Une étude de la très importante et sérieuse association américaine, Focus on the Family, a montré que, lorsque les jeunes femmes ont quelque doute sur leur décision d’avorter, 78% d’entre elles choisissent de sauver leur bébé si on leur fait voir l’image et surtout si on leur fait entendre les battements du cœur de l’enfant qu’elles portent.

En France, ce sont 225 000 enfants qui sont sacrifiés chaque année.

Si un texte de loi rendait obligatoire la proposition, à toute femme envisageant l’avortement, d’une échographie par ultrason lui permettant de voir l’enfant qu’elle porte et d’entendre les battements du cœur de son bébé, ce serait plus de 175 000 enfants qui seraient sauvés de la mort chaque année.

DROIT DE NAITRE, accompagné de son conseil juridique, a décidé de demander un rendez-vous officiel  au Premier Ministre pour lui présenter le texte d’un projet de loi en ce sens et entendre sa position.

Apportez votre soutien à cette action !

Signez ci-dessous notre DEMANDE DE RENDEZ-VOUS à M. Valls.

« DEMANDE DE RENDEZ-VOUZ POUR DROIT DE NAÎTRE » adressée à M. Manuel Valls, Premier Ministre

Monsieur le Premier Ministre,

Vous n’êtes pas sans savoir qu’en France 225.000 enfants à naître sont sacrifiés chaque année par l’avortement. Ou librement ou, bien souvent, par des femmes qui sont poussées à l’acte extrême sur pression de leur entourage.

Pourtant, une simple mesure, un simple texte de loi pourrait sauver jusqu’à 78% des enfants avortés, lorsque les femmes doutent de leur décision.

Pour vous présenter cette mesure, ce simple texte de loi, je vous demande de bien vouloir recevoir une équipe de DROIT DE NAITRE, avec son conseil juridique, qui me représentera et parlera en mon nom.

On est déjà allé trop loin. Il est temps que le droit à la vie récupère toute sa vigueur et que la France soit en première ligne dans ce combat.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de ma parfaite considération

Signez la pétition ici: http://petit.io/petition/droit-de-naitre/demande-de-rendez-vous-aupres-du-premier-ministre

Merci à Viviane