Le « Welcome Refugees » cédera-t-il bientôt la place au « Go home « ? Selon un récent sondage, les Allemands ne souhaitent plus accueillir les réfugiés musulmans, suite aux nombreux viols, agressions et autres crimes, dont ils sont les victimes.
Face aux critiques de plus en plus embarrassantes, accusant Angela Merkel d’être responsable de la dégradation de la situation en Allemagne, il est devenu politiquement urgent pour la chancelière de faire une déclaration publique.
Angela Merkel a récemment publiquement reconnu que des jihadistes se sont infiltrés parmi les « réfugiés ». Angela Merkel sent le vent tourner et se positionne en vue des prochaines élections :
« Le flot de réfugiés fut aussi utilisé pour faire entrer clandestinement des jihadistes » (Reuters)
Toutefois, cette prise de conscience tardive ne modifie en rien la politique pro-immigrationniste de son parti, la CDU. Celui-ci vient de nommer Christine Langenfeld, professeure de Droit, juge de la Cour constitutionnelle. Cette dame préside le comité d’experts pour la migration et l’intégration et est en faveur d’une immigration illimitée, tout comme sa Chancelière. Ou toute l’incohérence de ces malades aux manettes du pouvoir.
Tous ces politiciens, menteurs et véreux, nous imposent une immigration de masse majoritairement musulmane, ennemie de la liberté et de la démocratie, aux valeurs diamétralement opposées aux nôtres, soi-disant pour vivifier nos vieux peuples fatigués en voie d’extinction, afin de les sauver de la décrépitude morale et physique…
Ces « réfugiés », angélisés par nos traîtres au pouvoir nous sont présentés comme nos sauveurs. C’est du moins la fable qu’ils essayent de nous faire ingurgiter, car la réalité quotidienne s’éloigne de ce beau conte et s’apparente plus au cauchemar pour les citoyens européens.
Ces personnes entrées illégalement dans nos pays sont entretenues financièrement par les contribuables européens. Loin de la vision angélique du futur radieux que l’on nous laisse miroiter, criminalité et violence s’abattent sur nos sociétés et les transforment en enfer.
Auparavant, vous aviez besoin de trois mots pour lancer un conte populaire : « Il était une fois… Aujourd’hui, il suffit de trois mots pour raconter aux gens une histoire : Nous pouvons le faire » (Wir schaffen das !)
Depuis longtemps, les politiciens et les principaux médias nous mentent en nous affirmant que l’immigration de masse de gens venue d’Afrique et d’Orient nous apportera la paix et la prospérité. Or dans la réalité, la criminalité est un problème omniprésent parmi les migrants.
En Allemagne, dans leur vision séraphique de nos futurs sauveurs, les politiciens ont ignoré le taux important de criminalité parmi les demandeurs d’asile, dès lors aucune nouvelle prison n’a été construite. Ils ont bercé les Allemands d’illusions en déclarant que la délinquance criminelle était en train de régresser.
Aujourd’hui, les prisons allemandes sont dans un tel état de délabrement qu’elles risquent de s’effondrer et doivent être vidées. Elles sont dans le même piteux état que les routes, les écoles, les crèches, les universités, dans lesquelles plus rien n’est investi.
Peu à peu, même le dernier des citoyens devient conscient de la réalité : tous les mensonges des politiciens visant à dissimuler la vérité éclatent comme des bulles de savon : la criminalité des migrants explose. A cause de cette flambée, un nombre accru de prisons s’avère nécessaire. Mais il n’y pas que cela, les migrants criminels deviennent de plus en plus agressifs et représentent un sacré défi pour le système pénitentiaire et la sécurité des citoyens.
Des lieux de loisirs autrefois sans danger, comme les piscines communales, les parcs, les jardins d’enfants, sont aujourd’hui fréquentés par des gangs de prédateurs sexuels moyen-orientaux, sans aucun respect pour nos enfants, nos femmes, nos aînés.
- Allgäu : une fillette de neuf ans a été sexuellement abusée par un « réfugié » dans la piscine de la ville.
- A Chemnitz, une policière a réussi à repousser un obsédé sexuel pakistanais en lui assénant un violent coup de pied dans l’abdomen.
