. Cela à une date extrêmement précoce (avant les primaires des deux partis), si précoce qu’elle en est révélatrice : passé la Convention démocrate du 8 août, il serait impossible de remplacer Biden.

Or en terrain miné, Trump a gagné, pas seulement par défaut face à un concurrent grimaçant, hagard et hébété, mais parce qu’il a su rester imperturbable devant les mensonges grossiers et éculés, débités par un Biden au pire de sa condition alors qu’il venait de bachoter au calme pendant 7 jours, tutoré par pas moins de 16 “conseillers”. Joe l’Escroc n’a que 81 ans, on lui en donnerait 100 ! L’étonnant est qu’il soit resté debout les 90 minutes. Et non, aucune pitié pour Biden, corrompu, plagiaire récidiviste, raciste mal dégrossi, mesquin, responsable de politiques criminelles envers son pays et de l’état de chaos mondial actuel, prêt à mordre à la moindre contradiction, indifférent aux souffrances que sa politique a provoquées et menteur patenté !

C’est pour ce prodige, rappelons-nous, qu’il fallait violer les règles électorales en 2020 et que la gauche américaine devrait revoter. Cette gauche malhonnête (et ses caniches européens à la suite) fait semblant de découvrir ce que nous savions depuis 2020, que Biden même dirigé par derrière (par “l’état profond ” avec Bill Clinton et Obama à peine dissimulés) est profondément nuisible et maintenant incapable de tenir son rôle de marionnette. Or, la gauche n’a aucune star crédible à lui substituer ! Gavin Newsom, au look hollywoodien et si beau parleur qu’il soit, a à son actif de Gouverneur de Californie un bilan effarant.

Rien ne devrait arrêter Trump.

Aussi, il est impossible que la gauche tueuse n’invente pas une autre machination diabolique pour se maintenir à tout prix : jusqu’au 5 novembre et même jusqu’au 20 janvier 2025, tout est possible. N’oublions pas que le 8 août 2022, le FBI est entré de force chez Trump en Floride avec ordre de “tirer pour tuer” à la moindre résistance (comme Julie Kelly vient de prouver). Il y a aussi les 10 millions d’illégaux (dont des terroristes avérés) qui ont reçu cartes de crédit, téléphones portables et “cartes d’électeurs enregistrés” avant d’être disséminés dans les 50 états, les failles manifestes du vote postal anticipé, la possibilité d’émeutes violentes organisées ou encore que la Russie, la Chine et l’Iran tentent leur chance avant l’échéance.

Pour la gauche américaine, plutôt une Troisième Guerre Mondiale que Trump !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Evelyne Joslin pour Dreuz.info.

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