Amnésie International ou l’israélophobie obsessionnelle
Michel Garroté réd chef — L’armée israélienne aurait soi-disant fait preuve d’un « mépris choquant » pour les vies civiles à Gaza lors des 50 jours de combat qui ont touché le territoire palestinien en juillet et août, allègue, mercredi 5 novembre 2014, le club pénitencier Amnésie International. L’Etat d’Israël rejette, avec raison, les allégations d’Amnésie International, précisant qu’AI ne fournit aucune preuve, ne tient pas compte des crimes de guerre perpétrés par le Hamas, le mouvement terroriste palestinien, et que son rapport (pamphlet) est un outil de propagande pour le Hamas et les autres groupes terroristes.
Dans son pamphlet intitulé « Des familles sous les ruines : attaques israéliennes contre des maisons vides », Amnésie International prétend que huit attaques auraient été menées par l’armée contre des habitations « sans aucun avertissement », attaques dans lesquelles « au moins 104 civils dont 62 enfants » auraient péri. Amnésie International accuse Israël d’avoir parfois « directement et délibérément ciblé des civils ou des bâtiments civils, ce qui pourrait constituer des crimes de guerre ». Nous y voilà : on nous refait le coup des « crimes de guerre ».
Pour Amnésie International, les conclusions de son pamphlet montreraient soi-disant que les forces israéliennes auraient fait preuve d’un « mépris choquant pour les vies des civils palestiniens qui n’ont eu aucune chance de fuir » de l’enclave (du Hamastan). Amnésie International allègue, dans la présentation de son pamphlet, que les autorités israéliennes ne lui auraient pas permis d’accéder à Gaza, la forçant à « mener ses recherches de loin, avec pour seule aide deux travailleurs basés » dans l’enclave (dominée par le criminels du Hamas & Consorts).
Amnésie International appelle en outre les autorités israéliennes à « permettre à la cour pénale internationale d’enquêter sur les crimes commis en Israël et dans les territoires palestiniens occupés ». Là, on nage en plein délire israélophobe… Amnésie International demande aussi à Israël de coopérer avec le Comité des Droits de l’Homme à Géométrie variable de l’ONULLE, qui a demandé à Israël de mettre en place une enquête indépendante et impartiale sur la guerre à Gaza. Israël a tout naturellement dénoncé ce pamphlet en accusant Amnésie International d’avoir ignoré les crimes du Hamas, dont l’utilisation de boucliers humains et les tirs de roquettes depuis les écoles, les hôpitaux, les mosquées.
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