- A Gladbeck, une contrôleuse de train fut traitée de salope et menacée d’être jetée hors du train par un groupe de réfugiés, « traumatisés par les souffrances endurées » dans leur pays d‘origine, car elle avait eu l‘audace d’accomplir son travail : vérifier le billet d’un membre du groupe, offense suprême pour ces mâles qui la gratifièrent d’un aimable :
« Toi la salope, nous allons te faire payer ton manque de respect. »
- A Passau, des demandeurs d’asile ont asséné de nombreux coups de pieds à un concierge, puis jeté le malheureux, à moitié mort, dans le Danube.
Si des Allemands avaient jeté dans le fleuve un demandeur d’asile après l’avoir violemment tabassé, comment auraient réagi les politiciens ? La presse malhonnête et vendue en aurait fait ses gros titres et là, pas une ligne. Ils se seraient indignés, auraient organisé des marches aux flambeaux et formé des chaînes de soutien aux pauvres réfugiés.
Mais comme la victime était allemande, ils ont juste détourné le regard et clos « l’incident ».
- Un retraité qui fit remarquer à un Turc qu’il était interdit de fumer fut torturé à mort avec un fer à repasser, des bougies incandescentes placées sur le corps et des coups de couteau dans ses parties génitales.
Quasi toutes les villes allemandes sont confrontées à des gangs africains.
Dans presque toutes les villes allemandes, des personnes âgées qui se déplacent avec un déambulateur tremblent de peur, vivent dans l’angoisse et osent de moins en moins sortir par crainte de se faire agresser par ces migrants, criminels, dont nous avons tellement besoin pour nous assurer un bel avenir.
En outre, les sanctions pénales pour les agresseurs sexuels sont incroyablement clémentes.
Nous Occidentaux, devons faire preuve de compréhension envers ces pauvres migrants. Ils ont tellement souffert. Et nous devons être tolérants : agresser sexuellement femmes et enfants fait partie de leur riche culture, de leurs belles traditions. Les agressions sexuelles ne sont pas considérées comme un crime, mais juste un droit coranique.
Nous Occidentaux, fiers de notre immense tolérance, ne sommes-nous pas tenus de respecter les droits « religieux » de ces « richesses » importées ? Il en va de notre survie… ne l’oubliez pas.
Comment réagissent les politiciens élus pour nous protéger ? D’une manière si délirante qu’il serait judicieux de se poser la question suivante : disposent-ils encore d’un cerveau capable de réfléchir un tant soit peu ?
- Les maires recommandent aux femmes allemandes de ne plus sortir seules et de ne pas ouvrir leur porte non accompagnée. Dans un pays normal, dirigé par un gouvernement responsable, soucieux de ses citoyens, les migrants qui posent problème et représentent un danger pour la sécurité des habitants seraient expulsés sur-le-champ sans aucun état d’âme. Sommes-nous encore dirigés par des gens responsables ?
- L’Association allemande des villes va encore plus loin. Dans sa volonté maladive de protéger non le citoyen allemand — faut pas trop rêver — mais le pauvre migrant, elle a trouvé l’idée du siècle, la solution miracle : pourquoi ne pas engager de nombreux réfugiés dans la police ! Et pourquoi pas demander au pyromane d’éteindre l’incendie qu’il a allumé.
Cette Association a-t-elle perdu la raison ?
Les « pauvres demandeurs d’asile » vendent de la drogue aux enfants dans les aires de jeux, se masturbent en leur présence, veulent jeter les conductrices hors du train en criant « salope, nous allons te faire payer ton manque de respect », et les autorités prévoient de confier la sécurité des citoyens allemands à ces migrants responsables de l’insécurité ambiante ? C’est le monde à l’envers !
Autrefois, l’Allemagne importait de la matière première et la transformait en produits de qualité mondialement appréciés. Aujourd’hui, l’Allemagne importe des criminels et des terroristes qu’aucun autre pays n’accepterait.
- Un retraité septuagénaire a été massacré dans un village idyllique proche de Heilbronn par un « demandeur d’asile ».
De tels faits sont devenus quotidiens en Allemagne. Un tsunami criminel s’est abattu sur le pays. De plus en plus de citoyens sont harcelés, molestés, terrorisés, dupés, poignardés, frappés, volés, violés, assassinés.
En Allemagne comme partout ailleurs en Occident, les hôtes de nos prisons sont majoritairement musulmans, l’islam est la religion des prisons, d’où un risque accru de radicalisation et ses conséquences désastreuses pour la société.
