Notre fils Nathan, qui vit dans un kibboutz non loin de Gaza et étudie dans la région, nous envoie un petit témoignage encourageant.

Ce matin je me lève et je trouve dans ma boîte aux lettres un traité supplémentaire (Nathan qui témoignait à une personne juive les jours derniers était sorti de chez lui le matin et un voisin lui avait tendu un traité qu’il venait de trouver dans sa boîte aux lettres et qui reprenait tous les versets bibliques du Tana’h qui parlent de Yeshoua. Nathan avait ainsi en mains exactement ce qu’il fallait pour enseigner cette personne qui n’en crut pas ses oreilles et demanda dès lors à lire l’Evangile avec lui et à prier).

. Je ressens le besoin d’aller m’asseoir dans la nature et de prier. Je prends mon vélo et roule quelques temps jusqu’à un champ où je m’assieds. A 300 mètres se trouve une ancienne tour de garde où j’aperçois des silhouettes qui vont et viennent. Je ressens le fort besoin de leur parler de Dieu. Tout apeuré et plein de doute (j’avoue) je finis par y aller et je tombe sur trois Arabes/Bédouins, en train de déguster leurs graines de tournesol.

Je leur parle et leur annonce que la fin est proche et que la vérité les sauvera, mais que la vérité se trouve dans Yeshoua le Messie. Puis je leur tends le traité, qui leur était sans aucun doute destiné dès le départ. Ils n’ont pas sorti un mot et j’ai continué mon chemin, complètement sous le choc de ce qui venait de m’arriver.