Jamais, depuis l’invention de la presse par Gutenberg, le monde n’a connu une personne plus extraordinairement compétente pour devenir président, vous disent les journaux. Les mêmes journaux qui expliquaient il y a seulement une semaine que Joe Biden était au mieux de sa forme.
Puisque les journaux ont pris leurs distances avec l’historique, les faits, la réalité pour parler de Kamala Harris, il revient à Dreuz, une fois de plus, de vous donner des informations que vous aurez beaucoup de mal à les trouver dans la presse française.
Je ne vais pas accuser Kalamité Harris de « culpabilité par association » : je n’ai pas le droit de le faire, seuls les journalistes de gauche ont le droit de s’en servir contre les politiciens de droite, et ils ne ratent jamais une occasion de le faire.
Parents marxistes
- Le père de Kamala Harris était un professeur ouvertement marxiste du département d’économie de l’université de Stanford à Palo Alto, en Californie.
- Les deux parents de Harris étaient actifs dans la Afro-American Association basée à Berkeley ; les communistes Fidel Castro et Che Guevara étaient les héros de la Afro-American Association.
(détails croustillants :
- Le chef du groupe, Donald Warden [alias Khalid al-Mansour], a encadré deux jeunes membres de l’Afro-American Association, Huey Newton et Bobby Seale, qui ont créé le Black Panther Party d’inspiration maoïste, qui a bénéficié d’un fort soutien de la Chine communiste.
- Le Black Panther Party a servi de modèle pour la création de l’organisation marxiste Black Lives Matter.
- Khalid al-Mansour a organisé le financement et facilité l’acceptation de Barack Hussein Obama en tant qu’étudiant à la Harvard Law School.)
Kamala « progresse » dans la société à la force de ses …
- Après avoir obtenu son diplôme, Kamala Harris est retournée en Californie et est devenue la maîtresse du président de l’Assemblée de Californie, Willie Brown, Jr, âgé de 60 ans et marié.
- Les campagnes politiques de Brown ont été soutenues et financées par le Dr Carlton Goodlett, propriétaire de The Sun Reporter et de plusieurs autres journaux pro-communistes.
- Brown a été élu maire de San Francisco, et a fortement soutenu la philosophie politique marxiste de Kamala ; il a guidé l’ascension politique de Harris en Californie, menant à son élection en tant que procureur général de Californie.
- Willie Brown, Jr. est un sympathisant communiste de longue date bien connu. Willie Brown, Jr. a été initialement élu à des fonctions publiques avec l’aide substantielle du Parti communiste américain.
Procureure militante
- Alors qu’elle était procureure de San Francisco, Kamala Harris a encadré une jeune militante maoïste radicale de San Francisco, Lateefah Simon, qui était membre du Mouvement révolutionnaire STORM.
- Harris a ouvertement soutenu Black Lives Matter.
- La sœur de Kamala Harris, Maya Harris, était une étudiante activiste à Stanford University. Elle était étroitement associée à Steve Phillips, l’un des principaux marxistes-léninistes du campus et un affilié de longue date à la Ligue de lutte révolutionnaire, un groupe communiste pro-chinois.
Conflit d’intérêts du mari de Kamala, Doug Emhoff
Le mari de Mme Harris, Doug Emhoff, travaille pour le cabinet d’avocats DLA Piper, qui “se targue d’avoir près de 30 ans d’expérience en Chine communiste avec plus de 140 avocats dédiés à sa
“Communist China investment Services”.
- Des employés de DLA Piper ont des liens avec le CCP : La société emploierait un petit nombre de personnes ayant des liens avec la PCC, principalement dans son bureau de Hong Kong.
- DLA Piper a représenté ou représente des entreprises chinoises de l’État, notamment des compagnies aériennes et des conglomérats.
- Les experts notent qu’il est difficile pour les entreprises multinationales d’éviter de faire des affaires avec des membres du PCC, car le parti compte environ 90 millions de membres en Chine et contrôle tous les aspects de l’économie. Ce chevauchement n’indique pas nécessairement l’existence de liens étroits avec le gouvernement chinois, mais oblige à une retenue totale de critiques, ce qui, dans le cas de Kamala Harris, représente un obstacle majeur si elle devient présidente.
- Deuxième cabinet d’avocats aux États-Unis avec près de 4 000 avocats répartis dans 40 pays, DLA Piper a des activités diversifiées et n’est cependant pas centré sur la Chine. Quand on songe que le président Trump a été critiqué pour ses conflits d’intérêts en raison de la présence de ses hôtels dans plusieurs pays du monde, il est étrange que pas un seul média n’ait relevé ces potentiels conflits d’intérêts avec le cabinet d’avocat du mari de Kamala.
- D’autant que les activités du cabinet en Chine font l’objet d’une surveillance depuis bien avant le nouveau contexte politique. Par exemple, le House Select Committee on Strategic Competition between the United States and the Chinese Communist Party a souligné le besoin de transparence concernant les liens des entreprises américaines avec la Chine.
Lorsque vous vous rendez aux Etats-Unis en tant que touriste, on vous demandait, jusqu’à il n’y a encore pas très longtemps, si vous étiez affilié, de près ou de loin, aux communistes. Si vous répondiez oui, votre visa d’entrée vous était refusé.
Si Kamala Harris était républicaine, le FBI aurait mené une enquête, le Washington Post également, sur les antécédents de Kamala Harris. Ses liens avec les marxistes, les communistes, les maoïstes et la Chine communiste auraient été affichés en gros titres dans tous les médias, qui l’auraient sans vergogne rendue « culpabilité par association ».
Et Harris est à deux doigts d’être Présidente.
Ne pas informer les électeurs américains, leur cacher pour qui ils votent n’est pas une bonne chose. La presse a un rôle de contre-pouvoir, qu’elle a remplacé par un rôle de militantisme, et la démocratie en souffre grandement.
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