Combien de temps le peuple allemand va-t-il encore supporter cela sans réagir ?
Combien de temps les gens vont-ils encore continuer à payer pour ces criminels étrangers ?
D’une façon ou d’une autre, quelqu’un devra dire la vérité au peuple. Et cela signifie révéler que nos politiciens et nos médias officiels sont les complices de cette criminalité sans frontière.
Les femmes sont violées dans leurs propres maisons par les migrants et les médias et politiciens regardent ailleurs.
Dès qu’il est question d’immigration, le politiquement correct prime sur le droit. Nombre de migrants coupables de crimes sexuels ne sont jamais traduits en justice, et ceux qui atterrissent dans le box des accusés n’ont à souffrir que de peines légères énoncées par des juges compatissants.
- Ainsi, le 30 juin, un tribunal de Ahrensbourg (Allemagne du Nord) avait à juger un Erythréen « de 17 ans » (avec des faux papiers on ne peut pas vraiment savoir), coupable d’une tentative de viol sur une jeune femme de 18 ans dans la cage d’escalier d’un parc de stationnement à la gare Bad Olesno. La femme a été grièvement blessée, son agresseur l’a mordu à plusieurs reprises au visage et au cou. A l’arrivée des policiers, le migrant a résisté et a donné un coup de tête à un agent de police qui a dû être envoyé à l’hôpital.
Bien que le migrant ait été reconnu coupable d’agression sexuelle et d’agression physique sur un policier, le tribunal l’a condamné à sept mois de prison avec sursis et 30 heures de service civique.
Il a été remis en liberté et ne sera pas expulsé.
Un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur de Westphalie du Nord a ordonné de retirer le terme « viol » d’un rapport interne de police sur les agressions à Cologne
Outre la clémence judiciaire, les criminels migrants ont bénéficié de la complaisance des pouvoirs publics. A plusieurs reprises, ces derniers ont été accusés d’avoir volontairement masqué l’ampleur de la criminalité des migrants, dans le but apparent de ne pas alimenter le ressentiment anti-immigré de la population.
- En janvier, le journal Die Welt a rapporté que la suppression ou la dissimulation de données sur la criminalité des migrants est un phénomène de grande ampleur qui a touché « l’ensemble du territoire allemand ».
- Selon Rainer Wendt, chef du syndicat de la police allemande (Deutschen Polizeigewerkschaft, DPolG), « chaque agent de police sait qu’il doit répondre à une attente politique. Pour éviter les problèmes, mieux vaut garder le silence [sur la criminalité des migrants] ».
- Egalement en janvier, le journal Bild a publié un document officiel qui prouve que les élus de Kiel, en Allemagne septentrionale, ont ordonné à la police locale de ne pas recenser la plupart des crimes perpétrés par les migrants.
- Selon Bild, les polices de Rhénanie du Nord-Westphalie et de Basse-Saxe ont également reçu la consigne d’un devoir d’indulgence face à la criminalité des migrants.
- En février, Die Welt a révélé que les élus du Land de Hesse ont supprimé des informations sur les crimes liés migrants, en raison d’un prétendu « manque d’intérêt du public ».
- En mai, un officier supérieur de la police de Cologne a révélé qu’un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur de Westphalie du Nord lui a ordonné de retirer le terme « viol » d’un rapport interne de police sur les agressions à Cologne.
- La police de Cologne reconnaît aujourd’hui qu’elle a reçu plus de 1 000 plaintes de femmes, y compris les 454 constats d’agressions sexuelles déjà enregistrés, à la suite des événements du Nouvel an.
- La police de Hambourg reconnaît avoir consigné 351 plaintes de femmes, dont 218 rapports d’agressions sexuelles pour ce fameux soir du 31 décembre 2015.
- Le 7 juillet, plus de six mois après les attentats de Cologne (et le jour même où le Bundestag a approuvé la loi « Non, ça veut dire Non »), le tribunal du district de Cologne a condamné un Irakien de 20 ans et un Algérien de 26 ans à un an avec sursis pour l’agression sexuelle dont ils s’étaient rendus coupables.
Les deux hommes ont été libérés sur-le-champ.
