Une femme politique koweïtienne pour la légalisation de l’esclavage sexuel pour les prisonnières de guerre non-musulmanes.
sept 21, 201419
Une femme politique koweïtienne, candidate malheureuse aux élections législatives, a estimé que les hommes devraient pouvoir utiliser des prisonnières de guerre non-musulmanes.
Selon Salwa al Mutairi, acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes kowaitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l’adultère. La politicienne, qui anime également une émission de télévision, propose qu’elles soient importées de pays en guerre.
« Par exemple, il y a sûrement eu des prisonnières russes lors de la guerre de Tchétchénie », explique-t-elle.
« Alors allons les acheter pour les importer. C’est mieux que de voir nos hommes avoir des relations sexuelles interdites. »
De plus, ça serait selon elle une bonne chose pour ces femmes, qui sinon pourraient « mourir de faim ». Mais attention, cette loi ne serait pas la porte ouverte à toutes les dérives : les esclaves sexuelles devraient être âgées de plus de 15 ans.
C’est juste l’application d’une sourate du coran!
Beurk !
Quelle honte ! Un homme peut donc avoir une ou des esclaves sexuelles, mais il ne peut pas tromper sa femme avec une femme « libre » ! Il ne commet donc pas l’adultère, et puisque ce sont des femmes non-musulmanes, tous les droits sont permis !
Le mot « esclave « nous fait revenir des décennies en arrière.
Acheter des femmes, comme on achèterait du bétail !
Certains hommes deviennent des bêtes malfaisantes.
Dans quel monde vivons-nous !? Où en sommes-nous arrivés ?!
Non, ce n’est pas un retour en arrière mais la continuation de quelque chose d’ancien. Le rapt de femmes pour les harems et les marchés aux esclaves est une ancienne pratique. Bien des français l’ignorent mais une des raisons de la conquête de l’Algérie par la France fut de mettre un arrêt aux razzias qui se pratiquaient encore jusque sur les côtes du Sud français dans les années 1800 et qui se pratiquaient de longue date…
Que dire de ces choses si scandaleuses si ignobles ? Les bras m’en tombent !