Le mouvement pour les droits des femmes a débuté avec une intention apparemment noble : garantir que les femmes soient traitées avec dignité et respect et qu’elles aient le droit de vivre, de vivre en liberté et d’être heureuses comme tout homme. Il s’agissait d’une lutte contre ce qu’un monde de plus en plus égalitaire commençait à considérer comme des « inégalités », comme le déni des droits fondamentaux et l’attente que les femmes restent silencieuses et soumises.
Mais ce qui était autrefois une croisade pour « l’égalité » a été grotesquement défiguré en un mouvement féministe militant, de type nazi, qui exige non seulement l’acceptation et la tolérance, mais aussi la célébration pure et simple des actes les plus odieux : l’avortement, le meurtre en masse d’enfants innocents dans l’utérus.
Comment sommes-nous passés de la lutte pour le droit de vote à la mobilisation dans la rue pour le droit de tuer ?
Ce changement ne s’est pas produit du jour au lendemain, mais il était inévitable dans une culture qui vénère l’autel de l’égoïsme. Le soi-disant mouvement féministe a été détourné par ceux qui détestent la notion même de vie et de son Créateur. Il est devenu une parodie grotesque de lui-même, un mouvement monstrueux qui glorifie la destruction de ce qu’il y a de plus sacré : la vie des enfants à naître.
Et tout cela, affirment-ils, au nom des « droits ».
Mais laissons de côté les euphémismes. « Droits reproductifs » n’est qu’une façon polie de dire « droit à avorter », et « mettre fin à une grossesse » n’est qu’une expression aseptisée pour « tuer un bébé ». Il ne s’agit pas de droits, il s’agit de mort. Et dans notre monde moderne, une société qui a tourné le dos à Dieu, la mort n’est pas seulement tolérée, elle est célébrée.
Dès le commencement, Dieu a créé l’homme et la femme pour l’adorer dans toute sa gloire. Mais en Adam et Ève, nous nous sommes rebellés contre notre Créateur, choisissant de nous servir nous-mêmes plutôt que Celui qui nous a créés. Notre rébellion nous a plongés dans un état de mort spirituelle, mais même dans notre dépravation, Dieu, dans sa grâce, nous a laissé une conscience. Cette conscience est un don – un vestige de notre communion autrefois parfaite avec Dieu – qui nous permet de discerner le bien du mal, même dans notre état déchu.
C’est pourquoi l’humanité, même les hommes perdus, savent intrinsèquement que certaines choses sont mauvaises. Le meurtre, le vol, le viol sont universellement reconnus comme étant mauvais. Et pourtant, dans notre adoration de nous-mêmes, nous sommes en lutte constante avec notre conscience. Pour ceux qui souhaitent poursuivre le péché sans retenue, la conscience devient un fardeau insupportable. Elle doit être réduite au silence, amortie, afin qu’ils puissent continuer leur méchanceté sans culpabilité.
C’est là qu’intervient le mouvement féministe moderne. Les marches en faveur de l’avortement, les campagnes de protestation contre l’avortement ne se limitent pas à revendiquer le droit d’avorter lorsqu’un enfant est « gênant ». Ce sont des rituels destinés à faire taire la conscience.
Lorsque les femmes défilent dans les rues pour réclamer le droit de tuer leurs enfants à naître, elles ne s’adressent pas seulement au monde, elles s’adressent à leur propre âme, essayant de couvrir la voix de la conscience que Dieu leur a donnée. Elles se rassemblent dans ces manifestations, non pas parce qu’elles se battent pour une noble cause, mais parce qu’elles ont besoin de la folie collective pour renforcer leurs propres illusions.
C’est la même raison pour laquelle le mouvement LGBTQ organise des « marches des fiertés ». Il ne suffit pas de vivre dans le péché en silence, il faut l’afficher devant le monde et exiger que tout le monde le célèbre.
Pourquoi ?
Parce qu’au fond, ils savent que c’est mal et ils ont besoin de l’approbation des autres pour endormir leur conscience. C’est une tentative désespérée de normaliser l’anormal, de justifier l’injustifiable, de se cacher du Dieu qui voit tout. Mais tout comme Adam et Ève ont essayé de couvrir leur honte avec des feuilles de figuier, les rebelles modernes contre Dieu ne peuvent pas se cacher de Lui. Les feuilles de figuier du féminisme et de l’orgueil ne les protégeront pas du jugement à venir.
Mais soyons clairs : il ne s’agit pas seulement des femmes ou de ceux qui manifestent pour l’avortement. Il s’agit d’une culture qui a rejeté Dieu et adopté la mort. Il s’agit d’une société qui célèbre le péché et se moque de la justice. Il s’agit d’un peuple qui a échangé la vérité de Dieu contre un mensonge et qui adore et sert la créature plutôt que le Créateur.
Le mouvement pour les droits des femmes est devenu un véhicule de cette rébellion contre Dieu. Il est nécessaire pour ceux qui souhaitent continuer à pécher sans l’interférence gênante d’une conscience. Il est nécessaire pour ceux qui veulent justifier l’injustifiable et normaliser l’abominable.
Mais il ne réussira pas !
La conscience, bien qu’elle puisse être émoussée, ne peut être détruite. Et le jugement de Dieu, bien qu’il puisse être retardé, ne sera pas nié.
En fin de compte, le mouvement féministe, comme tous les mouvements qui se rebellent contre Dieu, échouera. Il sera exposé pour ce qu’il est : un mensonge, une illusion, une tentative désespérée de se soustraire à la vérité.
Et quand ce jour viendra, les feuilles du figuier tomberont et la nudité de leur péché sera dévoilée devant le Dieu qui voit tout. Et alors, et alors seulement, elles se rendront compte que les droits pour lesquels elles se sont battues n’étaient pas des droits du tout, mais des chaînes qui les liaient à la mort.
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