Hussain A, l’Irakien, a été reconnu coupable d’avoir embrassé et léché le visage de l’une des victimes. L’Algérien, Hassan T., a empêché le petit ami de l’autre victime d’intervenir et lui a offert de l’argent pour avoir des relations sexuelles avec elle : « donne les filles ou tu mourras » s’est-il entendu dire. Il a été reconnu coupable de complicité d’agression sexuelle.
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L’individu, âgé de 20 ans, a été jugé selon les textes de loi réservés aux mineurs et a été condamné à suivre une formation à l’intégration et à 80 heures de service civique. Le journalBild a publié des photographies d’un Hassan T. jubilatoire qui a quitté la salle d’audience en souriant.
Un observateur a déclaré que la légèreté de la peine était une parodie de justice et serait interprétée comme une invitation faite aux migrants criminels d’agir à leur guise avec les femmes allemandes.
Le Procureur Bastian Blaut a déclaré :
« Il est inacceptable que des valeurs fondamentales telles l’égalité de la femme et de l’homme soient violées. Il est inacceptable que les migrants négocient les femmes comme des objets de bazar. Il est inacceptable que les demandeurs d’asile piétinent notre société en même temps qu’ils viennent ici à la recherche de notre protection ».
Et pourtant, les politiciens et les médias complices continuent à faire l’éloge, la bouche en cœur, du migrant fuyant guerre et misère à la recherche d’une vie meilleure, nous apportant toute la richesse de sa culture, de ses traditions, de sa « religion ».
En Italie aussi, le désespoir du petit peuple confronté à la violence des migrants, de plus en plus nombreux et arrogants et à la clémence de la justice à leur égard, atteint son paroxysme.
Il y a trop de morts, trop de migrants, trop de mensonges, trop de haine contre le Christ et ses fidèles, contre l’Occident et notre civilisation. Et trop d’irresponsabilité politique, fille d’intérêts personnels ou d’une vision restreinte du futur.
« Personne ne parle des Italiens qui sont en train de lever des barricades dans leurs villes, leurs quartiers, pour freiner l’avancée incontrôlée de clandestins, de délinquants appartenant à des centaines d’ethnies différentes.
Ils nous tuent dans nos maisons. Armés de couteaux, de machettes, de masse, ils nous égorgent, nous brisent les os, violent nos femmes et nos enfants. Ils entrent dans nos maisons pour voler et tuer. Ils nous chassent de nos maisons et s’y installent, violents et arrogants. Ils rendent nos rues, nos places, nos villes invivables. Ils se lavent dans nos fontaines et s’y soulagent et quand ils décident d’aller dans leur soi-disant paradis d’Allah, ils se font exploser dans nos aéroports, semant terreur et mort.
Ils détruisent l’avenir de nos enfants, la vieillesse de nos parents. Ils éventrent notre présent, en inoculant les seuls poisons qu’ils connaissent : la mort, la peur, l’anxiété.
La politique européenne sert les pouvoirs occultes, les mafias, la franc-maçonnerie, sans amour pour la patrie ; elle sert les terroristes, les voilées et leurs partisans, les crétins utopistes, les associations caritatives qui s’engraissent avec la chair humaine débarquée de rafiots, l’islam armé des prêcheurs de haine et la fausse charité des faux saints de la Caritas catholique.
Ils sont coupables de la mort de la liberté, de la Démocratie. Ils sont les complices mesquins et imbéciles d’attentats sanguinaires et mortels et d’invasions démographiques perfides.
Ils assassinent la foi, le progrès, l’émancipation, la démocratie, la laïcité, la culture et l’identité européenne.
Voilà l’UE sereine et apaisée, l’Europe où les citoyens vivent en toute sécurité, selon la propagande médiatique à la solde de l’Eurocratie. Un mensonge planétaire.
L’altruisme poussé à l’extrême, comme en Suède, en Allemagne, en Italie, en France et ailleurs en Occident envers les seuls immigrés relève d’une utopie dangereusement naïve, car il conduit au suicide de la société de souche, si elle ne se révolte pas, ou à l’explosion d’une guerre civile, si les peuples décident d’agir.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources :
Deutschland 2016: Migrantenkriminalität explodiert. PI.news/KOPP on line
Germany’s New « No Means No » Rape Law. Soeren Kern (extraits)
Assassini. Il Giornale.it