David Sacks est cité par le Washington Post comme l’un des hommes d’affaires qui utilisent leurs “mégaphones” pour diffuser des “récits” sur la tentative d’assassinat du président Trump.
Le Washington Post est en rage. Il est furieux de voir à quelle vitesse X prend le dessus sur le narratif “officiel”, le monopole dont disposait les médias pour vous faire croire ce qu’ils veulent, et comment cette plateforme sociale est en train de s’imposer comme une source d’information fiable, vérifiée (grâce aux notes de communautés, dont je vous expliquerai le fonctionnement si vous me le demandez), non-teintée à gauche ou à droite, et en temps réel.
Pour les lecteurs de Dreuz.info, j’ai traduit le témoignage de Sacks.
Je ne sais pas à quels “récits” le WaPo fait référence, mais je sais ce que j’ai vu, et je sais ce que la foule de Butler a vu en direct [Dreuz : le Washington Post, comme Le Monde, BFMTV et les autres, veulent que vous fassiez confiance à ce qu’ils vous disent, pas à vos yeux].
Il se trouve que mon beau-père vit en Pennsylvanie et qu’il était au rassemblement samedi. Lorsque les coups de feu ont retenti et que Trump est tombé, il a dit que le chaos a éclaté autour de lui. Tout le monde craignait le pire.
Puis Trump s’est relevé. Couvert de son propre sang, résistant aux efforts des services secrets pour le mettre à l’abri, Trump a levé le poing avec défi, et la foule a pu le voir dire : “Fight, Fight, Fight.”
Immédiatement, la peur de la foule s’est dissipée, l’incertitude chaotique s’est dissipée et a été remplacée par une détermination sans faille.
La foule a répondu comme un seul homme : “USA, USA, USA !”
Il ne s’agit pas d’un “récit”. C’est la réalité. Trump a tenu bon face à la balle d’un assassin. Il est impossible de simuler un tel courage.
Il était plus important pour Trump de faire savoir à la foule qu’il n’était pas ébranlé que d’être mis à l’abri.
Donald Trump a déjà livré le combat de sa vie pendant des mois, alors que des Démocrates vindicatifs cherchaient à l’emprisonner, mais ce jour-là, il a été à deux doigts de la perdre.
Il a tout risqué pour ce pays.
C’est maintenant à nous, le peuple américain, de lui montrer qu’il n’est pas seul.
Rejetons les mensonges, les canulars, la haine et la division que les médias ont répandus au sujet de cet homme courageux, et soutenons sa victoire éclatante en novembre.
https://twitter.com/DavidSacks/status/1812681510438486422
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